lundi 29 décembre 2014

Le mensonge climatique du tout à l’envers !



15.000 personnes bloquées dans la neige avant d’arriver à destination ont refroidi toutes les allégations sur le réchauffement climatique. Il est vrai que cet épisode froid ne prouve rien, pas plus que l’année 2014 plus chaude que la moyenne… en France. Les variations de température pour juger d’une tendance quelconque que l’on puisse valablement poursuivre sur des dizaines d’années voire des siècles ne peuvent s’appuyer sur des épisodes fussent-ils d’une année. Regarder ainsi c’est comme regarder le foin à la loupe pour évaluer le volume du tas. D’ailleurs, si on regarde une image plus large, la période chaude moderne n’est rien comparée à ce qu’il y a eu dans l’Histoire humaine. 

On doit donc parler de la température du globe et sur une période d’au moins une quinzaine d’années pour seulement pouvoir affirmer qu’il y a une tendance quelconque avec une probabilité raisonnable de ne pas se tromper. Pour ce qui est de la prévision de l’avenir, la connaissance des multiples causes et interactions est loin d’être solide dans une science si jeune. Le scepticisme devrait donc être de rigueur quant aux prévisions alarmistes qui essaient de bouleverser l’économie du monde. C’est actuellement le cas de l’Australie mais peu de pays résistent aux affirmations des rapporteurs des travaux du Giec, je dis bien des rapporteurs qui peuvent donc facilement transfigurer, accentuer, édulcorer les dits rapports des scientifiques souvent beaucoup moins affirmatifs. 

Alors revenons-en aux faits. La température moyenne du globe n’a pas évolué depuis 1994, date à laquelle on disposait d’un maillage suffisamment serré pour faire une carte représentative du globe terrestre. J’ai déjà publié ce diagramme des températures qui montre qu’aucune tendance n’apparaît depuis une quinze ans, contredisant d’ailleurs les résultats des modèles mathématiques à partir desquels sont faites les prévisions pour les 50 ans à venir. Les incertitudes entourant le changement climatique et les calottes de glace polaires ont atteint un nouveau niveau ce mois-ci puisque la recherche a suggéré que la glace dans l'Antarctique augmente. 

Ted Maksym, océanographe à la Woods Hole Oceanographic Institution, dans le Massachusetts, a mené une étude au cours de laquelle il a envoyé un robot sous-marin dans les profondeurs de la mer Antarctique pour mesurer la glace. Ses résultats contredisent les hypothèses antérieures faites par les scientifiques et ont montré que la glace est en fait beaucoup plus épaisse que tout ce qui a été évalué au cours des 20 dernières années. Les données du satellite européen espace Agence CryoSat-2 révèlent que les volumes de glace de mer dans l'Arctique à l'automne 2014 étaient au-dessus de la moyenne des cinq dernières années. Ceci pourrait être la preuve que la population d'ours blancs n'est pas menacée. En effet le gouvernement du Nunavut affirme que leur population est en très bonne santé. Mais d’autres affirmations sont battues en brèche. 

Le réchauffement de l'Arctique est un mythe : les images satellites montrent que la calotte glaciaire d'été est plus épaisse et couvre 1,7 million de kilomètres carrés de plus qu'il y a 2 ans ! 
http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2738653/Stunning-satellite-images-summer-ice-cap-thicker-covers-1-7million-square-kilometres-MORE-2-years-ago-despite-Al-Gore-s-prediction-ICE-FREE-now.html 

Daily Mail : "Fuite d'un rapport des Nations Unies qui révèle que la température de la planète n'a pas augmentée au cours des 15 dernières années" 

Le réchauffement climatique se serait arrêté depuis 16 ans selon un rapport du bureau du MET (office Métérologique du Royaume-Uni); un prix Nobel de physique dénonce le mensonge du réchauffement climatique généré par l’homme, etc. Le moins que l’on puisse dire c’est que le consensus, dont se targue les tenants du réchauffement, est loin d’être total et que les faits viennent de plus en plus contredire les calculs sur les constats d’aujourd’hui mettant en doute toutes les prévisions à moyen et long terme.


Il n’empêche que politiques et médias nous déversent les certitudes sur le changement climatique. Tout le long de 2014, on a entendu les journalistes interroger en permanence sur le lien entre les températures chaudes de l’année et le réchauffement climatique, comme si on détenait là une preuve irrefutable. Or d'après les mesures satellitraies de l'université d'Alabama, UAH, l'année 2014 ne se signale pas significativement par rapport aux années précédentes. De plus les mesures fournies par d'autres sources ne montrent qu'un écart de +0,01°C par rapport aux années les plus chaudes 1998 et 2010 alors que l'incertitude sur les mesures est de 0,1°C, donc dix fois plus grande.Il s’agit donc d’un mensonge scientifique, une arnaque dont les conséquences économiques sont immenses. Supposons un instant que rien ne soit prouvé et que nous mettions dix ans pour vouloir admettre l’erreur, non seulement nous aurions orienté notre énergie, la recherche, l’innovation et notre argent dans la mauvaise direction mais nous aurions évité le lâchage d’un gaz carbonique sans effet notable sur le climat. Pire même si nous sommes à l’aube d’une période froide, en restreignant l’émission de gaz nous apportons une pierre au refroidissement ! Nous ferions alors tout à l’envers d’autant plus qu’une litanie d’études, y compris du gouvernement fédéral aux États-Unis, montre qu’une augmentation du CO2 ferait croître les rendements. Cela rejoindrait donc les tendances déjà observées pour le maïs, le blé, le soja, le riz
Il s’agit de la plus grande arnaque du XXIème siècle. 

Le mensonge de ceux qui tirent les ficelles,

Relayé par des politiques complices,

Régit le monde à sa façon ! 

Claude Trouvé 
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

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