samedi 16 juin 2012

Doit-on tout admettre au nom de la liberté des peuples et des religions ?

Il m’est facile de regarder ce qui se passe avec cette religion qui s’implante en France et dans le monde, je veux nommer l’Islam. Je ne sens, à priori, aucune répugnance, aucun ostracisme pour une quelconque religion. J’ai été élevé dans la laïcité mais aussi dans le catholicisme comme on complète les humanités de ses enfants par la connaissance de la religion alors la plus pratiquée dans notre pays. Je ne la pratique plus mais j’ai aussi acquis une grande tolérance et un respect pour ceux pour qui la foi enrichit la vie.

Pourtant les chrétiens, dont le nombre se réduit en France de jour en jour, apparaissent être, comme les juifs, l’objet d’attaques sur leurs lieux de prière ou sur la voie publique. Les organisations antiracistes font grand bruit sur tout acte de simple discrimination avant même d’être des actes caractérisés de racisme et de violences verbales ou physiques lorsqu’il s’agit de musulmans. On ne les entend plus lorsqu’il s’agit de chrétiens ou de juifs. Les médias locaux les signalent dans les faits divers et il faut du sang versé pour que les médias nationaux en fassent état une journée, deux dans les cas graves.

Ce silence laisse donc une trace très faible dans l’opinion qui a tendance à se culpabiliser sur les faits mis en épingle par les organisations antiracistes et relayées alors par les médias. Il semble ainsi, que les actes discriminants ou racistes sur les deux autres religions du livre, soient marginaux et que nous devons tout faire pour lutter contre un antiracisme déplorable sur les pratiquants de la religion islamique. Il nous faut surveiller non seulement nos actes mais aussi nos paroles et nos écrits sous peine de tomber sous l’ire du MRAP et de SOS racisme. Toute allusion pouvant être considérée comme discriminante peut nous conduire au banc des accusés comme le furent certains journalistes à partir même de faits avérés.

La religion islamique se dit religion de paix et d’amour et elle surfe sur une propagande d’Islam modéré qui ne chercherait qu’à vivre dans notre pays comme les autres religions. En effet on peut le constater chez des français musulmans intégrés et qui aiment leur pays d’adoption. Pourtant on ne peut pas exclure le fait que la charia et les hadiths ne peuvent être contrariés par les lois de la république. En conséquence il existe, de facto, une pression sur l’Etat pour qu’il adapte ses lois à la charia, qu’on le veuille ou non.

Mais il se développe de plus en plus un antichristianisme et un antijudaïsme chez des musulmans non intégrés qui agitent plus facilement les drapeaux de pays islamiques que des drapeaux français. Chez eux l’islam leur permet de sortir de la tolérance des autres et ils passent facilement à l’acte. La Charia est leur combat et l’on voit d’ailleurs, dans les pays du pourtour de la méditerranée récemment « libérés », les islamistes imposer les rites de la charia. On vient ainsi de voir, sur une vidéo insoutenable, un jeune musulman tunisien converti au christianisme égorgé rituellement et décapité par des islamistes…

Mais les faits d’antichristianisme sont nombreux en France et dans le monde contrairement à l’opinion répandue. Citons par exemple :

  • Les communistes chinois refusent un visa à un pasteur ancien Premier ministre de Norvège
  • Un cimetière chrétien vandalisé et des tombes profanées en Inde
  • Une église occupée par des islamistes en Syrie
  • Des chrétiens violemment tabassés par des extrémistes hindous
  • Église vandalisée : en Suisse aussi…
  • Deux chrétiens tabassés et emprisonnés en Indonésie
  • Une chapelle vandalisée à Nice
  • L’église Notre-Dame-la-Grande de Poitiers vandalisée
  • Des fidèles « caillassés » dans une église à Carcassonne
La non-intégration de la population en provenance principalement du Maghreb ne peut conduire qu’à un affrontement de plus en plus violent et des villes entières peuvent devenir de véritables brûlots ou vidées de leur population d’origine. C’est ce qui commence à se produire dans certaines villes ou le centre ville se peuple d’une culture étrangère qui fait fuir les précédents occupants. Ce phénomène fait rapidement tache d’huile comme on peut le voir dans la vieille ville de Béziers.

Les prix des appartements s’effondrent de proche en proche ainsi que le prix des loyers. C’est une population en majorité musulmane qui en prend possession et rejette les autochtones dans certains quartiers périphériques. Les populations se juxtaposent mais ne se mélangent pas et les plus féconds repoussent les autres.

La mixité des populations « de souche » et immigrée

Ne peut s’accomplir que dans l’assimilation des nouveaux arrivants

Il ne semble pas qu’une politique digne de ce nom soit mise en place.

Claude Trouvé
Coordonnateur du MPF du Languedoc-Roussillon.