lundi 8 juillet 2013

La musique adoucit les mœurs mais pas la poésie musulmane !

La montée de sentiments racistes, dans une France qui était plutôt connue comme un pays de la tolérance même si l’affaire Dreyfus tempère ce jugement, s’alimente chaque jour de petits faits quotidiens comme la progression des usages musulmans dans la vie quotidienne, le peuplement constant de nos villes par une culture et des mœurs différents, autant que de constats sur l’identité des délinquants en prison.

Le mot « racisme » est devenu tabou pour une appellation plus large de « discrimination ». Nous devons nous considérer tous dans le même moule, acceptant tout, une nouvelle religion conquérante, une banalisation du mariage et de la notion de famille, une captation de l’enfance dès le plus jeune âge dans le socialisme laïc, tout cela comme une évolution positive de la société. Nous devons tout accepter et nous fondre dans une société non-discriminante, nivelée et servile.
 Le « Nous » concerne seulement la population indigène de notre pays, ou plus précisément la population assimilée de notre pays, celle qui est française de cœur avant tout. L’autre, celle qui refuse l’assimilation et même l’intégration, n’est pas soumise aux mêmes exigences incontournables. Ses cris « discriminatoires » ne sont en rien des propos « racistes » mais simplement l’expression d’une souffrance bien compréhensible en témoigne cette lettre « poétique » adressée par un musulman à un journal français « discriminant » (Riposte laïque). Texto ! 
 

« Vos agressions envers les femmes ne cessent d’augmenter
Au même rythme que votre lâcheté.
Dans nos coeurs de musulmans ne se trouve aucune peur,
C’est sur vos visages que figure la terreur.
Dans cette lutte inutile vous avez débuté
Ce chemin tortueux vous mène pourtant à être châtié.
Nous espérons le Paradis pour les notre qui meurt
Après cette vie difficile de labeur.
Pendant que vous frappez toujours cachés
Le Tout puissant vous vois où que vous soyez.
Je vous conseille de laissez nos sœurs
A moins que vous vouliez devenir nos cibles et nous vos chasseurs.
Je porte mon turban avec fierté
Ne craignant le blâme d’aucun islamophobe caché.
Toujours par derrière bande d’agresseur
Pourtant on vous attend à toute heure.
Aux hommes pratiquants et grand jamais vous n’oserez
Ni nous approcher ni nous attaquer.
Vous agissez tel des cambrioleurs
De la dignité humaine vous êtes bien les voleurs.
Dans les yeux je vous regarde quand vous passez
Mais vous jouez aux hommes quand cela vous plait.
Toujours attentif quand je vois une sœur
Si vous en approchez une pour vos machoïr je serai le casseur.
Nos baillonettes sont nos minarets
Et nos casques sont les dômes de nos mosquées.
Vu le résultat des discutions avec les menteurs
Ce message est un avertissement dispensateur.
Algérie 1962 cela nous vous as t-il pas marqué ?
Souvenez vous bien de cette bonne raclée.
Vos méthodes nous les connaissons par cœur
Arrêter de jouer les beaux conteurs.
Il faut que vous cessiez, avant d’être enterré.

Maintenant que ces quelques vers sont terminé, écoutez bien bande de lâche infâme, étant donné que vous avez décidez d’attaquer nos soeurs isolées dans les rues, il va falloir que vous en assumiez les conséquences.

Sachez que certains d’entre vous s’attaque à des soeurs, mais oublient que d’une rue ou d’un croisement peut apparaître une homme musulman pratiquant n’ayant peur que d’Allâh – Le Très Haut – qui vous donnera inshâ Allâh une leçon. Mefiez-vous, nous sommes plus que vous ne le pensez.

Un exemple, à un arrêt de bus, il y avait une femme turque voilée, et des hommes vous ressemblant sont passé, et l’un d’eux la regardé avec son aire de pervers, et avec agressivité, mais il ne m’avait pas vu, j’était posté non loin de la soeur, et j’ai fixé le regard de cet homme tout le long de sa marche, sans qu’il ne me voit, si un mot sortait de sa bouche de travers, ou une attaque, c’était même pas la peine.

Alors faîtes les malins, mais attention, car nous sommes beaucoup plus rusé que vous. Quand ma mère sort toute seule, elle se fait insulté, mais quand je suis avec elle, pas un seul ne bronche, vous fixez le sol tel des peureux, et celui qui ose dévisager ma mère, je le regarde d’un air qui veut tout dire, et son regard de lâche se baisse. 

Vous n’êtes que des peureux, et nous les hommes, nous les barbus, les vrais hommes, pas les faux hommes comme vous, tous rasé, on dirait des gamins, vous êtes super féminin. Nous les hommes, on est là, on est présent, alors attention, faîtes bien attention, toi qui li ce message prend ça comme un avertissement, on rigole pas avec vous bande de porc que vous êtes.


Je demande à Allâh de me mettre parmi les défenseurs des croyantes, et de me mettre moi ainsi qu’un groupe de croyant en travers de tout vos chemin.


Et près de chez moi, vous avez collé des autocollant sur Poitiers, mais moi ce que je vais vous coller c’est un gros High Kick dans vos face le jour où je vous attrape bande de peureux.

Qu’Allâh vous rétribue comme vous le méritez. »

Suède (08/01/11) : Un poète kurde qui vit dans l’ouest de la Suède a déposé une plainte à la police après avoir reçu des menaces de mort, de la part d’islamistes du nord de l’Irak.


Le poète a reçu des menaces de mort après avoir écrit un poème sur les droits des femmes, qui a été publié dans la zone kurde de l’Irak. Un mollah irakien a critiqué le poème lors d’une prière du vendredi et a prié Allah pour qu’il se venge du poète en le punissant de mort dans une vidéo postée sur YouTube. Ensuite les menaces ont été reçues par téléphone.



Le cheval de Troie a livré ses fantassins


Et en termes voilés il envahit nos vies,


Vitupère et menace en propos assassins


Sur la France ancestrale luttant pour sa survie !


Jacques Ouvert


Claude Trouvé

Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

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