vendredi 20 octobre 2017

Vaccination obligatoire : risques pris ou évités ?



Je tiens à préciser d’emblée que je n’ai pas qualité pour donner un avis pour ou contre la vaccination mais il n’est pas interdit de se placer dans la peau de députés ou de parents qui sont amenés à prendre ou accepter une décision pouvant affecter un peuple entier ou ses propres enfants. Le sujet est d’actualité au point d’avoir été posé à Marine Le Pen qui a dû prendre parti ex-abrupto faute de se voir traiter d’indifférente à ce problème. D’instinct je me méfie de ce qui est imposé au nom de la science ou de la pseudo-science pour des buts politiques et lucratifs qui n’ont rien à voir avec le but recherché. L’utilisation du climat, pour nous persuader d’accepter de modifier notre comportement ou de payer sans que le moindre doute soit permis, m’a averti du danger du suivisme aveugle dans lequel on nous enferme. Il faut regarder autour de soi. Par exemple on aimerait savoir pourquoi le Japon continue à ne pas rendre obligatoire le vaccin contre la rougeole. Leurs médecins seraient-ils pour le génocide ou pas convaincus ?

Dans le cas de la vaccination, la grande majorité des parents n’hésitent pas à faire vacciner leurs enfants parce qu’ils sont influencés par la propagande et par les tactiques de peur qui sont utilisées par les médecins. Certains d’entre eux assurent les parents que la vaccination est sans danger, ou que celui-ci est infime, et qu’il est utile de protéger les enfants contre toute une série de maladies qui peuvent s’avérer mortelles. Si, comme il m’est arrivé de le faire, nous faisons aveuglément confiance aux médecins, il ne nous reste finalement qu’à accepter. Donc on nous amène à nous poser la question de l’utilité de la vaccination en termes de bénéfice-risque. Le mot qui choque alors est le terme « obligatoire » qui ôte toute décision personnelle. Quand les femmes disent vouloir être maîtresses de leur corps, elles se soumettent néanmoins à la vaccination. Car plus personne ne peut nier que les vaccins tuent parfois, mais on sait moins qu’ils provoquent aussi des effets secondaires graves. Dans l’abondante littérature vantant les mérites de la vaccination, on trouve beaucoup d’informations sur les enfants ayant contracté la maladie sans avoir été vacciné mais peu de statistiques sur les enfants vaccinés ayant attrapé la maladie ou ayant des troubles secondaires graves de santé parfois très handicapants. 

Un vaccin, c'est quoi ? c'est une injection d'un agent pathogène affaibli, destiné à renforcer le système immunitaire. C'est une prévention, mais ça ne soigne pas, ce n'est pas un sérum. Au fond le vaccin idéal serait celui qui empêcherait totalement de contracter une maladie que l’on ne sait pas soigner ou pour laquelle on serait démuni de tout autre moyen de prévention. Le cas de la peste à ce sujet est intéressant. Ainsi, en 1348, la peste noire fit périr la majorité de la population française, puis elle a sévi pendant des siècles à travers le monde pour s’éteindre totalement sans aucune vaccination. Aujourd’hui par l’avènement de l’hygiène, du traitement des eaux, les cas sont plus rares et on sait les soigner. On en déduit que la maladie a un cycle de vie et qu’elle a beaucoup moins de chances d’apparaître aujourd’hui parce que les conditions nécessaires à son développement sont très différentes.

En 1948, aîné à l’époque d’une famille alors de trois enfants, j’ai contracté la rougeole. Le médecin de famille a eu cette réaction qui en heurterait plus d’un aujourd’hui : « Foutez-moi tout ce petit monde dans la même chambre pour qu’on ne traîne pas cette maladie pendant des mois ». La vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) n’existait pas. Nous avons donc en cœur subi les éruptions cutanées caractéristiques, la toux, le nez qui coule, des irritations oculaires et de la fièvre. Le même scénario s’est déroulé pour les oreillons qui provoquent de la fièvre, des maux de tête, des douleurs musculaires, une perte d’appétit et des ganglions enflés. Il en fut de même pour la coqueluche avec son célèbre « chant du coq » et la varicelle. Ces quatre maladies n’étaient pas considérées comme graves mais maladies infantiles bénignes. La rubéole qui peut provoquer des éruptions cutanées, ainsi qu’une légère fièvre chez les enfants, n’était reconnue grave que pour les femmes enceintes qui étaient isolées des foyers d’infection. Aucun d’entre nous n’a eu de séquelles de ces maladies, excepté la varicelle qui a marqué un peu notre peau à cause du grattage de démangeaisons insupportables. 

Ce n’est plus le cas aujourd’hui alors que nos moyens de prévention ont beaucoup évolué, la rougeole, les oreillons, et la rubéole sont déclarées maladies graves et soumises au vaccin ROR. Alors une question se pose et à laquelle je ne trouve pas de réponse fiable : « N’introduisons-nous pas un nombre de risques supplémentaires plus grand que celui que nous voulons éviter ? » Car dans le cas de la rougeole, les risques secondaires de la vaccination sont impressionnants :
Le lupus (Trouble auto-immun du tissu conjonctif) - Le syndrome de Guillain Barré (inflammation des nerfs) - L’encéphalite - La méningite aseptique (Inflammation de la muqueuse du cerveau) – Surdité - Cardiomyopathie (Affaiblissement du muscle cardiaque) - Episodes d’hypotonie-hyporéactivité (Collapsus/ Choc) – Convulsions - Panencéphalite sclérosante subaiguë. A cela il faut ajouter le risque majeur de l’autisme. En dépit des démentis des médias traditionnels et des groupes médicaux conventionnels, la connexion est très forte. L’autisme est désormais monnaie courante, avec un enfant sur 50 qui reçoit le diagnostic de cette maladie débilitante. Désormais des parents se pourvoient en justice pour cette raison. On observe aussi que des compagnies d’assurances incluent le risque d’empoisonnement par les vaccins dans leurs polices. 

En théorie, le vaccin ROR protège contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. En vérité, la seule chose qui ait pu être prouvée pour le vaccin ROR, comme pour tous les autres vaccins, c’est qu’il entraine une augmentation des anticorps vis-à-vis de ces trois maladies. Mais le corps médical sait qu’il déprime aussi l’immunité cellulaire qui est le type d’immunité le plus important pour la protection contre les maladies. Une question se pose : « N’est-on pas en train de courir vers une surprotection qui finit pas nous affaiblir collectivement et génère plus de risques que de bénéfices ? » J’ai pris le cas de ce vaccin ROR pour ne pas aborder le cas des 8 autres vaccins, dont trois sont déjà obligatoires, que l’on se propose d’ajouter dans une injection unique. Mais il faut aussi signaler que si chacun des vaccins prévus a été individuellement agréé, il n’y a aucune étude suffisamment sérieuse sur un nombre suffisant de vaccinés et de non vaccinés, et suffisamment longue (5ans – 10 ans) pour montrer que cette introduction massive d’agents pathogènes différents dans le corps ne produit pas des effets plus néfastes que bénéfiques.

Autrement dit on ne nous prouve rien, mais on veut nous obliger sans que toutes les précautions puissent être officiellement certifiées. Je n’ai aucune compétence médicale mais j’ai travaillé en tant que statisticien avec plusieurs équipes médicales de pointe sur des sujets divers, et je sais que pour affirmer les choses il faut beaucoup de temps, et de patients vaccinés ou sous placebo pour conclure. Ce qui me choque le plus c’est le caractère « obligatoire » donné à cette nouvelle vaccination tous azimuts. Le monde des patients n’est pas uniforme devant les risques et il me semble que la vaccination devrait être beaucoup plus personnalisée sous la responsabilité des médecins traitants. Vacciner un patient dont les défenses immunitaires sont très faibles, n’est-il pas un risque inconsidéré ? Par ailleurs une société qui se surprotège devient vulnérable, mais ce n’est qu’une opinion et c’est à vous de juger s’il faut ou non accepter sans comprendre pourquoi on vaccine dans un pays et pas dans un autre. Je le dis d’autant mieux que j’ai accepté ainsi pour mes enfants et que je ne sais toujours pas pourquoi l’une de mes filles a attrapé une méningite de type mortel après.

Je reste persuadé que la vaccination est un moyen 

D’inoculer ce que l’on veut dans notre corps

Et qu’il y a des buts qui nous sont cachés. 

Je m’inquiète donc que Bill Gates

S’intéresse à la vaccination 

Après avoir dit qu’il faut

Diminuer la population !

Claude Trouvé 
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

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