Alors que le Président essaie de se
sortir sans trop de dégâts du piège privé dans lequel il s’est fourré mais qui
pollue la vie politique de ce pays, un nouveau slogan fait rage, le
« Vivre ensemble ». Ce slogan est devenu une religion, qui comme
toute religion ne demande pas de preuves mais simplement la foi. Cette religion
a envahi toute l’Europe et hante particulièrement les politiciens, les
dominants, de notre pays.
Le
« Vivre ensemble » c’est la religion de l’UE, et plus
particulièrement de l’euro. Celui-ci est devenu un dogme, un postulat, qu’il
est malsain de remettre en cause sans apparaître soit pour un imbécile soit
pour un nazi. Jusqu’à présent les têtes d’œuf de gauche et de droite des partis
qui gouvernent la France depuis trente ans, ont porté cette relique au plus
haut niveau du matraquage médiatique. L’utilisation intelligente, souple de
l’écu d’avant 2000 a été enterrée au nom du « Vivre ensemble », du
plus près de toi mon Dieu Euro.
Dans
cette tour de Babel, qu’est toujours l’Union Européenne avec 37 langues
différentes sans parler des langues régionales ré-officialisées, l’euro trône
comme un phare éclairant des économies, des régimes fiscaux, des lois, des
langues, des us et coutumes, des cultures, des politiques, très différenciées
quand ce n’est pas totalement opposées. Que fait l’Irlande au milieu, sans
autre politique économique qu’une taxe sur les sociétés de 6 à 8%, qui incite
nombre de grandes entreprises à y mettre leur siège social. Combien de
milliards sont ainsi soustraits aux autres pays ? Quelle ressemblance y
a-t-il entre l’Allemagne avec une forte industrie exportatrice de produits
ciblés, sophistiqués et chers, et une Grèce d’armateurs, possédants à eux seuls
la majeure partie de la richesse d’un pays qui ne vend que son soleil, son
antiquité et ses îles touristiques ?
L’euro
ne survit que grâce à des sauvetages successifs et est voué, tôt ou tard, à
l’échec car la zone euro n’a prouvé que son inefficacité en face de la crise sauf
pour l’Allemagne qui a toujours été en mesure d’exporter avec une monnaie forte
et a jusqu’ici pompé les richesses des pays qui l’entourent. Désormais elle
commence à subir le poids d’une zone euro qui attend d’elle une aide. L’intérêt
pour elle de continuer ainsi s’estompe, lentement mais sûrement, dans l’esprit
même du peuple allemand.
A ce
dogme de l’euro auquel nos dominants s’accrochent comme à une bouée, incapables
de revenir en arrière et de penser à autre chose, il faut ajouter en France le
ravage de la religion du « Vivre ensemble » sur l’identité même de
notre pays. A l’image des propos de Vincent Peillon qui veut éradiquer le
catholicisme avec cette nouvelle religion du laïcisme modernisé avec un impact
sur la vie sociétale donc privée. La nouvelle morale laïque introduit la
théorie du genre, l’éveil à la connaissance de l’homosexualité. Mais l’effort
est porté sur l’acceptation de l’implantation d’une nouvelle civilisation,
insidieusement appelée « multiculturalisme », au nom de la démographie,
de l’enrichissement par l’apport culturel.
Cette
nouvelle civilisation se voit encouragée à peupler notre territoire de
mosquées, autant d’enclaves, à solliciter de nouveaux accommodements
identitaires sur le plan religieux, vestimentaire, culinaire, etc. Les
politiques se pressent aux inaugurations de mosquées et aux fêtes musulmanes.
On en arrive à mettre la sourdine aux fêtes chrétiennes comme Noël pour ne pas
prendre le risque d’une provocation des infidèles. L’erreur fondamentale est de
considérer l’Islam comme une religion, c’est une civilisation totalitariste, expansionniste et guerrière.
Complices
de l’islamisation, les politiques de gauche et de droite ont multiplié les
actes de bienveillance et de tolérance. Les politiques de droite se sont appliqués
à faire obstacle à la recomposition de la droite dans le droit fil du plan de
Mitterrand. Les politiques de gauche ont même été jusqu’à faire des Musulmans
des arbitres des élections nationales et à se faire saluer par un parti de
l’étranger, drapeaux en tête. Tous participent, activement ou passivement, au
décervelage de nos enfants en dénaturant le sentiment d’appartenance à une
nation, et en ramenant l’histoire de notre pays à celle de civilisations et de
grands ensembles territoriaux. Le sentiment d’identité nationale est rendu
flou, inadapté et enlève tout repère et toute capacité de résistance. Avec les
lâchetés des politiques, les intérêts du grand patronat, les cupidités de
certains petits patrons, la servilité de la presse, les associations antiracistes
subventionnées, la démagogie des penseurs de l’Éducation Nationale, les
accommodements et les décervelages s’amplifient. Donnant le champ libre à
l’expansionnisme de l’Islam, ils livrent notre identité nationale à
décapitation et au servage.
La stigmatisation du
racisme, dont les frontières sont de plus en plus éloignées de sa définition,
puisqu’il ne s’agit plus de races mais de religions ou de civilisations. Les
extensions qui y sont faites, jusqu’à l’anticipation de troubles à l‘ordre
public, sont autant de progressions de la censure, de la limitation des
libertés d’expression et de la reconnaissance de l’affirmation de l’identité
d’une civilisation musulmane qui a affirmé vouloir conquérir l’Europe. Plus
l’Islam progresse en nombre, plus les libertés se restreignent, plus la
personnalité d’un être se fond dans des règles communes de vie. Ceci se
constate dans tous les 57 pays musulmans qui constituent l’OCI, la plus grosse
organisation internationale après l’ONU.
Nous vivons les yeux fermés dans une
monnaie unique destructrice des nations
Nous vivons les yeux fermés dans une
collaboration « civilisationnelle » suicidaire
Nous visons les yeux fermés avec une
canne blanche dans des libertés
Qui fuient devant nos pas… Ouvrons les
yeux !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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