lundi 31 octobre 2016

Une famille expulsée toutes les minutes… chez nous !

C’est une fausse bonne nouvelle. Il ne s’agit pas des « migrants », car les expulsions, de ceux en situation irrégulière n’ayant pas fait de demandes d’asile ou dont la demande d’asile a été refusée, ne sont pas à la hauteur des arrivées sur notre pays avec un solde migratoire de 200.000. Non il s’agit des pauvres en général qui n’ont pas les ressources nécessaires pour garder leur logement selon la Fondation Abbé Pierre. Le nombre de SDF a doublé en 10 ans, atteignant désormais entre 150 000 à 240 000 selon les rares données disponibles. La plupart sont les oubliés de cette focalisation du pouvoir sur les hordes de migrants qui arrivent et s’agglutinent à Calais ou désormais dans une transhumance à travers la France, avec le secret espoir de rejoindre le Royaume-Uni. Ils apportent avec eux une autre civilisation pour un accueil médiatisé mais peu propice à leur intégration et à une insertion dans le monde du travail. Les exceptions font le buzz des médias et masquent une réalité beaucoup plus sombre.

La pauvreté augmente inexorablement et l’aide humanitaire demande de plus en plus aux français de se substituer aux devoirs de l’État. L’arrivée des migrants dans un pays au taux de chômage élevé ne peut donner que soit des vagabonds pour lesquels le vol avec agression physique ou non, les trafics en tous genres pour satisfaire des besoins vitaux et le viol pour des besoins sexuels, soit des « assistés », à vie pour la plupart. A ceci vient se mêler le problème de l’arrivée d’une civilisation différente et historiquement hostile à la civilisation occidentale que nous accueillons au nom des droits de l’Homme, représentés par l’Arabie Saoudite à la Présidence du Conseil des Droits de l’Homme à l’ONU… dont on vient d’expulser la Russie pour trois ans ! Si la « pensée unique » n’était pas que l’application d’une stratégie des puissances de l’argent anglo-saxonnes et juives du super État Israélo-américain, on dirait que nous marchons sur la tête ou dans une inconscience crasse. 

Des voix s’élèvent de tous bords, encore dispersées et minoritaires, mais de plus en plus entendues. Il n’est pas anodin d’écouter, en plus du clan souverainiste, une voix socialiste comme celle de J.P Chevénement : « Prenons au sérieux les gens de Daech qui veulent que la France se déchire. Le "choc des civilisations" qui paraissait très improbable s'est rapproché de nous. » Il y a de quoi s’alarmer quand on voit que les migrants se rassemblent à Paris dans l’avenue des Flandres et qu’il faut de nouveau les évacuer en sachant qu’ils reviendront eux ou leurs suivants. Il y a de quoi s’alarmer quand on note que dans notre pays et encore plus en Allemagne la délinquance et les viols explosent. La moitié des clandestins de Calais accueillis dans le centre de Fouras en Charente-Maritime ont disparu. On a de quoi s’alarmer quand on entend une ancienne première dame de France, Carla Bruni, "chanter" « le vieux sang pourri des Français » et « le sang neuf des immigrés » selon les propos rapportés par Patrick Buisson, dans son livre « La Cause du peuple ». Ceci reporte à une réflexion de Philippe De Villiers dans son livre « Les cloches sonneront-elles encore demain ? », réflexion que reprend J.P Chevénement : « une certaine panne de l'intégration dont les raisons sont multiples, la première étant peut-être que la France a cessé de s'aimer elle-même. » 

Les faits divers inquiétants se succèdent à un rythme de plus en plus rapide. Rien que dans l’actualité d’aujourd’hui on lit : 7 migrants syriens de moins de 15 ans bannis d’une piscine à Berlin pour harcèlement sexuel, des cocktails Molotov lancés dans la cour du commissariat à Grande-Synthe en France, des réquisitions d’habitations envisagées en Italie, quatre personnes blessées à Francfort dans une attaque au couteau, plus de 200 migrants forçant la frontière de l'enclave espagnole de Ceuta au Maghreb. C’est un vent de panique qui souffle sur l’Europe, un ouragan humain et transfrontière que rien n’arrête parce que les barrières y sont inexistantes ou contournables, parce que la réelle volonté d’y faire face n’existe pas et que le pouvoir cultive le « déni ». « La culture du déni consiste à minimiser l'ampleur des difficultés qui sont devant nous. » nous dit J.P Chevénement. Mais cela va même plus loin. Le journal l’Austrian News Service révèle qu’en Allemagne une mère de famille a découvert dans les affaires scolaires de sa fille, scolarisée en primaire à Garmisch-Partenkirchen, une feuille sur laquelle était écrit un chant islamique que tous les enfants de la classe ont dû mémoriser et entonner en arabe. « Oh Allah, tu es parfait, sois loué. Béni soit ton nom, et exaltée soit ta majesté. Il n’y a pas d’autre Dieu que toi » ! Ceci est à rapprocher de l’enseignement de l’arabe (encore facultatif) dans les classes primaires… pour faciliter l’assimilation des français de souche sans doute. 

La poussée islamique se fait de plus en plus pressante et visible. Le tournant a été la déclaration de Boubaker sur la nécessité de doubler les 2.200 mosquées existantes en s’appuyant sur le chiffre de 6 millions de musulmans. La bien-pensance a de suite ramené le chiffre à 4 millions, donnant un exemple de réflexe de déni. Le chiffre est réel et correspond aux extrapolations que l’on peut faire depuis les informations de la période 2005-2010. Le port du voile dans les manifestations sportives se répand dans le monde. En France les propos des responsables islamiques se font de plus en plus clairs et exigeants. « L’islam est une religion française, le foulard fait partie des tenues françaises et Mohammed est un prénom français » dit Marwan Muhammad nommé à la tête du Collectif contre l’islamophobie en France (CCIF) en mars dernier (photo jointe). Selon lui, les musulmans nés en France « définissent l’identité française, comme n’importe qui d’autre ». Et ce, même s’ils portent des prénoms ou arborent des vêtements liés à la religion islamique ou pratiquent la polygamie. Bientôt ceci ne sera plus discutable comme la sortie de l’euro, qualifiée de catastrophique, et le réchauffement climatique, que seuls les cons peuvent encore nier selon Kosciusko-Morizet.

On peut mesurer ainsi le chemin parcouru depuis les premières arrivées des contrats de travail et on voit déjà la tentative d’un jeune musulman pour se présenter aux élections présidentielles avec soi-disant 250 signatures d’élus récoltées. Comme le dit Eric Zemmour, on peut craindre qu’il ne soit trop tard et que les paroles prononcées sur une vidéo par un imam belge soit la suite à venir : « Nous sommes ici chez nous, mais si nous n’êtes pas contents vous pouvez toujours partir ». En tous cas il est temps de mettre dehors tous les hommes et femmes politiques qui nous ont conduit à vendre la France à une civilisation étrangère et en train de la détruire en un demi-siècle après deux mille ans pour la construire. Il faut arriver à comprendre que les agressions envers les forces de l’ordre se multiplient et ne peuvent que s’intensifier dans le contexte politique actuel où la France est totalement aux mains de l’ « Étranger ». Il s’agit encore d’une phase de préparation et de tests des capacités de résistance du pays mais ce sont les prémices de la guerre civile. 

Les cloches sonneront-elles encore demain ?

Oui si la France sait défendre ses valeurs, 

Cesse toute guerre contre l’oumma,

Sait la faire aimer pour assimiler, 

Sait sortir de l’UE et de l’OTAN,

Sait bien filtrer à ses frontières

Et aide les pays migrateurs 

A juguler l’émigration. 

Claude Trouvé 
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon

dimanche 30 octobre 2016

Se soumettre, disparaître ou renaître ?

L’attention de nos concitoyens est mobilisée sur la gestion d’un flux migratoire cristallisée sur l’opération brutale et tardive d’évacuation de la jungle de Calais. Pendant ce temps les policiers manifestent, conspuent leur hiérarchie et défient leur employeur, l’État. C’est du jamais vu sous la cinquième république. Les français assistent passivement à cette évolution des choses. C’est mal connaître ce peuple qu’en déduire qu’il restera ainsi en simple observateur. L’âme française est révolutionnaire et s’immobilise le temps que la pression monte pour lancer ce qui dégénère en guerre civile. Nous n’avons pas le réflexe anglo-saxon de prise en compte rapide de la réalité et d’actions immédiates. Nous fonctionnons d’une façon binaire, c’est blanc ou noir mais la noirceur progressive ne nous mobilise pas tout-de-suite. On nous persuade d’ailleurs qu’avec le temps tout va s’arranger de lui-même. C’est ainsi que nous avons constaté très tôt que Sarkozy puis Hollande n’étaient pas en phase avec les aspirations de leur peuple. Mais nous avons accumulé le déni, le vote « contre Sarkozy », comme se prépare le vote « contre Hollande ». Plus le peuple attend, plus le prix à payer est élevé et dans le cas présent du flux migratoire, de l’insécurité montante, des zones de non-droit et de l’islamisation. Il prend le risque de se trouver devant le triple choix de la guerre civile, gagnée ou perdue, ou la soumission.

J’ai écrit que le flux migratoire soulevait un double problème celui du nombre et de la nature des « migrants » qui ne sont que des clandestins ayant été ou non autorisés à rentrer dans l’Union européenne. La très grande majorité de ceux-ci sont de religion musulmane d’Afrique et d’Asie auxquels s’ajoutent des migrants musulmans d’Europe comme les Albanais. Evidemment la politique de l’autruche sévit même à Calais où on n’a relevé que l’identité et la provenance (la plupart du temps sans contrôle). On n’a recueilli aucune empreinte digitale, ni religion, ce qui fait que le flux qui ne va pas obtenir le statut légal de « réfugiés » vivra clandestinement et incognito en France grossissant le vagabondage et par là-même le trafic de drogues et d’armes, l’agression physique, le viol, le brigandage, l’extension des zones de non-droit et le djihad. 

L’évolution de la population musulmane en France tient à deux effets, l’apport externe donc l’immigration et l’apport interne par la natalité. L’apport de la natalité est prépondérant par rapport à celui de l’immigration même avec un solde migratoire passant de 150.000 à 200.000. L’étude que j’ai déjà publiée avançait la date de 2038 pour l’équilibre dans la population musulmane et l’autre, la date avec le solde à 200.000 est rapprochée à 2033. Cela aggrave la situation à terme mais ne change rien au fond du problème. Tout est dans le niveau d’assimilation de la population musulmane arrivée auparavant en France et en âge de procréer, et de leur progéniture. Le taux de fécondité est de 1,98 avec une grande différence entre la population de souche de l’ordre de 1,6 et celle d’origine migratoire récente à savoir 2,4 pour le Maghreb et près de 4 pour l’Afrique sub-saharienne. L’apport de la fécondité et de l’immigration actuel permet à la France une démographie positive.

Toutefois l’étude représentée sur le graphique précédent faisait une hypothèse sur la répartition entre le flux migratoire musulman et non musulman, de l’ordre 49% d’immigrés musulmans. Or il semble que dans le flux migratoire actuel le pourcentage de musulmans soit beaucoup plus élevé, sans doute des 2/3 au moins. Cela aggravera encore le résultat sur la date d’équilibre entre population musulmane et non musulmane. Dans ce cas d’école le pourcentage de 15% de musulmans, donné par les démographes comme celui de changements civilisationnels importants, serait atteint en 2019. C’est demain. D’ailleurs les actes contre les forces de l’ordre, les pompiers, les intervenants sanitaires se multiplient. Le dernier a marqué l’opinion publique. Le samedi 8 octobre 2016, à Viry–Châtillon, en banlieue parisienne, dans une de ces zones de non-droit qui se multiplient, deux voitures de patrouille ont été attaquées, vitres brisées, et incendiées au cocktail Molotov et les policiers volontairement bloqués à l’intérieur. La fronde policière contre l’État s’exprime par  Patrice Ribeiro, président du syndicat Synergie–Officiers, à propos du guet–apens de la Grande Borne, et parle d’une « tentative de meurtre d’une sauvagerie inouïe ». 

La réalité de cette guerre civile ethnique qui se prépare est confirmée par la forte hausse des policiers blessés en mission, dont aucune statistique officielle ne fournit l’origine des auteurs, pourtant parfaitement connue : 544 policiers blessés en moyenne par mois. Au premier trimestre 2016, 3267 policiers et gendarmes ont été blessés en opération (+14% par rapport à 2015). En 2015, 6.854 gendarmes ont été victimes d’agressions physiques ou verbales. Et 5736 policiers ont été blessés en service. Sans parler des pompiers… On assiste à deux mouvements parallèles : augmentation des populations immigrées qui fournissent presque 100% des délinquants violents et baisse de la réponse pénale. L’aggravation constante de la situation est le signe de la formation d’une situation explosive.

Réponse des politiques comme le cite Guillaume Faye  : François Hollande confirme avec cynisme cette évidence niée par ailleurs par les politiciens de gauche ou de droite : « la partition » de la France, en deux populations hostiles, « est en train de se produire ». Mais il n’en informait pas les français et n’en déduit aucune action nouvelle. Bernard Cazeneuve traite de « sauvageons », au lieu d’assassins, les voyous qui ont brûlé vifs des policiers dont il a la charge. Quant au ministre de la Justice, Jean-Jacques Urvoas, il a assuré : « il n’y a pas de zone de non–droit en France ». Quant à Juppé, il a déclaré dans un de ses discours que « la France était riche de sa diversité » autre version de « l’immigration est une chance pour la France ». Valls proclame que « l’islam est une partie indissociable de nous–mêmes, de notre culture et désormais de nos racines ». Cette déclaration du 17 octobre 2016 du Premier ministre de la France sonne comme une reddition honteuse et misérable. 

Ce sont les réponses de démission qui  vont dans le sens de l’objectif affiché par l’islamisme et largement répandu sur le web à savoir que « la France disparaisse, par une submersion démographique (invasion migratoire et natalité), une islamisation accélérée et à une guérilla de harcèlement qui fera céder et fuir les Français de souche ». Pourtant nous sommes devant une stratégie de provocation et de conquête, recommandée par les autorités musulmanes radicales, une stratégie de la tension devant déboucher sur une vraie guerre civile ethnique. Ce programme de guerre est déjà entré en application. Pourtant des voix courageuses et prophétiques s’élèvent mais sont mises en sourdine par les médias mainstream. Philippe de Villiers a révélé qu’il existe déjà des accords secrets ou discrets de soumission, extralégaux, avec la complicité de l’État français, pour céder, en douceur des portions du territoire français à la loi islamique, la charia. L’État collaborateur négocie déjà avec l’envahisseur. Éric Zemmour a estimé que les choses étaient mal parties : « Je crains qu’il ne soit trop tard[…] Si un pouvoir fort reprenait mes propositions, une partie des musulmans ferait sécession ; nous n’échapperons pas dans les trente ans qui viennent, soit à la guerre civile soit à la soumission. » Même Jean-Pierre Chevénement s’émeut de la prolifération des zones de non-droit. 

Nous sommes au carrefour de trois routes : 

Soumission à la civilisation de la charia

Disparition par expulsion ou meurtre 

Renaissance par guerre civile

De toute notre civilisation ! 

Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon