Les
jeux du cirque vont bientôt se terminer avec l’arrivée du Tour de France à
Paris. Mais déjà les jeux politiques sont commencés pour la Présidentielle
française. Hélas les marionnettistes vont encore attirer des foules crédules
avant que le peuple se rende compte d’une part que tout ce monde politique est
d’autant plus manipulé qu’il se rapproche du pouvoir et d’autre part que les
ficelles sont tenues par le milieu financier et bancaire juif et américain.
Pour ceux qui en douteraient encore, la captation de Manuel Barroso, ancien
commissaire européen, par Goldman Sachs projette une étincelante clarté sur ceux
qui sont les Maîtres du monde au moins occidental. Goldman Sachs est l’un des
artisans de la crise des subprime en 2008, a trempé dans le tripatouillage des
comptes publics pour permettre à la Grèce d’intégrer l’euro. Mais Mario Draghi,
patron de la BCE, Banque Centrale Européenne, a été placé par Goldman Sachs. Il
se permet de sortir de ses statuts en sauvant les États par rachat direct d’obligations souveraines et dernièrement celles du
privé, alors qu’il ne peut prêter statutairement qu’aux banques. Il a placé
Matteo Renzi à la tête de l’Italie et la BCE n’est qu’une réunion de banquiers
des États.
Il y
a jusqu’à la Fed, la banque centrale américaine, qui réunit des banquiers, en
plus privés cette fois. La campagne électorale pour la Présidentielle montre d’ailleurs
la puissance de l’Establishment qui contrôle les médias, tenus par six
conglomérats, qui font la pluie et le beau temps pour le choix du futur
locataire de la Maison Blanche. Les banquiers déversent de l’argent sans
compter pour Hillary Clinton, pendant que les médias traînent Donald Trump dans
la boue. Ce dernier ne doit rien aux banquiers et c’est pourquoi il doit perdre
l’élection et disparaître. Il est, pour la première fois, non pas un candidat
normal mais un candidat qui peut être indépendant des banquiers. Il ne nous
appartient pas de voter pour l’un ou pour l’autre, nous devons simplement
observer. L’essentiel n’est pas de savoir si Donald Trump sera ou non un bon
président, mais de constater que les dés sont pipés et que la démocratie
américaine n’est plus qu’une farce… tragique pour le peuple qui est honteusement manipulé. De plus la
candidate, sous le coup de la fuite de secrets d’Etat, va échapper à toute
comparution devant la justice… elle-même polluée quand le FBI renonce à porter
plainte.
Ce
qui se passe aux États-Unis va se passer chez nous. N’oublions pas que François
Hollande a eu comme première préoccupation de se faire adouber par la City tout
en proclamant, dans un honteux double-jeu, que son seul ennemi était la
Finance. Les médias français sont entre les mains de trois grands groupes dont
l’un est tenu par un financier juif. Le Monde lui-même est tenu par une banque.
En résumé il va falloir que le peuple français se rende compte que son vote
risque d’être manipulé par des médias aux ordres du Système qui aura lui-même
choisi son candidat. On peut déjà être sûr que le candidat choisi le sera pour
servir le mondialisme, les grands groupes et les banquiers. Prudents Juppé et Fillon se sont faits adouber par le groupe Bilderberg. Macron, salué à Davos et paraissant
le type même de jeune loup issu de la Banque Rothschild, risque fort d’être l‘élu,
ni gauche, ni droite, donc du Système qui manipule la pensée unique. Il se
pourrait fort bien que la Présidentielle se passe entre le Système et le
Souverainisme. Si par exemple l’un et l’autre étaient incarnés par Macron et Le
Pen et se retrouvaient au second tour, nous aurions un spectacle à l’américaine.
Alors nous saurions si le peuple est assez déterminé pour faire sauter le
carcan dans lequel il est désormais enferré par
l’UE, l’euro, la BCE, l’OTAN, le FMI, la BRI, la Banque Mondiale, et
même l’ONU.
J’ai
dit que la sortie du Royaume-Uni était une affaire convenue d’avance,
programmée par la Cabale et ses fifres, car là aussi il y a les fifres et les
sous-fifres. Les premiers ne forment qu’un groupe très restreint où les
banquiers dominent. Le peuple anglais était mûr et il a permis d’atteindre
démocratiquement l’objectif. Menacé de mort, Nigel Farage a été écarté, il a
servi certes mais il était réellement contre le Système, comme les
eurosceptiques anglais qui ont voté le Brexit. Il n’est que de voir combien les
prédictions de catastrophe avaient peu de consistance juste ce qu’il faut pour
qu’après le peuple soit content de sa victoire. Maintenant les bourses
repartent en avant et la livre remonte comme le montre visuellement les
graphiques avec en haut livre/dollar et en bas Livre/euro. La sortie du Royaume-Uni
montre deux choses. La première est qu’un tremblement de terre va ébranler l’UE,
la deuxième, qui conforte la première, est que le Royaume-Uni s’est prudemment
mis à l’abri mais à l'ombre des banquiers qui vont surveiller le peuple avec le projet de loi sur les pouvoirs d'investigation qui est en cours d'examen
au Parlement. Le projet a même été nommé "la charte du fureteur". Comme le dit très justement Dupont-Aignan : "l'oligarchie mondiale ne supporte plus la démocratie".
J’entends
des économistes qui parlent de la dévaluation de la livre comme d’un boulet
pour le Royaume-Uni. Le seul fait marquant est que la livre a chuté brutalement
dès l’annonce du Brexit. Le 12/07/16 la livre a perdu 11,52% par rapport au
dollar et 8,88% par rapport à l’euro. Mais il faut noter que par rapport au
24/02/16 la livre n’a perdu que -4,3% par rapport au dollar et -5,6% par rapport
à l’euro, donc en 4 mois ½ après avoir perdu 11,96% contre le dollar et 4,88% depuis
son point haut du 24/08/15 soit en 6 mois. On voit donc que la livre était sur
un mouvement baissier que le Brexit a précipité. Ce dernier mouvement trop brutal va
générer une remontée de la livre qui est en cours. La partie la plus chaude
pour le Royaume-Uni ne se joue ni sur la monnaie, ni sur les échanges
économiques qui trouveront des accords, ni sur le dumping des taxes sur les sociétés
fixées à 15% donc au-dessus de celles à 12% de l’Irlande dont le taux de croissance serait de 26,3% en 2015, mais sur le rôle de la City. Les
transactions financières passaient par la City bien que ne faisant pas partie
de l’euro. Cela ne se justifie théoriquement plus avec le départ de l’UE.
Toutefois la City est un État dans l’État et concentre tout le pouvoir de la
Cabale avec Wall Street et la Fed. Donc « wait and see ».
C’est
l’UE qui est dans la tourmente, ce n’est pas le Royaume-Uni qui réagit vite et
va avoir une Première Ministre dans les jours qui viennent. L’Espagne et le Portugal
sont hors des clous fixés par Bruxelles et l’Espagne affaiblie, sans
gouvernement, promet de nouvelles mesures d’austérité pour échapper aux
sanctions. Les banques italiennes, plombées par 360 milliards d’euros de prêts douteux, sont sous assistance respiratoire et les
banques allemandes au bord de la faillite. La Deutsche Bank a été récemment qualifiée de "source majeure de risque" par le Fonds monétaire international (FMI). Une crise systémique ne permettrait
pas à l’UE d’y faire face. On ne parle même plus de la Grèce qui a perdu toute souveraineté. Les peuples sont dans l’ensemble beaucoup plus
eurosceptiques que leurs gouvernants et des menaces de sortie se font jour dans
de nombreux pays. Même le rejet de l’OTAN gagne du terrain. Seuls les marchés,
arrosés copieusement de monnaie de singe, résistent. De grands ensembles
industriels licencient et la courbe du chômage ne peut réellement fléchir même
en arrangeant les chiffres de la catégorie A alors que la création d'entreprises a baissé de 1,3% en juin. Le flux migratoire va s’amplifier
avec l’été et c’est toujours la Turquie qui tient l’un des principaux robinets. Septembre sera socialement chaud un peu partout en Europe.
La guerre des chefs serviles n’est qu’une
triste pantomime.
Ce combat égocentré ignore le peuple qui
trime.
Ils ne manipulent que l’appât du
discours
Pour pendre le peuple haut et court !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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