C’est une fausse bonne nouvelle. Il
ne s’agit pas des « migrants », car les expulsions, de ceux en
situation irrégulière n’ayant pas fait de demandes d’asile ou dont la demande d’asile
a été refusée, ne sont pas à la hauteur des arrivées sur notre pays avec un
solde migratoire de 200.000. Non il s’agit des pauvres en général qui n’ont pas
les ressources nécessaires pour garder leur logement selon la Fondation Abbé
Pierre. Le nombre de SDF a doublé en 10 ans, atteignant désormais entre 150 000
à 240 000 selon les rares données disponibles. La plupart sont les oubliés de
cette focalisation du pouvoir sur les hordes de migrants qui arrivent et s’agglutinent
à Calais ou désormais dans une transhumance à travers la France, avec le secret
espoir de rejoindre le Royaume-Uni. Ils apportent avec eux une autre civilisation
pour un accueil médiatisé mais peu propice à leur intégration et à une
insertion dans le monde du travail. Les exceptions font le buzz des médias et
masquent une réalité beaucoup plus sombre.
La pauvreté augmente inexorablement
et l’aide humanitaire demande de plus en plus aux français de se substituer aux
devoirs de l’État. L’arrivée des migrants dans un pays au taux de chômage élevé
ne peut donner que soit des vagabonds pour lesquels le vol avec agression
physique ou non, les trafics en tous genres pour satisfaire des besoins vitaux
et le viol pour des besoins sexuels, soit des « assistés », à vie
pour la plupart. A ceci vient se mêler le problème de l’arrivée d’une
civilisation différente et historiquement hostile à la civilisation occidentale
que nous accueillons au nom des droits de l’Homme, représentés par l’Arabie
Saoudite à la Présidence du Conseil des Droits de l’Homme à l’ONU… dont on
vient d’expulser la Russie pour trois ans ! Si la « pensée unique »
n’était pas que l’application d’une stratégie des puissances de l’argent anglo-saxonnes
et juives du super État Israélo-américain, on dirait que nous marchons sur la
tête ou dans une inconscience crasse.
Des voix s’élèvent de tous bords, encore dispersées et
minoritaires, mais de plus en plus entendues. Il n’est pas anodin d’écouter, en
plus du clan souverainiste, une voix socialiste comme celle de J.P Chevénement :
« Prenons au sérieux les gens de
Daech qui veulent que la France se déchire. Le "choc des
civilisations" qui paraissait très improbable s'est rapproché de nous. »
Il y a de quoi s’alarmer quand on voit que les migrants se rassemblent à Paris dans
l’avenue des Flandres et qu’il faut de nouveau les évacuer en sachant qu’ils
reviendront eux ou leurs suivants. Il y a de quoi s’alarmer quand on note que
dans notre pays et encore plus en Allemagne la délinquance et les viols explosent.
La moitié des clandestins de Calais accueillis dans le centre de Fouras en Charente-Maritime
ont disparu. On a de quoi s’alarmer quand on entend une ancienne première dame
de France, Carla Bruni, "chanter" « le vieux sang pourri des Français » et « le
sang neuf des immigrés » selon les propos rapportés par Patrick Buisson, dans
son livre « La Cause du peuple ».
Ceci reporte à une réflexion de Philippe De Villiers dans son livre « Les cloches sonneront-elles encore demain ? »,
réflexion que reprend J.P Chevénement : « une certaine panne de l'intégration dont les raisons sont multiples, la
première étant peut-être que la France a cessé de s'aimer elle-même. »
Les
faits divers inquiétants se succèdent à un rythme de plus en plus rapide. Rien
que dans l’actualité d’aujourd’hui on lit : 7 migrants syriens de moins de
15 ans bannis d’une piscine à Berlin pour harcèlement sexuel, des cocktails
Molotov lancés dans la cour du commissariat à Grande-Synthe en France, des
réquisitions d’habitations envisagées en Italie, quatre personnes blessées à Francfort
dans une attaque au couteau, plus de 200 migrants forçant la frontière de
l'enclave espagnole de Ceuta au Maghreb. C’est un vent de panique qui souffle
sur l’Europe, un ouragan humain et transfrontière que rien n’arrête parce que
les barrières y sont inexistantes ou contournables, parce que la réelle volonté
d’y faire face n’existe pas et que le pouvoir cultive le « déni ». « La culture du déni consiste à minimiser
l'ampleur des difficultés qui sont devant nous. » nous dit J.P
Chevénement. Mais cela va même plus loin. Le journal l’Austrian News Service
révèle qu’en Allemagne une mère de famille a découvert dans les affaires
scolaires de sa fille, scolarisée en primaire à Garmisch-Partenkirchen, une
feuille sur laquelle était écrit un chant islamique que tous les enfants de la
classe ont dû mémoriser et entonner en arabe. « Oh Allah, tu es parfait, sois loué. Béni soit ton nom, et exaltée soit
ta majesté. Il n’y a pas d’autre Dieu que toi » ! Ceci est à rapprocher de l’enseignement
de l’arabe (encore facultatif) dans les classes primaires… pour faciliter l’assimilation
des français de souche sans doute.
La
poussée islamique se fait de plus en plus pressante et visible. Le tournant a
été la déclaration de Boubaker sur la nécessité de doubler les 2.200 mosquées
existantes en s’appuyant sur le chiffre de 6 millions de musulmans. La bien-pensance
a de suite ramené le chiffre à 4 millions, donnant un exemple de réflexe de
déni. Le chiffre est réel et correspond aux extrapolations que l’on peut faire
depuis les informations de la période 2005-2010. Le port du voile dans les
manifestations sportives se répand dans le monde. En France les propos des
responsables islamiques se font de plus en plus clairs et exigeants. « L’islam est une religion française, le
foulard fait partie des tenues françaises et Mohammed est un prénom français »
dit Marwan Muhammad nommé à la tête du Collectif contre l’islamophobie en
France (CCIF) en mars dernier (photo jointe). Selon lui, les musulmans nés en France « définissent l’identité française, comme
n’importe qui d’autre ». Et ce, même s’ils portent des prénoms ou arborent
des vêtements liés à la religion islamique ou pratiquent la polygamie. Bientôt
ceci ne sera plus discutable comme la sortie de l’euro, qualifiée de catastrophique,
et le réchauffement climatique, que seuls les cons peuvent encore nier selon
Kosciusko-Morizet.
On
peut mesurer ainsi le chemin parcouru depuis les premières arrivées des
contrats de travail et on voit déjà la tentative d’un jeune musulman pour se
présenter aux élections présidentielles avec soi-disant 250 signatures d’élus
récoltées. Comme le dit Eric Zemmour, on peut craindre qu’il ne soit trop tard
et que les paroles prononcées sur une vidéo par un imam belge soit la suite à
venir : « Nous sommes ici chez nous, mais si nous n’êtes pas contents vous pouvez
toujours partir ». En tous cas il est temps de mettre dehors tous
les hommes et femmes politiques qui nous ont conduit à vendre la France à une
civilisation étrangère et en train de la détruire en un demi-siècle après deux mille
ans pour la construire. Il faut arriver à comprendre que les agressions envers
les forces de l’ordre se multiplient et ne peuvent que s’intensifier dans le
contexte politique actuel où la France est totalement aux mains de l’ « Étranger ».
Il s’agit encore d’une phase de préparation et de tests des capacités de
résistance du pays mais ce sont les prémices de la guerre civile.
Les cloches sonneront-elles encore demain ?
Oui si la France sait défendre ses
valeurs,
Cesse toute guerre contre l’oumma,
Sait la faire aimer pour assimiler,
Sait sortir de l’UE et de l’OTAN,
Sait bien filtrer à ses frontières
Et aide les pays migrateurs
A juguler l’émigration.
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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