L’immigration en masse d’une
civilisation très différente de la nôtre et dont on sent de plus en plus, en
particulier chez les jeunes, le retour aux principes stricts de la religion
musulmane est donc devant un choix qui
soit l’assimilation, comme l’ont fait d’autre flux migratoires, soit un refus
de celle-ci par le respect d’une prééminence de la Loi musulmane sur la loi
républicaine. Dans ce dernier cas ceci s’accompagne à un retour vers l’identité
des pays d’origine dont les drapeaux ont salué l’élection de François Hollande.
La
véritable question, à laquelle nos partis gouvernementaux ont répondu par
conviction ou (et) par calcul, est donc bien non pas de laisser au temps le
soin de résoudre cette affaire mais de déterminer si l’Islam est assimilable ou
non à une nation laïque et démocratique. Les derniers évènements de Turquie
devraient nous faire comprendre que la période de laïcité (celle d’Atatürk) a
pris fin et que les préceptes de la charia reviennent en force dans la vie
politique de ce pays.
Pour
ce qui est de la démocratie, on voit ce qu’il est advenu des printemps arabes. Les
réformes démocratiques d’Atatürk en Turquie, des Pahlavi en Iran et de
Bourguiba en Tunisie ont été imposées et si elles ont reculé c’est qu’elles
n’ont jamais été fondamentalement acceptées par les croyants. Le maniement de
la démocratie imposée de l’extérieur ne sert que pour élire ceux qui vont plus
ou moins profondément, plus ou moins vite, vers ce qui unit les musulmans, le
Coran, au-delà même des guerres fratricides entre ses trois composantes. L’OCI (Organisation
de la Coopération Islamique) regroupe 57 pays et régit toute l’expansion de
l’Islam. Elle s’appuie sur les dollars des pays pétroliers et toutes les
organisations nationales en dépendent peu ou prou dont l’Islam de France que
représente la Confédération du Culte Musulman.
La
compatibilité de l’Islam avec la laïcité et la démocratie se heurte à deux
raisons fondamentales. Il ne s’agit pas d’une religion mais d’une civilisation
unie autour de préceptes qui régissent toute la vie publique et privée de ses
fidèles. La seconde c’est que le Coran et les hadiths sont immuables et que les
remettre en cause vaut la mort. Rien n’est modifiable. Les musulmans
considèrent la Loi comme parfaite. D’ailleurs un double contrôle en verrouille
toute évolution, vertical par les « religieux » et horizontal par les
croyants ordinaires.
A tel point que l’absence de liberté de pensée, de conscience, n’est pas perçue. La terreur même n’est pas perçue comme nous, elle n’est que l’application de la loi d’Allah et les châtiments les plus cruels sont des actes de « purification ». La grande force de l’Islam est d’avoir su inculquer une fierté d’appartenance qui fait des Musulmans des êtres supérieurs et missionnés, porteurs de la morale et de l’idéal. Donner à l’Islam le statut de religion s’est accepter un trompe-l’œil dans lequel s’engouffre l’Islam tout entier. Cela permet d’ouvrir la porte aux subventions, aux autorisations d’ouverture de lieux de culte, de centres d’enseignement et de formation de cadres, etc. C’est le piège dans lequel nous sommes tombés.
Le
jeune musulman est formaté par l’éducation et la culture de son milieu pour
vivre dans une société de la Loi, dans laquelle les conduites sont stéréotypées
et les sanctions connues. Dans notre société où il est constamment confronté à
des choix personnels, livré à son libre-arbitre, le jeune est
« paumé ». La violence, qui fait partie de la mission d’expansion de
tout musulman l’attire. Cette communauté musulmane ne peut être que
criminogène, ce que nous constatons encore dans nos prisons sans parler de tous
les condamnés et récidivistes qui y échappent.
L’Islam
est de nouveau en marche dans toute l’Europe et en Afrique. Cette offensive clôt
la période des deux siècles derniers où la puissance technique a permis à
l’Europe de prendre l’avantage. La première phase actuelle est celle de la
conquête par remplacement de la population. Dans dix ans ils représenteront 15%
de la population et imposeront le respect de leur civilisation, laquelle n’a
que pour but de faire disparaître la nôtre dans un climat… d’amour et de paix,
comme cela se passe au Soudan, au Mali, en Egypte avec les coptes, en Syrie
avec les chrétiens, en Centrafrique.
Par aveuglement et pire par complicité
Nous livrons les générations futures
A la « dhimmitude » !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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