samedi 28 janvier 2012

L’étau de l’Islam se resserre sur l’Europe

Les parachutistes de l’Islam sont déjà à pied d’œuvre dans tous les pays d’Europe. L’immigration consentie, le regroupement familial et le taux élevé de fécondité remplit nos villes et nos campagnes d’une population nouvelle. Plus les générations se succèdent plus le refus de l’intégration s’amplifie. Les ghettos instituent des zones de non-droit de plus en plus nombreuses et larges. L’État recule devant toute épreuve de force et fait preuve d’une mansuétude de plus en plus grande.

Le seuil des 10% de musulmans est ou va être atteint d’ici peu. Du fait de la dispersion hétérogène de cette population, de nombreuses villes seront à majorité musulmane comme cela commence à être le cas. Voilà déjà se qu’écrivait en 2005 le Comité français de recherche sur le renseignement (Cf2R) : 

« Sur les 15 millions de Musulmans recensés en Europe de l'Ouest, plus de 5 millions sont installés en France qui est l'Etat occidental comptant la plus forte proportion de Musulmans au sein de sa population.

Depuis le début des années 2000, le phénomène islamiste ne cesse de croître, essentiellement concentré dans les banlieues des grandes agglomérations. Les extrémistes sont devenus des acteurs majeurs des zones sensibles et les signes de progression de l’islam radical s'observent chaque jour. Le ministère de l’Intérieur évalue à 50.000 le nombre de nouveaux convertis dans notre pays en quelques années. Dans les mosquées fondamentalistes, l'islam est inculqué aux populations par des prédicateurs radicaux, souvent étrangers, qui tiennent un discours de rupture vis-à-vis des institutions républicaines et prêchent un racisme antifrançais. Les islamistes se consacrent à la remise en cause des lois et coutumes de la société française pour y substituer leurs pratiques traditionnelles, en totale opposition avec nos institutions démocratiques et laïques. Malgré la faible proportion d'islamistes parmi la communauté musulmane française, leur activisme virulent est d'autant plus préoccupant qu'il n'y a pas de frontière étanche entre l'islam fondamentaliste et le terrorisme.

Or, la lutte contre le terrorisme islamiste, consécutive aux attentats du 11 septembre 2001 et à la campagne d'Afghanistan, a révélé l'existence de filières de recrutement jihadistes sur notre territoire, à Paris comme en province. Ainsi, nos banlieues sont des viviers de recrutement, depuis lesquelles plusieurs centaines de jeunes Français musulmans se sont déjà rendus en Bosnie, en Tchétchénie, en Afghanistan ou en Irak, combattre aux côtés des moudjahidines et y recevoir une formation terroriste. Les motivations de ces départs relèvent à la fois du contexte sociologique spécifique de la troisième génération d'immigrés, du manque de repères de la partie la plus déshéritée de la jeunesse française - pour laquelle le passage par les camps du djihad semble donner un sens à l'existence - et de la situation au Moyen-Orient, où le conflit israélo-palestinien et l'occupation de l'Irak renforcent la victimisation des islamistes radicaux.

Mais les effets de l'islamisme ne concernent pas seulement la sécurité intérieure ; ils touchent aussi la sphère économique et les activités de certaines entreprises. La pression islamiste s'exerce dans les entreprises, principalement selon deux modalités : le prosélytisme militant et contestataire et le développement de trafics susceptibles d'alimenter la cause du djihad. Cette poussée fondamentaliste dans les entreprises impacte sur certaines activités économiques, notamment en générant de nouveaux risques sectaires et criminels, propres aux zones de consommation urbaines et périurbaines dans lesquelles elles sont implantées. Cela n'exclut nullement l'hypothèse d'attentats contre les acteurs économiques. »


Même si le chiffre de 5.000.000 en 2005 ne corrobore pas le chiffre total des immigrés de 3.640.000 à cette date publié par l’INSEE, le nombre de musulmans à fin 2017 dépassera les 8.200.000 soit plus de 19% de la population française, si l’on prend seulement comme base le chiffre INSEE de 2005. Inutile de dire que les revendications de cette population immigrée musulmane seront d’une autre nature que celle des chrétiens venus de l’Est ou des immigrés asiatiques.

Mais la pression de l’Islam s’exerce aussi de l’extérieur. Moins d'un mois après que les États-Unis aient organisé leur propre Conférence du Processus d'Istanbul à Washington, l'Union européenne propose d'accueillir la prochaine réunion du Processus dit d'Istanbul, une tentative agressive des pays musulmans de faire de la critique de l'islam un crime international. Le but explicite du Processus d'Istanbul est d'inscrire dans le droit international une interdiction mondiale de tout examen critique de l'islam et/ou de la charia islamique. Ce Processus est dirigé par l'Organisation de la Coopération Islamique (OCI) , un bloc de 57 pays musulmans, basée en Arabie saoudite. L'OCI a longtemps fait pression sur l'Union européenne et les États-Unis pour imposer des limites à la liberté de parole et d'expression sur l'Islam.

En Europe la riposte s’organise mais pas toujours par les gouvernements quoique la Chancelière allemande ait reconnu, tout en relançant l’immigration, que le multiculturalisme est un échec. La France sous Sarkozy fait une riposte feutrée mais la proposition de vote des étrangers aux municipales de Hollande est une porte grande ouverte à une nouvelle poussée et prise de pouvoir politique de cette population. Les français feraient bien de réfléchir avant de voter. La seule réponse possible est l’assimilation dans la langue, le droit et les lois françaises, sans amendements et reculades successives, pour l’accueillir.

Tout peuple a le droit de survivre dans son identité nationale 

Accueillir dans un processus d’assimilation sans concession 

N’est aucunement un procédé discriminatoire ou raciste. 

Claude Trouvé