Quand la France a été
libérée de l’Allemagne nazie, elle n’a pas fait de sentiment pour le Maréchal
Pétain qui a été jugé comme traître à la Patrie. Pourtant cet homme avait signé
l’armistice et épargné à nos soldats une continuation d’une guerre devenue
inutile. Il avait sauvegardé nos colonies et une Algérie française dont le
Général de Gaulle s’est servi par la suite. Il est sans doute historiquement
vrai qu’il n’a pu rester au pouvoir d’une demi-France qu’en livrant des juifs
aux allemands, même si Vichy a pu en soustraire un nombre non négligeable. C’est
pour cela qu’il a été condamné mais c’est les gouvernements d’avant-guerre, en
particulier socialistes, qui sont responsables de la défaite de 1940 avec la
suite d’une France défigurée, émasculée, sans ressources et des dizaines de millions
de morts dans le monde.
Ce préambule
est nécessaire parce qu’il est criant désormais que le gouvernement et son
Président sont responsables de l’état dans lequel se trouve la France aujourd’hui,
exposée de plein fouet à un terrorisme aveugle et insaisissable, à un chômage
endémique, une dette qui frôle le PIB de toute une année. Beaucoup de choses
sont troublantes dans les attentats de novembre et même dans celui de Nice. Certains
y voient des attentats sous faux-drapeau non sans arguments, mais finalement qu’il
s’agisse de responsabilité directe ou indirecte dans ces attentats, le résultat
est là. Il y a eu plus de morts en 2 ans en France que depuis la seconde guerre
mondiale. Hollande et Valls sont coupables et responsables que ce soit directement
ou indirectement, par machination ou par incompétence. Le peuple qui les a élus
est trahi, ce sont donc des traîtres à la Patrie et à son peuple.
Comment
en est-on arrivé là ? Parce que nous avons perdu notre libre-choix, notre
indépendance, que nous sommes en train de perdre notre identité et au bord de
livrer notre sol, nos morts, nos églises, nos théâtres, notre mode vie, notre
histoire et même notre langue à une civilisation contre laquelle l’Europe lutte
depuis des siècles et à une oligarchie mondiale prédatrice qui tire les
ficelles du chaos qu’elle provoque sciemment. Les évènements se déroulent
suivant un plan machiavélique auquel on nous a fait habilement adhérer et que
De Gaulle avait vu venir, ce qui lui a valu de devoir partir, chassé par notre
vote, respectueux qu’il était du vote populaire… Comme les temps ont changé !
En fait nous l’avons chassé pour des raisons politiques soutenues de l’étranger,
ce que le peuple ne pouvait savoir. L’US go home, le refus de l’OTAN et le
rapatriement de notre or de Fort Knox avaient fait déborder le vase de la patience
américaine. La France était redevenue grande, trop grande.
De
la CEE nous sommes passés à l’UE, selon les vœux américains mais avec une foi
bien médiatisée dans une Europe de la paix pour tous, et Europe sociale pour la
gauche qui était la plus active. C’est la droite de Giscard d’Estaing qui a
ouvert la pompe de l’immigration de travail au départ et commis en 1976 l’erreur
tragique du regroupement familial. C’est la mise en œuvre, sous l’impulsion de
la gauche encore, de l’idéologie du multiculturalisme, du vivre-ensemble et de l’immigration
chance pour la France. La stigmatisation du racisme dans un sens d’ailleurs
pratiquement unilatéral a enchanté les milieux bobos, vivant paisiblement hors
des ghettos, et artistiques trop souvent utopistes. Le passage à l’euro, chanté
comme une merveille qui devait nous rassembler et nous sentir plus européens,
nous a finalement ancré à l’Allemagne et a fait se creuser le fossé entre l’Europe
du Sud et celle du Nord. Avec un euro-mark, la puissance de l’Allemagne, une fois
la réunification digérée, n’a cessé de croître à nos dépens. La parité avec le
franc s’est révélée mal ajustée à notre économie.
C’est
le début de notre dépendance de plus en plus grande à l’Allemagne, qui déséquilibre
notre commerce extérieur, c’est aussi celui de la politique d’austérité inspirée
à Bruxelles par ce même pays. La perte de la monnaie et les verrous mis par
Bruxelles, soumis lui-même au Système mondial et aux Etats-Unis, ont conduit la
France à choisir la vassalité pour exister dans la géopolitique mondiale. Le
dernier soubresaut d’indépendance fut celui de Chirac pour la guerre en Irak.
Sarkozy a vendu la France à l’OTAN, c’est-à-dire aux États-Unis et a entraîné
celle-ci dans une guerre contre-nature en Libye mais pour le compte des pays
anglo-saxons. En effet Kadhafi était devenu un précieux allié contre le terrorisme,
celui fomenté par les Frères musulmans auxquels il était confronté et qui
commençaient la reconquête du monde. Nous rentrions plus avant dans la politique
du chaos américaine qui consistait à détruire les régimes autoritaires non
alignés sur eux, à noyauter avec des dirigeants aux ordres tous ceux dont il
fallait avoir la collaboration grâce des arguments sonnants et trébuchants dans
la politique de la carotte et du bâton.
Nous
avons vécu la phase suivante, celle de la guerre tous azimuts avec ou sans l’accord
de l’ONU, en imitant le droit d’ingérence autoproclamé des États-Unis en
Afrique et au Moyen-Orient. Notre politique extérieure n’a cessé alors de
devenir traître à son peuple. C’est le cas en Syrie où nous avons décrété la
mort de Bachar El-Assad alors que les relations étaient bonnes et que celui-ci
coopérait avec nous dans la lutte contre le terrorisme radical. Nous menons une
politique de double-jeu en vendant des armes à ceux qui aident ceux que nous
combattons, soutiennent et noyautent les immigrés sunnites dans notre pays. Ces
pays ne font aucun effort bien au-contraire pour accueillir les réfugiés que la
guerre irako-syrienne jette sur les routes. Ils participent au plan d’invasion
migratoire de l’Europe, concept clairement exprimé dans la stratégie
américaine, invasion dont la Turquie, membre de l’OTAN, détient l’un des deux
principaux robinets avec la Libye.
Le
double-jeu américain, dont on a vu la guerre molle perpétrée sur un Daech
formé, armé par les États-Unis avec la collaboration des pays du Golfe qui
financent, de la Turquie et d’Israël, a trouvé la Russie sur sa route. Nous
sommes entrés dans la phase suivante où les États-Unis voient leur hégémonie
remise en cause, le temps presse pour eux. L’urgence a fait déferler en août
2015 une horde d’immigrés retenus jusque-là par la Turquie. La décision d’invasion
migratoire de l’Europe était prise toujours dans l’ordre des choses de la
politique du chaos. Par ailleurs la Russie passait, après l’Iran, comme l’ennemi
numéro un. Hollande suivait et devançait même ses maîtres, comme en Syrie, en
stoppant la livraison des Mistral à la Russie. Il s’agit d’une politique
extérieure parfaitement contraire aux intérêts de notre pays, alors que la
Russie n’affiche aucune intention d’envahir la Pologne ou les Pays Baltes mais
voit augmenter les troupes et les armes au plus près de ses frontières. La
Russie lutte comme nous contre le terrorisme islamique.
Le dernier
maillon est le TAFTA qui doit livrer l’Europe pieds et mains liés à l’hégémonie
américaine. Pour ce faire, l’oligarchie mondiale juive et anglo-saxonne, devait
mettre à l’abri du chaos en cours le Royaume-Uni et la City. C’est chose faite
et vous avez constaté que la marionnette Cameron n’a pas versé beaucoup de
larmes de crocodile. Le Brexit redonne les mains libres au Royaume-Uni et,
cerise sur le gâteau, avec l’assentiment de son peuple… Bien joué ! Nous
sommes entrés dans la dernière phase de la décomposition voulue de l’Europe. Le
levier d’Al-Qaïda et de Daech œuvre dans le futur « grand Israël »
dans une œuvre de chaos, et de même l’immigration massive et le terrorisme en
Europe. Voilà pourquoi Hollande et consort nous ont trahis et pourquoi si nous
ne mettons pas dehors tous ces traîtres, la France va mourir de peur et d’épuisement
dans une guerre civile qu’alimentent des guerres dans les territoires de l’oumma.
Si nous devions dire à Hollande et Sarkozy ce qu’il faut faire pour perpétuer
le terrorisme en France, nous leur dirions : Continuez, c’est parfait.
Guerres inutiles, état d’urgence inefficace,
assimilation ratée,
Politique extérieure contre l’intérêt
majeur du pays,
Pratique du double-jeu à la solde
de l’étranger,
Dénis de démocratie et impôts records,
Dette croissante et troubles sociaux
Désignent au moins la porte
Sinon la prison !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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