samedi 30 juin 2012

Près de 8400 euros/an par clandestin en toute transparence

Billet caustique du week-end

La France est riche et généreuse, cela se sait et nous sommes les heureux gagnants d’un tourisme particulier, la clandestinité. Nous avons enfin l’explication des propos récents de Manuel Valls :

« La naturalisation, c’est une réussite pour la France. Elle ne doit plus être pensée comme l’issue d’un parcours du combattant mais comme l’issue d’un processus d’intégration. Il faut redonner la totale possibilité de devenir français. Depuis deux ans, les naturalisations ont chuté de 40 %. C’est la conséquence de choix politiques délibérés, mais non écrits, non dits. Je veux inverser cette tendance. Dès cet été, une circulaire sera signée, en ce sens, avec des critères transparents. »

Il faut donc comprendre que les immigrés doivent être de moins en moins nombreux grâce à une naturalisation beaucoup plus active. C’est très intéressant pour les statistiques où on améliore ainsi notre taux d’immigration. Mais je crois que Manuel Valls est encore beaucoup plus astucieux que cette simple correction arithmétique.

En effet, parmi les naturalisés, il y aura un grand nombre de clandestins qui sont forcément en difficulté « administrative ». Or il apparaît, selon les calculs d’un expert, que les 550.00 clandestins nous laissent finalement une ardoise de 4,6 milliards soit 8400 euros/an et par clandestin ou si vous préférez près de 175 euros/an et par foyer fiscal. En conséquence il suffit de les naturaliser et ils ne coûtent plus rien. CQFD

Génial ! C’est justement la somme moyenne que Moscovici voulait rajouter sur notre feuille d’impôts. On ne va pas payer plus, l’un compense l’autre ! J’apprends de plus de source bien informée que Michel Sapin aurait lancé la meilleure équipe de son ministère sur la piste de la martingale qui va faire que l’arrivée de ces français, futurs "souchiens", n’augmente pas le taux de chômage comme l’a annoncé l’INSEE. Ce dernier n’est qu’une bande de technocrates qu’il faut avoir à l’œil.

Ce même expert nous prouve que l’immigration nous coûterait finalement 30 milliards par an. Je crois que résoudre ce problème avec les mêmes méthodes devrait nous permettre de rééquilibrer notre budget des assurances sociales. Monsieur Valls vous êtes le meilleur, surtout que dans vos propos j’ai relevé cette phrase sur la prochaine circulaire : elle sera sur des critères transparents… donc invisibles. Ceci devrait empêcher tous les curieux malfaisants de se poser la question du bien-fondé ou non de toutes ses naturalisations.

Non, Monsieur le Ministre, nous ne galéjons pas. Nous comptons sur votre dynamisme et votre esprit inventif pour nous faire oublier celui de Sarkozy pour qui tous les chemins mènent à Roms. Il voulait bêtement les faire rentrer chez eux alors que leur « chez eux » est partout. Vous allez naturellement pouvoir sédentariser ceux-ci en France.

Voilà enfin l’immigration maîtrisée, la population française augmentée et le piège à cons des français solidement installé. Je sais que la tâche est difficile, car à piéger la connerie beaucoup s’y sont cassés les dents. Vous êtes jeune et, si vos dents ne raclent pas trop le sol, nous devrions, grâce à vous, avoir un tourisme migratoire que le monde nous enviera et de plus en plus de terres arab(l)es.

Nous attendons votre circulaire sans impatience

Puisque vous nous dites

« Circulez, il n’y a rien à voir !

Claude Trouvé        
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon


vendredi 29 juin 2012

L’invasion islamique mise en lumière

Le nouveau président, son gouvernement et la nouvelle Assemblée, largement adoubés à plus de 93% par la communauté des immigrés à large majorité musulmane, accélère le processus de désintégration de la nation. La nécessité du fédéralisme, notion habilement cachée lors des élections, s’introduit dans le discours présidentiel pendant que les premiers décrets et lois vont dans le sens du laxisme et du favoritisme du multiculturalisme pour ne pas dire autre chose.

C’est une accélération de la disparition de l’Etat-nation et une ouverture à l’arrivée de français non assimilés, voire non intégrés si l’on en croit les récentes déclarations de Manuel Valls qui veut accélérer les naturalisations. Le vote des étrangers n’en est que la partie visible mais l’immigration ne diminuera pas. Nous continuerons à accueillir une population venant principalement du Maghreb dans un pays où le chômage augmente et le pouvoir d’achat baisse.

Quel en est la raison alors ? Si nous n’avons plus de réel besoin de main-d’œuvre, sauf cas particuliers souvent ponctuels et limités dans le temps, c’est que nous poursuivons un autre but. On en trouve une partie d’explication économique dans nos accords avec l’Algérie. Nous facilitons cette émigration pour des raisons de sécurité d’approvisionnement d’énergie pétrolière. Mais la raison fondamentale est cette poussée de l’influence de l’islam dans les décisions gouvernementales. L’arrivée de musulmans aux plus hautes responsabilités de l’Etat n’y est évidemment pas étrangère.

Lorsque cette religion sera la première religion de France, comme elle l’est déjà dans le monde, la république modifiera sa constitution pour la rendre compatible avec la charia. Nous y allons de plus en plus vite au rythme de la fécondité et du prosélytisme. Les voix de ceux qui crient au loup sont étouffées et il faut aller s’exprimer à l’étranger pour ne pas encourir les foudres de la justice par le biais des MRAP et SOS racisme. 

C’est ainsi que 7 islamologues réputés ont écrit en octobre 2009 au gouvernement italien pour lui demander d’intervenir sur la France ! On croît rêver d’en arriver là mais c’est ainsi car la conquête de Rome avait été évoquée au congrès de l'UOIF (Union des Organisations Islamistes de France). L'UOIF venait de prendre les rênes de la Fondation des œuvres de l'islam de France, créée par Dominique de Villepin (liée à la Caisse des dépôts afin d'assurer le financement des mosquées). 

 

Ces islamologues se sont mobilisés afin de demander l'arrêt de toute collaboration gouvernementale avec un mouvement issu des Frères Musulmans. Première étape, alerter les autorités italiennes nommément visées par une stratégie de conquête "soft". Voici des extraits de cette lettre.

« Lors de la 26ème Rencontre des musulmans de France, qui a eu lieu des 10 au 13 avril 2009, au Bourget, le « docteur » Tareq Suwaidan, invité à donner une conférence sur Le Prophète Mohamed : un modèle pour l’humanité, a expressément enjoint la nombreuse assistance à ne pas oublier une prophétie  de Mahomet, fondateur de l’islam.

 Il s’agit d’un propos du dit prophète rapporté par ses compagnons dans le Hadîth (Tradition islamique ou Sunna), source majeure, après le Coran, de la Charia (Loi islamique). Mahomet aurait en effet annoncé que la conquête de Rome suivrait celle de Constantinople, première prophétie déjà réalisée en 1453 dans un bain de sang comme vous le savez. […] Venant de ce « docteur » soutenant ouvertement le Hamas et appelant à supprimer Israël, il y a de quoi s’inquiéter.

[…]La majorité présidentielle actuelle, par le biais des mairies gérées par ses membres, a facilité l’acquisition de terrains en vue d’édification de Grandes mosquées, dans les villes de Bordeaux, Mulhouse, Woippy et bien d’autres. Des terrains publics mis à disposition souvent sans contrepartie de loyers, quand il ne s’agit pas de financements directs des parties « culturelles ». L’opposition socialiste use des mêmes procédés, notamment à Nantes et à Poitiers, ville symbolique. »

La conclusion de cet aréopage de spécialistes est on ne peut plus explicite sur le danger évoqué.

« Nous nous adressons à l’Italie pour deux raisons :
 - Parce que nous avons l’impression de crier dans le désert, en écrivant des milliers de pages, en intervenant dans les médias pour un résultat nul, tout en prenant des risques évidents.
 - Parce que, étant Européens de langue latine ou Chrétiens arabes d’Orient, Rome est pour nous une des sources de nos racines en plus d’abriter le Vatican, clairement visé par ces islamistes.

 Pour toutes ces raisons, nous espérons que vous saisirez la gravité de la menace pesant sur notre civilisation commune et que vous interviendrez auprès du gouvernement français afin de lui demander s’il compte laisser les islamistes fomenter tranquillement l’invasion de votre territoire, déjà entamée à en juger la prière publique sur la place Vittorio Emmanuele à Rome le 20 septembre dernier. »

Ce qui se disait en 2009 se confirme en 2012.

Que sera notre pays en 2017 ?

Faudra-t-il alors sortir de l’Europe pour se faire entendre ?

Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

jeudi 28 juin 2012

Kaput devant l’Allemagne et devant les voyous !

« Maintenant, vous collaborez bien gentiment, sinon vous kaput. Tous kaput ». Ces mots raisonnent dans la tête de ceux qui ont encore des souvenirs de la dernière guerre mondiale et des milices aux ordres des allemands. C’est ce que mon père s’est entendu dire par un ouvrier licencié qui s’était ensuite engagé dans la milice. C’est l’Etat de la France devant l’Allemagne et devant les voyous.

En ce qui concerne l’Allemagne après les déclarations offensives de François Hollande candidat, on a le mezzo voce en tant que président face à une Allemagne droite dans ses bottes. Angela Merkel peut lui faire payer cher son manque de tact envers la première puissance d’Europe pour avoir rencontré son opposition avant elle. Décidément les femmes ne lui réussissent pas !

On ne peut reprocher à notre partenaire sa position rigoriste même si elle est bien adaptée à l’Allemagne et beaucoup moins pour nous. Celle-ci, sûre du court terme, échafaude une politique pour le moyen et le long terme. Les positions de la croissance, dont le principe est adopté sous réserve d’une rigueur structurelle, et de l’austérité seraient conciliables. Il faudrait que la confiance règne quand à notre capacité à tenir non seulement nos promesses mais aussi à les réaliser en augmentant la pression fiscale sans vraiment toucher aux dépenses. Ce n’est visiblement pas le cas.

L’Allemagne détient le principal cordon de la Bourse et est en passe de réaliser son équilibre budgétaire en 2013. Si 2012 peut se négocier chez nous  avec des impôts et taxes de moins de 10 milliards, 2013 s’annonce sous des auspices particulièrement difficiles. C’est donc un sommet de capitulation auquel nous devons nous préparer même si comme d’habitude « L’Allemagne et la France, la main dans la main, ont impulsé une nouvelle dynamique à l’Europe »… refrain connu.

Qui détient l’argent détient le pouvoir et c’est ce qu’a implicitement avoué Jérôme Cahuzac, Ministre du Budget, en disant qu’il faut compter sur « l’hégémonie bienveillante de l’Allemagne »… Comme chacun sait l’hégémonie est tout simplement la domination sans partage et se traduit en allemand par le mot capitulation comme l’a fait remarquer Mélenchon. Comme nous l’indique l’étymologie grecque, l’Allemagne est le « commandant en chef » de l’UE.

Mais nous capitulons aussi devant les voyous qui se sentent menacés par les bavures des policiers ou des gestes de légitime défense… inconsidérée. Le Sénat a à débattre d’une proposition de loi visant à désarmer plus ou moins les policiers et gendarmes. Jugez plutôt :

Article 1er
Le quatrième alinéa de l’article 431-3 du code pénal est ainsi rédigé : « Toutefois, les représentants de la force publique appelés en vue de dissiper un attroupement peuvent faire directement usage de la force. Ils ne peuvent utiliser à cette fin les armes de 4e catégorie, définies par décret pris en Conseil d’État, que dans les circonstances exceptionnelles où sont commises des violences ou des voies de fait d’une particulière gravité et constituant une menace directe contre leur intégrité physique. »

Article 2
La commercialisation des armes de 4e catégorie et autres engins assimilables, dont la liste est définie par décret pris en Conseil d’État en raison de leur sécurité et de leur performance, est interdite.

Article 3
La distribution et l’utilisation des armes de 4e catégorie, dont la liste est définie en Conseil d’État, par les services de l’État des communes ou par des particuliers sont prohibées.

Un attroupement cela commence à combien de personnes, deux ou trois ? Pendant ce temps l’on trouve facilement une kalachnikov sur le marché de la Paillade à Montpellier.

« En septembre 2008, TF1 publiait une enquête et concluait qu’environ 10 millions d’armes à feu illégales circulent en France. Le 5 juin 2012, Le Figaro affirme que, selon les services de Police, environ 4000 armes de guerres circulent en France. En décembre 2010, Le Figaro révélait qu’une Kalachnikov coûte 250 euros, un 357 Magnum 400 euros, et que le stock d’armes détenus par les trafiquants de drogue – tous musulmans – « banlieues sensibles » est estimé à 30.000. » © Jean-Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info

Comment s’étonner ensuite que deux représentantes de la loi, soient désarmées et abattues !

Laxisme, impuissance et duplicité

Vont nous faire un bel été !

Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

mercredi 27 juin 2012

L’encerclement de l’Europe par l’Islam

Il devient de plus en plus difficile de justifier les actions de la France de l’autre côté de la Méditerranée. En effet après la Tunisie et la Libye devenus ingouvernables, l’Egypte est en passe de passer entre les mains des islamistes et plus précisément des Frères Musulmans. L’Egypte est le plus grand pays arabe dont l’influence est très importante même si l’Arabie Saoudite et le Qatar lui contestent cette prépondérance grâce aux revenus pétroliers.

Le Maroc résiste à cette poussée, non que l’islamisme n’y règne pas mais le roi détient les pouvoirs temporels et spirituels. De plus il s’agit d’un régime autoritaire où la liberté d’expression est limitée aux louanges du souverain et où rien ne se fait sans l’assentiment de la famille royale. Sous une autre forme l’Algérie a résisté à cette même poussée avec un régime qui n’a pas hésité à réprimer les mouvements religieux contestataires.

On constate que la résistance à la poussée des Frères Musulmans et des mouvements liés à Al-Qaïda ne tient qu’à la présence de régimes autoritaires voire totalitaires. Dès que ces régimes sont déchus par des interventions extérieures, les Frères Musulmans s’implantent en sachant que la nature a horreur du vide.

 Le « printemps arabe », né en Tunisie va déboucher sur un automne islamiste. C’était le pays le plus avancé du monde arabe dans le fonctionnement d’une démocratie à l’occidentale, où la femme avait des droits qui se rapprochaient de ceux de l’homme, où l’enseignement scolaire touchait la presque totalité de la population et où les femmes fréquentaient l’université sans être voilées. Il retourne désormais en arrière dans un obscurantisme religieux et un recul économique. De nombreux Tunisiens quittent leur pays.

La Libye, dont Kadhafi était en train de faire le pays le plus riche et le plus puissant d’Afrique retourne dans ses affrontements tribaux que le dictateur avait bloqués. Elle est devenue ingouvernable mais les compagnies pétrolières qui n’ont plus d’interlocuteur valable ne se privent pas d’en profiter.

Nous avons joué aux apprentis sorciers parés de l’armure des croisés de la liberté et de la démocratie. Nous avons agi comme les explorateurs découvrant une population, coupée du monde depuis toujours, à qui on fournit d’abord des tablettes numériques. Combien de siècles avons-nous mis pour nous sortir du poids temporel de la religion et apprendre la démocratie ? Sommes-nous sûrs que c’est le meilleur fonctionnement possible ? Ce n’est, en tous cas, pas l'avis de l’élite toute puissante mondiale qui nous prépare à la gouvernance mondiale… et à l’esclavage.

De Gaulle disait qu’il était dangereux de laisser entraîner dans des croisades inutiles. Ce visionnaire avait encore raison, lui qui se méfiait du couple anglo-américain. Hors c’est ce que nous avons fait en Libye, en demandant en plus à être les premiers à frapper ! Non content de cet échec dans le résultat obtenu, tout au moins, nous récidivons en Syrie pour nous mêler de conflits internes au nom… de la décision américaine.

Ne parlons plus là de démocratie. Il est moins que sûr que le gouvernement « de libération » instaure la démocratie, tout au moins comme nous l’entendons et non sous contrôle de la charia. Il n’est pas utile de dire que toutes ces formes de dictature ne perdurent que par la répression de toute dérive, dans le sang s’il le faut. Nous ne le souhaitons pas pour nous-mêmes évidemment et nous voudrions que tous les pays soient sur notre modèle.

Mais qu’elle légitimité avons-nous d’aller fournir des armes à des insurgés, d’alimenter une guerre civile et de risquer de déclencher un conflit mondial ? L’appui russe à la Syrie ne cèdera pas et il s’agit en fait d’une guerre entre grandes puissances et entre factions musulmanes.

Le résultat de tout cela c’est que l’étau musulman autour de l’Europe tente de se refermer du Maroc jusqu’au Liban. L’Europe est déjà infiltrée de dizaines de millions de musulmans qui sont là comme les parachutistes pour préparer le terrain même si la plupart sont respectables et n’en sont pas conscients. Les prédictions et les prêches musulmans qui se multiplient dans le monde sur la conquête de l’Europe sont en train de se réaliser avec… notre appui !

C’est ainsi que meurent les civilisations

Par l’aveuglement ou la complicité de ceux qui les gouvernent.

Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

mardi 26 juin 2012

De l’état de grâce à l’Etat de Grèce

Le prochain sommet  de l’UE sera, comme d’habitude, celui de la « dernière chance ». Il est vrai qu’à chaque réunion nous nous en rapprochons. Ce ne sera pourtant pas encore pour cette fois, l’Allemagne est encore décidée à faire quelques concessions mineures pour imposer sa rigueur à l’allemande, rigueur qu’elle veut imposer aux pays et en particulier aux plus grands d’entre eux Espagne, Italie et France.

Mario Monti, qui passe pour un technocrate économiste avisé, va brandir la menace de l’Italie sans gouvernement et cela va suffire sans doute à permettre à la chancelière de céder un peu sur les mécanismes de relance de la croissance. Cela sera néanmoins assorti d’un « ni revenez plus ! ». Cette fois la chancelière ne peut plus aller plus loin et le cas de la Grèce en est la démonstration. L’Allemagne ne veut plus aider encore la Grèce au-delà de reports sur le plan d’austérité grec, reports qui devraient néanmoins alourdir la note de 20 milliards.
 
La chancelière sait que cela ne suffira pas et est prête à faire sortir la Grèce de l’euro. Elle est excédée par le leitmotiv keynésien de la France sur la croissance obtenue par des fonds mis à disposition par l’UE pour des investissements stratégiques et structurels. Les 120 milliards qui sont en cours de discussion ne représentent d’ailleurs pas de l’argent supplémentaire en totalité mais aussi la somme d’engagements antérieurs. Elle sait que ces sommes risquent fort d’être détournées par les États qui ne voient l’austérité que dans les hausses d’impôts.

Elle se méfie de la banque européenne d’investissement qui n’est pas sous le contrôle de la BCE ou de l’Allemagne. Ce pourrait être une bonne solution, car il s’agit d’un organisme financièrement plus puissant que toutes les banques centrales du monde et dont la rigueur de gestion est exemplaire. Malheureusement le climat de confiance entre la France et l’Allemagne s’est fortement détérioré depuis l’arrivée de François Hollande.

La chancelière a été heurtée par la préférence donnée à une rencontre avec le SPD, parti d’opposition, avant celui entre chefs des deux états les plus puissants de l’UE. La retraite à 60 ans partiellement accordée et l’augmentation du SMIC même faible l’a convaincue que la France n’était pas prête à faire les efforts nécessaires sur les dépenses.

Le gouvernement français vient d’annoncer un gel des dépenses pour 2012 et 2013. Il n’est déjà pas sûr que cela puisse être tenu mais il faut trouver des recettes supplémentaires sur l’hypothèse de 0,5% de croissance. Elles sont chiffrées à 7 milliards pour l’instant. En gros, dans cette hypothèse de croissance, l’objectif de 4,5% de déficit par rapport au PIB signifie 91 milliards à ajouter à la dette publique.

Si cette croissance est nulle, ce qui est une hypothèse très probable, vu la croissance dans l’UE à mi-année, non seulement les recettes fiscales seront impactées mais le ratio déficit/PIB sera doublement affecté car le dénominateur sera plus faible. Nous ne tiendrons pas l’objectif fixé sans recettes supplémentaires ou diminutions des dépenses.

Malheureusement aucune des dispositions prises ou envisagées par le gouvernement ne sont en adéquation avec l’affirmation de retour de la croissance. Que ce soit du côté dépenses ou du côté recettes on ne voit rien qui puisse relancer la croissance et diminuer les dépenses publiques qui ne seront d’ailleurs que gelées. La croissance vertueuse demande de : 

- privilégier les bonnes dépenses publiques – à savoir celles qui sont rentables et favorisent la croissance ;
- favoriser les bons impôts (d'un point de vue macroéconomique s'entend) – à savoir ceux qui favorisent l'investissement en capital-risque et ceux qui n'alourdissent pas le coût du travail en détaxant par exemple les facteurs de production susceptibles d'être délocalisés.

La politique qui privilégie la hausse des impôts et taxes, la réduction des niches fiscales sans discernement, la taxation des riches au-delà de ce qui est pratiqué dans les autres pays européens, le frein à l’actionnariat, à l’investissement à risque ne peuvent mener notre pays que vers l’Italie, puis l’Espagne, puis vers la Grèce.

Pour accompagner la délocalisation de nos usines

Ne devrions-nous pas délocaliser le gouvernement ?

Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

lundi 25 juin 2012

La double nationalité et la double politique

La lente intrusion de la religion musulmane dans les instances gouvernementales et parlementaires se poursuit. L’ambigüité de la double nationalité ou de la double politique prend ainsi des proportions de plus en plus importantes. Sous prétexte d’ouverture, Sarkozy a commencé à donner dans la diversité.

On a eu l’ancienne ministre de la justice, Rachida Dati d’origine maghrébine et musulmane aux caprices d’enfant gâtée, qui s’est octroyé le titre de meilleure messagère du peuple marocain. On a eu Rama Yade, d’origine sénégalaise et née d’une famille proche du pouvoir politique sénégalais, qui fut surtout préoccupée de faire des coups médiatiques. On a eu Fadela Amara, issue d’une famille maghrébine et musulmane, qui a pris plaisir à faire savoir qu’elle était une bonne musulmane donc qu’elle admettait la charia comme règle de vie.

Avec le gouvernement socialiste on a une nouvelle arrivée avec Christiane Taubira, Yamina Benguigui et Najat Belkacem. La première, née en Guyane, a soutenu les mouvements indépendantistes. Elle a été nommée Ministre de la Justice et a courageusement refusé de se présenter aux législatives... Mais les deux suivantes ont la double nationalité et viennent compléter le trio avec la Vice-présidente du Sénat. Yamina Benguigui, franco-algérienne, est nommée ministre déléguée de la Francophonie le 21 mai 2012.

Le cas de Najat Belkacem, franco-marocaine, est intéressant au moment où celle-ci veut réaliser l’interdiction de la prostitution… elle ne parle pas encore d’éradication. En Février 2012, le journaliste marocain Ali Amar révélait, sur son blog VoxMaroc au Monde.fr que « Najat Belkacem (est) l’espionne du roi qui se rêve à l’Elysée ». Il dénonçait la double carrière politique de Najat Belkacem, qui fait partie, depuis 2007, des 37 membres du Conseil consultatif des Marocains à l’étranger (CCME) directement nommés par Mohammed VI.

Le conseil de la communauté marocaine de l’étranger (CCME), pour Najat Belkacem « a pour but de renforcer l’identité marocaine des Marocains de l’étranger, d’émettre des avis sur leur éducation religieuse (musulmane) ».

Très gênée d’avoir été découverte défendant l’identité Marocaine alors qu’elle dénonce la préférence nationale Française comme une tare d’extrême droite, Belkacem déclara à l’AFP avoir fait partie du CCME « entre décembre 2007 et décembre 2011 ». Faux ! écrit le site marocain Yabiladi le 20 avril dernier :

Le mandat du CCME devait prendre fin et le Conseil devait être renouvelé en décembre 2011, mais jusqu’à ce jour, rien n’est fait. Les membres sont dans le flou et il semblerait que le président n’ait pas encore envoyé ses avis au roi. Autrement dit, sauf si elle a démissionné directement, ce qu’elle ne dit pas, Najat Belkacem n’a pas mis fin à ses fonctions, mais elle s’appuie de façon pernicieuse sur la date du renouvellement des membres.

Najat Belkacem affirma ensuite ne pas être payée pour cette fonction, c’est : « un engagement volontaire et bénévole au service de l’intérêt général » (JPG : intérêt général des franco-marocains ?). Faux ! écrit le journaliste Ali Amar : « elle perçoit des émoluments de complaisance dont le montant est presque un secret d’Etat ». Rémunérée ou bénévole, le vrai sujet, en réalité, est ailleurs. Car selon Ali Amar, le CCME est « la machine de propagande du royaume à l’international, sa cinquième colonne ».

Au site Bladi.net, Najat Belkacem déclarait que le CCME « s’exprimera d’abord sur les sujets dont [il] sera saisi par Sa Majesté en faisant valoir un point de vue de Marocains de l’étranger, et pour ce qui me concerne de Franco-Marocaine engagée dans la vie politique française ».

Ali Amar qui rappelle que Najat Belkacem, jusqu’en 2007, était la porte parole du Palais, conclut que « celle qui siège à 34 ans comme adjointe au maire de Lyon, et également comme conseillère générale, engrange les faits d’arme d’agent double ». Najat Belkacem ne faisait-elle pas à l’Express, le 12 mai dernier cette déclaration troublante :

« Lorsque vous êtes d’une nationalité étrangère mais installé en France, vous pouvez aussi constituer une sorte de passerelle entre votre pays d’origine et votre pays de citoyenneté (pour) développer de meilleures relations culturelles (et) même économiques (avec) les pays qui nous entourent. »

Ali Amar : « Au Palais de Rabat, on se frotte déjà les mains de la voir sur la photo de groupe sur le perron de Élysée. L’espionne qui venait du bled est à deux doigts de pénétrer le saint des saints de la république. A la joie du sultan! »

Cette information est particulièrement importante et inquiétante. Elle met le soupçon d’une double politique au moins ou d’une ingérence étrangère possible dans le gouvernement français au plus. C’est bien le problème majeur que pose le fait d’avoir une double nationalité et de pouvoir œuvrer dans le domaine politique.

La Ministre Najat Belkacem est-elle l’agent d’un pays arabe ?

Ou pour qui roule-t-elle ?

Nos politiques n’ont toujours pas compris

Que les islamistes avancent un projet politique !

Claude Trouvé
Coordonnateur du MP du Languedoc-Roussillon

dimanche 24 juin 2012

La Roche, elle, tient bon !

Les dimanches sont quelquefois maussades à cause soit du temps soit de l'actualité soit de soucis familiaux. Il est bon alors de savourer la langue française que certains savent encore manipuler avec délicatesse dans un humour caustique. Oublions un instant les SMS, les onomatopées et le nouveau langage des cités pour retrouver la langue de Molière dans ce pamphlet d'un auteur inconnu mais particulièrement doué.
Bon dimanche !  


Siège de la Rochelle
par Ségolène Royal – 2012


Près du vieux port antique, dans cette cité fameuse
Se livrait sous nos yeux, une bataille glorieuse
Ces murs avaient connu, le siège de Richelieu
Venu prendre la ville, reparti victorieux.
 
Les siècles sont passés, mais cette cité fière
Présente sans trembler, son visage à la mer.
Mais celle qui aujourd’hui, rêve de la faire tomber
Pilotée de Paris, est venue de Poitiers.
 
Elle se croyait sans doute, dans un terrain conquis
Qu’elle arriva certaine, de gagner la partie
Mais c’était sans compter, sur sa capacité
A perdre tous les combats, qu’elle crut toujours gagnés.
 
Sans compter également, sur l’'homme qui terré
Dans les ruelles étroites, de sa ville tant aimée
Regardait amusé, Royal parachutée
Savait bien que ici, elle allait s'écraser.
 
Avec un grand panache, celui de l'insouciance
Falorni attendait, l’heure de la résistance
Ramassa le drapeau et le leva bien haut
La bataille commençait contre Solférino.
 
Drapeau de son courage, et couleurs de l'honneur
C’'est sous ce bel ombrage, qu’il sortira vainqueur
Face aux déracinés, qui d’orgueil boursouflés
Considèrent les français, dénués de fierté.
 
Rendant ainsi hommage, aux héros du passé
Qui à travers les âges, et désintéressés
Combattirent sans relâche, les plus odieux outrages
Falorni décida, d’écouter les suffrages.
 
Et le déferlement, des momies du parti
Commença aussitôt, dans le plus grand mépris
Et c’est par trains entiers, que nos chers oligarques
Gonflés de suffisance, à la Rochelle débarquent.
 
Les ennemis d'hier, qui jadis l'insultaient
En cortège mortuaire, à son secours volaient.
Même le président, le père de ses enfants
Soutenait cette intruse, dans un ultime élan.
 
Mais dans l’ombre dorée, de son immense palais
La favorite aimée, sa vengeance préparait.
Elle voulait achever, sa rivale blessée
Celle qui avait osé, avant elle l’aimer.
 
D’un message ravageur, elle donna le signal
Du début prometteur de la curée royale.
Nous révélant ainsi, qu’en France désormais
C’'est bien au fond des lits, qu’on dirige les français.
 
Cette gauche si normale, qui n’a jamais cessé
De nous faire la morale, de vanter sa pureté
Montre qu’elle sait maintenant, se gaver de caviar
Tout en nous dirigeant, du fond de son plumard.
 
Falorni mon héros, dresse toi sur tes pieds
Contre tous ces bobos, et ces déracinés
Ecrase cette migratrice, qui rêvait du perchoir
Et bats cette amatrice, vas chercher ta victoire.
 
Et dimanche soir prochain, à travers le pays
S’élèvera enfin, de la France un grand cri
Celui du soulagement, et de la gratitude
On dira tes louanges, ton immense bravitude.
 
Tu auras eu la peau, de celle qui croyait
Qu’en la faisant tirer, elle tromperait les français
Ta gloire sera si grande, que pour toi s’ouvrira
Le chemin du pouvoir, qu’elle ne méritait pas.

Avec les compliments à l'auteur de
Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon


samedi 23 juin 2012

De reculades en désaveux

Le nouveau président Hollande avait sur la politique économique et écologique une vision volontariste, novatrice où l’austérité était mise sous l’édredon et la croissance élevée au rang de fontaine de jouvence. Il n’est pas de jour depuis où l’on n’assiste pas à des revirements de trajectoire ou à des couacs gouvernementaux.

Cela a commencé par des ministres dont l’envie de faire parler d’eux était irrépressible. Cécile Duflot, de paroles, n’a pas hésité, au nom de l’écologie, à annoncer la légalisation de la vente du cannabis. C’est vrai que fumer de l’herbe vous hisse au rang de sous-préfet aux champs, écologiquement parlant. Elle a été relayée par Vincent Peillon qui a enfin tranché dans ce serpent de mer qui date d’au moins soixante ans. Les vacances de novembre doivent être rallongées et la semaine de quatre jours abrogée. En pleine concertation avec lui-même, ce ministre a ainsi fait la une des journaux. Aussitôt annoncées, ces mesures sont reportées à plus tard au mieux par un chef de gouvernement, porte-parole du président.

Et de deux. Mais ce dernier a sa propre liste de reculade et de désaveux. Son credo de la croissance devait être nourri par des euro-bonds de mutualisation de la dette. Averti du refus de l’Allemagne, il avait annoncé qu’on allait voir ce que l’on allait voir. On a vu en effet Jean-Marc Ayrault, Premier ministre, annoncer implicitement, ce 20 juin 2012, leur abandon spectaculaire à l’hebdomadaire allemand Die Zeit. « Il est vrai qu’une communautarisation des dettes exige nécessairement une plus forte intégration politique et nécessitera certainement plusieurs années… ».

Et de trois. Le même président se faisait fort de convaincre l’UE de la nécessité d’instaurer la taxe sur les transactions financières, la TTF. Il y avait là une source juteuse d’argent dont l’Europe avait besoin… pour la croissance. Les 27 pays se sont montrés dans l’ensemble sceptiques, hors les pays de l’Europe du Sud en difficulté financière. Angela Merkel en a accepté le principe mais sans réel enthousiasme. La TTF prend plutôt la direction de discussions sans fin sur sa finalité et ses conditions d’application dans un nombre limité de pays.

Et de quatre. La cerise sur le gâteau est sans doute l’affaire Shell et les forages en Guyane. Dans le premier gouvernement on avait intronisé avec force arguments une socialiste, Nicole Bricq, au ministère de l’écologie et du développement durable. Celle-ci déclarait d’ailleurs : « Les réactions de la mouvance écologiste ont été très favorables, pour une raison bien simple : je connais les dossiers, j’ai une vraie légitimité et une forte conviction. J’ai, par exemple, beaucoup contribué en 2008, alors que le premier secrétaire du PS était François Hollande, à intégrer l’écologie au sein de la déclaration de principe du Parti socialiste ». Elle ajoute : «  Il y a, j’en conviens, de petites différences culturelles entre certains de mes collègues et moi. Je ne nie jamais les obstacles, car il faut les connaître pour les surmonter, mais je pense avoir des appuis de poids au sein du gouvernement, parmi les associations et dans la société. Ce sera décisif. » Sans aucun doute cette ministre a été choisie pour sa compétence !

Forte de cet appui gouvernemental et présidentiel, notre ministre annonce : « Je remets à plat tous les permis. Je remets donc à plat le permis de la société Shell en Guyane ». Pour justifier sa position, elle avait invoqué « l’attachement du gouvernement à la protection de la faune marine et de l’environnement » [sic !] et avait affirmé qu’elle ne disposait « d’aucune garantie » de la part de Shell. (François ASSELINEAU)

Cette disposition avait été avalisée par notre fringant ministre du Redressement Productif. Mal lui en a pris. La voilà virée de son ministère pour le Commerce extérieur lors du remaniement ministériel. Comble du camouflet, le permis de forage de Shell est attribué en Guyane par le couple Hollande-Ayrault. De plus la ministre va devoir aller vanter à l’extérieur, les mérites écologiques du nucléaire français.

Et de cinq. De plus Arnaud Montebourg avale un autre chapeau et est renvoyé au « sauvetage des improductifs » comme Doux et les autres à titre de redressement pour bévue ministérielle. Et de six.

Le détricotage économique et écologique du programme présidentiel

N’est nullement un aveu de faiblesse mais une manière de gouverner !

Ça promet… une franche rigolade des allemands

Qui ne comprennent déjà plus rien à la politique française.

Qu’ils se rassurent, nous non plus !

Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

vendredi 22 juin 2012

La TTF va faire teuf-teuf !

La TTF vous connaissez ? Mais si, c’est le dernier gadget, la Taxe sur les Transactions Financières, anciennement dénommée Taxe Tobin du nom de son auteur. Ce dernier a demandé de retirer son nom car l’utilisation prévue actuelle l’a détournée de son objet initial.

Nos quatre compères, Allemagne, Italie, Espagne et France ont trouvé à Rome un nouveau « consensus » selon les termes journalistiques en vigueur, la TTF à quatre. En effet les 27 ministres des Finances n’ont pas trouvé d’accord global, pardon la TTF « fait débat ».

On remarque de plus en plus que l’UE est si difficilement gouvernable que l’on se réunit de plus en plus à 2, à 3 et maintenant à 4. Les débats germano-français dont il sortait des quasi-injonctions pour les autres pays ont fini par en énerver certains dont l’Italie en premier. Donc on a élargi le groupe de ceux qui doivent dire aux autres ce qu’il faut faire. C’est cela la démocratie directe dans l’UE.

Mais revenons-en à la TTF, un sigle de plus dans l’armoire à outils de l’UE. Le Royaume-Uni, les Pays-Bas et l’Irlande ont dit non. On a commencé à se rabattre sur « une coopération renforcée » qui doit se conclure à neuf. Malheureusement seuls six pays sont d’accord, l’Allemagne, la France, la Belgique, l’Autriche, le Portugal et la Slovénie. 

Cette taxe doit toucher les transactions financières au taux de 0,1% pour les actions et les obligations et de 0,01% sur les autres produits financiers. Ceci aurait généré jusqu'à 57 milliards d'euros à l'échelle de l'UE. Si les quatre principaux pays l’appliquent il serait escompté une quarantaine de milliards.

La difficulté majeure est que la majorité des transactions financières passent par la City et que le Royaume-Uni est contre la TTF. De plus celle-ci va voir augmenter les transactions au détriment des autres places financières. De plus les conditions d’application sont loin d’être claires comme l’on fait remarquer de nombreux pays qui attendent des précisions.

Mais la destination de ses fonds financiers va aussi faire débat car, dans l’esprit de François Hollande, cela doit servir à des investissements européens dans le but de booster la croissance. Pour l'ONG Oxfam, M. Hollande doit "rappeler que la taxe sur les transactions financières- doit contribuer avant tout à la lutte contre la pauvreté et le changement climatique" à l'occasion du prochain sommet européen des 28 et 29 juin.

On voit que la TTF a déjà reçu de nombreux coups de canif, d’ici qu’elle saigne, il n’y a pas loin. La TTF risque fort de se transformer en fausse « bonne idée » si elle n’éclot pas au moins au niveau européen sinon mondial. Ce qui est clair c’est que l’on cherche de l’argent partout. Pour certains pays c’est pour éponger directement leurs dettes ou tout au moins soulager leur déficit, pour d’autres c’est pour alimenter la croissance censée atteindre le même but.

La mise en train de la TTF

Semble bien poussive et peut devenir

La Teuf-Teuf-Française !

Claude Trouvé
Coordonnateur MPF34 du Languedoc-Roussillon