La France est dans une situation
périlleuse et l’on ne perçoit pas le bout du tunnel annoncé avant la fin du
mandat de Nicols Sarkozy. Rien d’étonnant à cela puisque la politique menée par
François Hollande conserve les mêmes
concepts, les mêmes dogmes. Parlons par exemple de politique étrangère, Sarkozy
va en Libye, Hollande au Mali. Sarkozy rentre dans l’OTAN, Hollande ne
manifeste aucune intention d’en sortir. Qui retrouve-t-on derrière tout ça ?
Les Etats-Unis qui défendent une géostratégie de piégeage de l’économie
européenne, illustration avec l’accord de libre-échange, et de muraille d’écoute
et de menace sur la Russie et la Chine avec une mise au pas de l’Iran
diabolisé.
La France est transformée en fantassin de l’hégémonie américaine. Mais sur le plan économique cette superpuissance s’impose de la même façon et « conseille » même l’Europe sur les bonnes stratégies économiques, celles pratiquées chez eux… le maintien de la croissance (molle) par la planche à billets. C’est tellement bien reçu par notre Président qu’il est tombé en admiration devant la même stratégie utilisée au Japon. Cette superpuissance s’invite régulièrement sur le strapontin des discussions intra-européennes.
Nos présidents sont aux mains des banquiers et des grandes entreprises internationales. Des groupes plus ou moins secrets, comme le Bildeberg ou la Trilatérale dans lesquels on retrouve tous les poids lourds de l’économie mondiale, concoctent les stratégies qui garantissent leur poids de plus en plus grand sur l’économie mondiale et sur les gouvernants. Tout est bon pour sauver l’euro et même l’Union Européenne, sans réel poids politique, sans réel poids militaire (or la force de frappe nucléaire française), mais premier marché commercial mondial.
Hollande est comme cet homme qui donne à manger aux pigeons sur la place et qui rentre à la bourse pour y jouer des petites fortunes. Il maintient le calme social grâce à de petites concessions répétées aux plus démunis (allocation de rentrée scolaire par exemple) et lance des évolutions de société qui ne coûtent pas au Trésor Public. La pensée unique enserre la France dans un carcan qui ne laisse aucune chance à une véritable évolution de la politique qui nous fait aller vers le fond. La classe moyenne est ponctionnée au profit du 1% des privilégiés. L’argent fuit les caisses de l’Etat pour se retrouver dans les poches des banquiers et des multinationales.
Par ailleurs nous nous dirigeons veers un Etat de plus en plus corrompu, de moins en moins démocratique, au pouvoir juridique de plus en plus discriminatoire, et de maintien de l’ordre qui prend des allures de totalitarisme sans garantir mieux la sécurité de ses citoyens. La dernière élection de Villeneuve-sur-Lot montre l’état d’exaspération avec une forte abstention et une montée d’un parti craint par son histoire extrémiste sans véritable crédibilité économique. Les deux grands partis reçoivent le camouflet des déçus de gauche et de droite qui cherchent n’importe quel moyen pour les mettre dehors.
Le MPF Languedoc-Roussillon s’est réuni à l’invitation de son coordonnateur. Tous les présidents de département se disent prêts à défendre la vision de Philippe De Villiers auprès de nos concitoyens en lançant des actions dès l’automne. Le FN national ne doit pas être la seule alternative pour ceux qui ne veulent plus de l’UMPS et que les discours outranciers de Mélenchon rebutent. La défense des valeurs de morale et de civisme, et de la démocratie doivent être l’engagement de base de notre combat.
Mais c’est une orientation totalement différente que ce mouvement veut promouvoir avec pour objectif l’indépendance de la France dans une nouvelle construction de l’Europe et dans une conception du partenariat avec nos alliés Outre-Atlantique. La mondialisation ne doit pas exclure le protectionnisme intelligent ni la monnaie nationale ou le Serpent Monétaire Européen, pas plus que la possibilité d’un certain contrôle des mouvements de capitaux s’ils mettent en danger notre pays.
Notre défense nationale doit être repensée et son action limitée à la défense de l’intégrité de nos territoires en métropole et Outre-mer ou aux accords bilatéraux qui y sont liés. Le retour à une position de réserve vis-à-vis de l’OTAN est donc nécessaire.
L’Education Nationale et la formation doivent au centre d’un retour à l’enseignement des disciplines fondamentales, dans un but d’exercer un métier. La qualité ne doit pas sacrifier à la quantité. Enseignement civique, autorité et reconnaissance des maîtres doivent redevenir les bases d’un enseignement apaisé et efficace. Il faut montrer à tous que l’enseignant est un métier de la plus haute importance demandant des qualités garanties mais aussi mieux récompensées.
L’effort financier de l’Etat est à porter plus qu’aujourd’hui sur l’innovation et la Recherche et Développement, effort qui s’avère porteur dans tous les pays en bonne santé. Une véritable décentralisation avec le respect de la ruralité doit être entreprise sur le crédo du « qui fait quoi, pourquoi, pour qui, comment et quand » qui sont les bases d’une bonne organisation. Ce chantier est indispensable pour diminuer les dépenses inutiles de l’Etat, simplifier les circuits administratifs qui mangent une bonne part de l’énergie des entreprises.
Une attention particulière doit être portée sur les inégalités pour qu’elles ne progressent pas et que la rente ne soit pas privilégiée par rapport au travail. Les prestations sociales doivent privilégier les français et les travailleurs en permis de séjours « strictement réglementés » et les familles. Les retraites doivent tendre à s’autofinancer mais le budget public doit assumer le niveau de prestations voulu par les français grâce à l’impôt et aux taxes.
C’est sur ces thèmes que porteront les réflexions du MPF Languedoc-Roussillon dans le but de redonner un nouvel élan à un parti qui constate que ceux qui avaient raison avant les autres ne peuvent pas avoir toujours tort ! Il a pris la décision de le crier haut et fort !
La France est transformée en fantassin de l’hégémonie américaine. Mais sur le plan économique cette superpuissance s’impose de la même façon et « conseille » même l’Europe sur les bonnes stratégies économiques, celles pratiquées chez eux… le maintien de la croissance (molle) par la planche à billets. C’est tellement bien reçu par notre Président qu’il est tombé en admiration devant la même stratégie utilisée au Japon. Cette superpuissance s’invite régulièrement sur le strapontin des discussions intra-européennes.
Nos présidents sont aux mains des banquiers et des grandes entreprises internationales. Des groupes plus ou moins secrets, comme le Bildeberg ou la Trilatérale dans lesquels on retrouve tous les poids lourds de l’économie mondiale, concoctent les stratégies qui garantissent leur poids de plus en plus grand sur l’économie mondiale et sur les gouvernants. Tout est bon pour sauver l’euro et même l’Union Européenne, sans réel poids politique, sans réel poids militaire (or la force de frappe nucléaire française), mais premier marché commercial mondial.
Hollande est comme cet homme qui donne à manger aux pigeons sur la place et qui rentre à la bourse pour y jouer des petites fortunes. Il maintient le calme social grâce à de petites concessions répétées aux plus démunis (allocation de rentrée scolaire par exemple) et lance des évolutions de société qui ne coûtent pas au Trésor Public. La pensée unique enserre la France dans un carcan qui ne laisse aucune chance à une véritable évolution de la politique qui nous fait aller vers le fond. La classe moyenne est ponctionnée au profit du 1% des privilégiés. L’argent fuit les caisses de l’Etat pour se retrouver dans les poches des banquiers et des multinationales.
Par ailleurs nous nous dirigeons veers un Etat de plus en plus corrompu, de moins en moins démocratique, au pouvoir juridique de plus en plus discriminatoire, et de maintien de l’ordre qui prend des allures de totalitarisme sans garantir mieux la sécurité de ses citoyens. La dernière élection de Villeneuve-sur-Lot montre l’état d’exaspération avec une forte abstention et une montée d’un parti craint par son histoire extrémiste sans véritable crédibilité économique. Les deux grands partis reçoivent le camouflet des déçus de gauche et de droite qui cherchent n’importe quel moyen pour les mettre dehors.
Le MPF Languedoc-Roussillon s’est réuni à l’invitation de son coordonnateur. Tous les présidents de département se disent prêts à défendre la vision de Philippe De Villiers auprès de nos concitoyens en lançant des actions dès l’automne. Le FN national ne doit pas être la seule alternative pour ceux qui ne veulent plus de l’UMPS et que les discours outranciers de Mélenchon rebutent. La défense des valeurs de morale et de civisme, et de la démocratie doivent être l’engagement de base de notre combat.
Mais c’est une orientation totalement différente que ce mouvement veut promouvoir avec pour objectif l’indépendance de la France dans une nouvelle construction de l’Europe et dans une conception du partenariat avec nos alliés Outre-Atlantique. La mondialisation ne doit pas exclure le protectionnisme intelligent ni la monnaie nationale ou le Serpent Monétaire Européen, pas plus que la possibilité d’un certain contrôle des mouvements de capitaux s’ils mettent en danger notre pays.
Notre défense nationale doit être repensée et son action limitée à la défense de l’intégrité de nos territoires en métropole et Outre-mer ou aux accords bilatéraux qui y sont liés. Le retour à une position de réserve vis-à-vis de l’OTAN est donc nécessaire.
L’Education Nationale et la formation doivent au centre d’un retour à l’enseignement des disciplines fondamentales, dans un but d’exercer un métier. La qualité ne doit pas sacrifier à la quantité. Enseignement civique, autorité et reconnaissance des maîtres doivent redevenir les bases d’un enseignement apaisé et efficace. Il faut montrer à tous que l’enseignant est un métier de la plus haute importance demandant des qualités garanties mais aussi mieux récompensées.
L’effort financier de l’Etat est à porter plus qu’aujourd’hui sur l’innovation et la Recherche et Développement, effort qui s’avère porteur dans tous les pays en bonne santé. Une véritable décentralisation avec le respect de la ruralité doit être entreprise sur le crédo du « qui fait quoi, pourquoi, pour qui, comment et quand » qui sont les bases d’une bonne organisation. Ce chantier est indispensable pour diminuer les dépenses inutiles de l’Etat, simplifier les circuits administratifs qui mangent une bonne part de l’énergie des entreprises.
Une attention particulière doit être portée sur les inégalités pour qu’elles ne progressent pas et que la rente ne soit pas privilégiée par rapport au travail. Les prestations sociales doivent privilégier les français et les travailleurs en permis de séjours « strictement réglementés » et les familles. Les retraites doivent tendre à s’autofinancer mais le budget public doit assumer le niveau de prestations voulu par les français grâce à l’impôt et aux taxes.
C’est sur ces thèmes que porteront les réflexions du MPF Languedoc-Roussillon dans le but de redonner un nouvel élan à un parti qui constate que ceux qui avaient raison avant les autres ne peuvent pas avoir toujours tort ! Il a pris la décision de le crier haut et fort !
C’est au bord du gouffre que l’instinct
de survie renaît.
Ce gouffre entrevu est le piège d’une
oligarchie,
Une marmite cannibale touillée par l’argent,
Mais les carottes ne sont pas cuites !
Claude Trouvé
Coordonnateur MPF Languedoc-Roussillon
Coordonnateur MPF Languedoc-Roussillon
Tres bien, , esperant le retour de Mr de villiers
RépondreSupprimerThizy gilbert