C’est
plus de 1,5 milliard d'habitants de la Terre qui sont de confession musulmane,
soit un quart de la population totale. Selon l'étude du Pew Research Center de
2009, 2/3 des musulmans vivent en Asie et un musulman sur cinq vit au
Proche-Orient ou en Afrique du Nord. L'Indonésie est le pays qui compte
le plus de musulmans avec 88% de sa population.
Je
vous ai présenté les chiffres les plus probables de la population musulmane
actuelle et les prévisions que l’on peut raisonnablement avancer pour les
années futures en France, si rien ne change dans la législation actuelle et si
se maintient la politique d’immigration que nous vivons. S’il ne fallait en
retenir que 2 chiffres, je choisirais celui d’un doublement de la population
musulmane tous les huit ans et d’une augmentation due pour les trois
quarts à la fécondité de cette population. La limitation de l’immigration ne
suffit pas et de loin à stopper une évolution particulièrement rapide. L’assimilation
de cette population est un impératif. Elle peut agir sur leur sentiment d’appartenance
à une culture et à un pays d’accueil ainsi que sur une fécondité qui se
rapprocherait progressivement de celle des pays occidentaux.
Si
cela peut nous faire réfléchir, ce problème de la fécondité musulmane se pose
partout dans le monde où vit une autre culture encore majoritaire. En dehors des pays
occidentaux il est révélateur de s’intéresser à la Birmanie. Les
autorités birmanes ont décidé de limiter à deux le nombre d'enfants que
pourront avoir les familles musulmanes dans les provinces de Buthidaung et
Maundow près du Bangladesh pour réduire la croissance démographique de cette
population, bien plus forte que celle des bouddhistes qui forment la majorité
de la population du Myanmar.
Cette
annonce faite en fin de semaine dernière par le porte-parole de l'Etat birman
de Rakhine, Win Myaing dans le quotidien britannique The Guardian n'a
pas été accompagnée de précisions quant aux moyens employés pour obtenir ce
résultat, et les autorités demeurent discrètes sur ce point. L'expérience de la
Chine voisine peut permettre d'imaginer non seulement amendes et brimades mais
encore la barbarie des stérilisations et des avortements forcés.
Ce sont les
« tensions » entre la communauté bouddhiste majoritaire et les musulmans
Rohingya qui justifient ces mesures de contrôle, voire de nettoyage ethnique,
aux yeux des autorités. Les violences ont repris de plus belle ces dernières
semaines. Leur taux de croissance démographique, selon les autorités
birmanes, est dix fois supérieur à celui des bouddhistes voisins et
c'est donc la « peur » face à cette expansion qui justifie ces mesures que l'on
peut qualifier de génocidaires.
On peut
aussi citer le peuplement rapide du Canada dans un autre continent. Une enquête
nationale sur les ménages datant du 8 mai 2013, nous apprend que la population
musulmane au Canada a augmenté de 82% au cours de la dernière décennie (579
740 musulmans en 2001 à plus de 1 million en 2011). Aujourd’hui, la population
musulmane au Canada représente environ 3,2% de la population.
En France notre
immigration musulmane vient essentiellement du Maghreb et de l’Afrique
sub-saharienne. Si le taux de fécondité varie de 2,1 à 2,7 dans les pays du Maghreb,
elle est de 4,93 au Tchad musulman à 56%, 6,35 au Mali musulman à 92% et de 7,52
au Niger musulman à 98%. Il faut comparer ces chiffres au taux de fécondité de
la population non immigrée française qui doit être de l’ordre de 1,8 pour une
moyenne nationale de 2,01.
La France est
entrée dans une période de récession alors que notre population ne s’accroît que
par une population important non seulement une autre culture et une autre
religion mais qui est, selon les chiffres officiels celle qui nourrit le plus
le chômage. Tout ceci se traduit par leur passage dans le trafic, le vol, la
drogue et des actions violentes menaçant notre sécurité. Un climat d’incompréhension
se développe entre les deux communautés et ne fait qu’augmenter avec la
croissance de cette communauté musulmane quel que soit le sentiment, en moyenne
accueillant, du peuple français. C’est ainsi que l’on trouve une surpopulation
musulmane dans les prisons. Selon une étude basée sur les chiffres publiés par
Claude Guéant, on observerait donc 13,6 fois plus de détenus parmi les
musulmans que parmi les non-musulmans.
On peut contester
ce chiffre mais pas le fait d’une surpopulation notoire musulmane dans les
prisons. C’est non pas une stigmatisation de cette communauté mais au contraire
un constat d’échec de la politique d’immigration menée jusqu’à présent. Il est
vérifié dans d’autres pays (Guyane, Belgique, Kenya, Inde et Russie) où la
population musulmane atteint 10%, cas de la France en 2015, les actes de
rébellions et d'anarchie pour dénoncer leurs conditions de vie augmentent.
A Paris,
nous voyons déjà les voitures brûler. Toute action contre les musulmans
offense l'islam, et débouche sur des soulèvements et des menaces, comme à
Amsterdam, avec l’opposition aux caricatures de Mahomet et aux films sur
l'islam. À partir de ce
stade, ils font du lobbying pour obtenir du gouvernement la possibilité
d’appliquer la charia (loi islamique) dans leurs ghettos et sur des sujets
mineurs. Rappelons que l'objectif ultime des islamistes est d'établir la
charia dans le monde entier.
À partir de 20% et plus, le cas probable de la France
à partir de 2030, le pays peut s’attendre à des émeutes violentes pour un oui
pour un non, à la création de milices djihadistes, à des assassinats
sporadiques, et à des incendies d'églises et de synagogues. C’est le cas de l’Ethiopie
actuellement.
Le
montagnard non averti mérite d’être secouru.
L’inconscient
informé n’a pas d’excuse
C’est
le cas de la France
Qui
vend son âme !
Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon
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