Aujourd'hui, jour de repos, mon esprit ne peut s'empêcher de se révolter devant le laxisme gouvernemental sur la sécurité de nos concitoyens alors que les vannes de l'émigration, qui nourrit 70% de la délinquance, s'ouvrent encore plus grandes. En même temps que l'augmentation de celle-ci, on fait croître le chômage dans un pays qui paie pour des gestes de solidarité envers les emplois aidés. La politique du pire est en route. Je laisse donc la place à l'institut pour la Justice, association qui fait circuler une pétition que j'approuve et dont la motivation vous est présentée ci-dessous. Signez la pétition en cliquant sur le lien vers l'institut en fin d'article.
"Madame Monsieur,
Manifestement, une personne très
haut placée au gouvernement en veut à votre vie.
Il s'agit de Christiane Taubira,
ministre de la Justice.
Depuis qu'elle est arrivée, elle a multiplié les décisions, consignes et circulaires ministérielles visant à éviter la prison à des individus dangereux condamnés à de la prison ferme.
Depuis qu'elle est arrivée, elle a multiplié les décisions, consignes et circulaires ministérielles visant à éviter la prison à des individus dangereux condamnés à de la prison ferme.
Je n'exagère pas. Rien que ces
dernières semaines, des dizaines de personnes ont été victimes de son idéologie
anti-prison :
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Jacques Blondel, héroïque
retraité, tué par balle le 22 août dernier par des braqueurs qu'il essayait
de stopper. Marouen R, le principal suspect, était déjà connu pour plus de 12
délits, dont une agression ultra-violente au couteau. Mais conformément
aux souhaits de Christiane Taubira, il était libre comme l'air au moment de
son crime : la Justice avait toujours pris soin de lui éviter la détention.
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Monique Bouquignaud,
commerçante à Cambrai, atrocement agressée dans sa boutique le 20 juin 2013.
L'un des malfrats, 20 ans, avait déjà été arrêté 31 fois par la police.
Chaque fois, il a bénéficié des lois et des consignes ministérielles
demandant de le relâcher rapidement ou de ne surtout pas l'incarcérer.
Deux ans auparavant, au même endroit, c'est son époux qui avait été tué à
coups de couteau, par des récidivistes, pour un butin de 40 euros
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deux jeunes femmes agressées à
Colombes, le 7 août 2013 : l'agresseur a laissé sa première victime défigurée
dans une mare de sang puis, quarante minutes plus tard, a violé une autre
jeune femme sous la menace d'une arme. L'agresseur présumé, Sofiane M., est
un multirécidiviste condamné pour de nombreux faits de violence, de vols et
une agression sexuelle. Au moment des faits, il purgeait une autre peine,
mais la consigne avait été de le libérer malgré sa dangerosité. Il
bénéficiait d'un régime de semi-liberté, qui consiste à passer uniquement la
nuit en prison, et passer toute la journée, à l'extérieur, sans autre
surveillance. La veille, il avait déjà été interpellé pour des faits de
vol à l'étalage mais il avait encore été relâché.
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Tout ceci ne doit rien au hasard.
C'est le résultat normal, prévisible, des lois en vigueur et des consignes
officielles données par la Ministre de la Justice, Christiane Taubira, pour
laisser dehors un maximum de criminels et délinquants.
Défendez-vous ! Indignez-vous !
REVOLTEZ-VOUS !!!
Car le pire est à venir :
Christiane Taubira prépare pour le mois de septembre une nouvelle série de
mesures pour diminuer encore les peines des récidivistes. C'est de la pure
folie.
Signez de toute urgence la
pétition ci-dessous pour lui faire barrage.
En effet, chaque année en France
sont commis plus de 120 000 vols avec violences, plus de 365 000
cambriolages et près de 400 000 agressions physiques violentes.
Face à cette marée affolante, qui
laisse au bord du chemin des centaines de milliers de victimes traumatisées
chaque année, nous avons moins de 60 000 places de prison. C'est
deux fois moins que la moyenne des Etats européens !
Mais pour Christiane Taubira,
c'était déjà trop. La toute première mesure qu'elle a prise, en arrivant au
pouvoir, fut d'annuler le programme de construction de nouvelles prisons
décidé par le gouvernement précédent.
Elle a ensuite édicté une
circulaire demandant de ne pas emprisonner les délinquants condamnés à de la
prison ferme si la prison est trop remplie. C'est ainsi qu'à Dreux, début août,
trois malfrats sous le coup d'une peine de prison ont été laissés libres,
provoquant l'indignation du policier qui avait pris tous les risques pour les
arrêter.
Mais ce qui se prépare est
beaucoup plus grave encore : dans quelques jours, quelques semaines tout au
plus, Christiane Taubira va tenter de faire passer une nouvelle série de
mesures pour hâter les sorties de prison des récidivistes, diminuer les peines
et supprimer plusieurs garanties importantes protégeant les citoyens :
Première mesure :
un détenu condamné pour la première fois bénéficie actuellement chaque année
de 5 à 6 mois de réduction de peine, ce qui permet aux condamnés à 10 ans de
prison de sortir, avec une libération conditionnelle, au bout de 3 ou 4 ans.
(articles 721 et 721-1 du Code de procédure pénale)
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Cette mesure qui paraît déjà
irresponsable, Christiane Taubira a décidé d'en faire également bénéficier
les récidivistes, et même les multirécidivistes.
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Deuxième mesure :
la loi permet aujourd'hui de laisser libre une personne condamnée à de la prison
ferme, lorsqu'elle n'est pas en récidive. 100 000 peines restent ainsi «
en attente d'exécution », ce qui veut dire que les coupables sont relâchés
dans la nature immédiatement après leur condamnation au tribunal (article 474
du Code de procédure pénale). Cette mesure de faveur sera étendue aux
récidivistes si le texte de Christiane Taubira est voté.
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Troisième mesure :
supprimer les peines plancher qui s'appliquent à tous les récidivistes et qui
prévoient, en principe, une aggravation automatique des peines de
prison à l'encontre des délinquants ou criminels qui commettent les mêmes
actes. Leur suppression serait d'autant plus grave qu'elles étaient la seule
mesure de fermeté effective que le gouvernement précédent avait réussi à
voter.
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Et ce n'est toujours pas fini :
le projet de Christiane Taubira
prévoit d'obliger les tribunaux à démontrer, avant d'incarcérer un récidiviste,
« que la personnalité de l'auteur, la nature des faits et les circonstances de
leur commission rendent son incarcération indispensable » (ce qui est toujours
très difficile à prouver). Il exige aussi que la peine de prison ne soit
prononcée pour les récidivistes « qu'en dernier recours », lorsqu'il est
démontré que « toutes les autres sanctions apparaissent manifestement
inadéquates », ce qui est aussi en pratique très difficile. Il s'agit du
dernier alinéa de l'article 132-19 du code pénal.
C'est pourquoi il n'est pas
exagéré de dire que cette femme en veut à votre sécurité et à celle de vos
proches.
Si les délinquants
multirécidivistes étaient chargés de réécrire le code pénal, ils suivraient
exactement son projet de loi pour échapper à la sanction qu'ils méritent.
Tout ce que fait Christiane
Taubira conduit à accroître le nombre de délinquants et criminels en liberté
sur notre territoire. Depuis son arrivée au pouvoir, elle n'a pas pris une
seule mesure permettant au contraire de garantir plus de sécurité.
Les conséquences en sont déjà
visibles dans tout le pays. Depuis qu'elle est ministre, les cambriolages ont
augmenté entre 5% et 14% selon les zones, les vols à la tire de 13,5% à 35,6%
et les violences sexuelles de près de 30% en zone gendarmerie (c'est-à-dire
dans les campagnes) !
Et c'est pourquoi je vous demande
de signer de toute urgence notre pétition destinée à François Hollande.
Ne laissez pas le Code pénal de
notre pays, qui devait servir, à l'origine, à protéger les citoyens, devenir un
code de protection des criminels. Face à cette réforme qui promet
d'être la plus dangereuse des trente dernières années, je vous demande de vous
mobiliser. Il en va de la sécurité et peut-être de la vie de vos enfants,
petits-enfants ou de votre entourage.
Notre seule solution est de nous
lever en masse. Car si nous le faisons, nous
pouvons pousser François Hollande à faire le bon choix et à retirer ce projet
criminel. Il a déjà forcé Christiane
Taubira à céder sur un point : la libération automatique aux deux tiers de la
peine, initialement présente dans le texte, a été supprimée.
Mais sur les autres mesures, il hésite
encore. Car chaque jour, en ce moment-même, François Hollande subit la pression
de groupes influents, comme le Syndicat de la magistrature, pour faire passer
cette réforme au plus vite (pour mémoire, le Syndicat de la magistrature est
celui qui avait montré l'étendue de sa compassion envers les victimes en
épinglant, sur leur « mur des cons », des parents d'enfants assassinés).
Notre mobilisation doit donc être
plus rapide et plus forte !
Au mois d'avril, la presse
soulignait que grâce à l'activisme de l'Institut pour la Justice, la réforme
pénale était en suspens. Il faut aujourd'hui mettre toute notre énergie pour
que ce texte soit définitivement abandonné. C'est une question d'heures et de
jours, car les derniers arbitrages de François Hollande sont en cours.
D'autres idées insensées
circulent, comme la création d'un revenu pour les détenus ou d'un numerus
clausus dans les prisons. Comme il manque des milliers de places de prison en
France, on mettrait en place un numerus clausus dans lequel chaque nouvel
entrant en prison devrait entraîner la libération automatique d'un autre détenu
!
Il faut d'urgence signer la
pétition de l'Institut pour la Justice. Votre signature est absolument
indispensable pour tenter d'empêcher ce projet fou d'aboutir."
Institut pour la Justice - 140 bis, rue de Rennes - 75006 Paris
www.institutpourlajustice.org
www.institutpourlajustice.org
Cela méritait au moins d'être dit pour information et vous forger une opinion. Pour ma part elle est faite !
Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon
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