Il est temps d’ouvrir
les yeux sur le monde qui se prépare pour les générations futures. Une pression
politique constante, relayée par les médias, nous projette le bien-fondé d’une
gouvernance mondiale. Depuis les années 80 cette évolution est en marche sous l’impulsion
de sociétés occultes (Bilderberg et Trilatérale entre autres) qui regroupent
toutes les principales puissances financières, économiques et politiques. Cette
puissante élite du monde occidental se considère d’une race supérieure et veut
imposer un gouvernement mondial pour régler les problèmes de la planète. Il ne
s’agit pas d’une vue débile et cauchemardesque ou fantasmagorique de notre
monde mais bien d’une réalité dont les contours se précisent jour après jour.
Ce Nouvel Ordre Mondial, qui part
des États-Unis, a été évoqué par les deux derniers candidats à notre Présidence
de la République et est régulièrement évoqué par Jacques Attali et même par De
Villepin. Le raisonnement est simple, je dirai simpliste. De nombreuses
catastrophes peuvent s’abattre sur le monde que les États ne seront pas en
mesure de régler parce qu’elles dépassent les frontières territoriales de leur
autorité. Citons parmi ceux-ci la démographie galopante qui prévoit le passage
à 8 milliards d’individus en 2020, population que la planète ne pourra bientôt
plus nourrir. Les épidémies qui sont transfrontalières et qui demandent un
effort coordonné pour en venir à bout. Le réchauffement climatique qui demande
un effort coordonné de l’ensemble des nations.
C’est évidemment des raisons qui
font mouche dans l’esprit des populations. La conclusion est que seul un
gouvernement mondial, tenu par une élite, peut y faire face. Le problème est
que cette « race supérieure », qui rappelle d’horribles souvenirs
hitlériens, veut régler la face du monde par l’économie libérale dans la
mondialisation. Cette élite ne s’intéresse qu’à l’ensemble du monde, et pour
commencer au monde occidental, pour lequel le processus de persuasion et de
mise en œuvre est très avancé. Nicolas Sarkozy était à la tâche avec l’entrée
dans l’OTAN, la mise en place de Dominique Strauss-Kahn et de Christine Lagarde
au FMI, la vassalisation aux Etats-Unis en Afghanistan et en Lybie. Elle est
continuée par le droit d’ingérence en Syrie et le démarrage en 2015 de l’alliance
transatlantique sous la présidence de François Hollande.
Successivement on a vu sur le
plan mondial l’Irak et l’Afghanistan retourner à l’âge de pierre. Le chaos s’installe
aussi en Lybie, et est voulu en Syrie. Le Pakistan est noyauté par la CIA et la
poudre pourrait exploser entre ce pays et l’Inde tous deux dotés de l’arme nucléaire
et en perpétuel conflit de frontières. Partout où les États-Unis se mêlent des
affaires d’un pays, le chaos s’installe. Tous les pouvoirs forts, évidemment
souvent dictatoriaux, sont mis à l’index ou renversés. Il en est ainsi autour
de la Méditerranée où même l’Algérie risque d’être l’objet de mouvements de
déstabilisation. Les mouvements religieux, en particulier islamistes, sont soit
aidés soit combattus. L’exemple de la Syrie est révélateur de notre action
concertée avec eux.
Le rôle du FMI, de la Banque
mondiale, de la BCE, de l’OMC est visiblement de mettre certains peuples à
genoux et d’en prendre le contrôle. Bruxelles ne cesse de promouvoir la
disparition des nations, en subventionnant même les régions qui réclament l’autonomie.
L’entreprise de démolition est en route. Certains députés européens le crient
très fort mais leur voix est aussitôt étouffée. Des commissaires européens font
partie de ces organisations occultes qui, dans l’ombre, orientent le processus
de destruction et d’aliénation des populations. Même le Président du Conseil de
l’Europe, Van Rompuy, est allé se faire
adouber par elles.
Vous pouvez constater que la
démocratie est devenue une peau de chagrin et qu’il est incongru d’y recourir
comme cela se dit au sommet de l’Europe. De même on constate que le droit d’ingérence
dans un pays se passe souvent d’un accord international ou permet d’outrepasser
les droits accordés. Le chaos est nécessaire pour amener l’ensemble des
populations dans un état de faiblesse et d’anxiété qui permettent de réaliser l’objectif
de l’avenir du monde dans une économie libéral-fasciste. La population mondiale
devrait alors être composée de trois strates, la strate de l’élite, celle plus
nombreuse des militants chargés de la mise en œuvre et de la persuasion (au sens
large, la fin justifiant les moyens), et enfin celle laborieuse, corvéable à
qui l’on prédit sans cesse des lendemains qui chantent.
Si vous n’en croyez rien, cela n’en
est pas moins vrai, il suffit d’ouvrir les yeux et de relire Franklin Delano
Roosevelt : « En politique, rien n’arrive par hasard. Chaque
fois qu’un évènement survient, on peut être certain qu’il avait été prévu pour se
dérouler ainsi » Alors lisez les dix commandements du Nouvel Ordre Mondial
gravés dans la pierre en Géorgie :
- Maintenir l’humanité en dessous de 500 millions d’individus en perpétuel équilibre avec la nature (disparition de 92% de la population mondiale)
- Guider la reproduction intelligemment en améliorant la forme physique et la diversité (confère Hitler)
- Unir l’humanité avec une nouvelle langue vivante
- Traiter de la passion, de la foi, de la tradition et de toutes autres choses avec modération
- Protéger les personnes et les nations avec des lois et des tribunaux équitables
- Laisser les nations régler leurs problèmes externes et internes devant un tribunal mondial
- Eviter les lois et les fonctionnaires inutiles
- Equilibrer les droits personnels et les devoirs sociaux
- Faire primer la variété, la beauté, l’amour en recherchant l’harmonie avec l’infini
- Ne pas être un cancer sur la terre, laisser une place à la nature.
C’est beau comme un livre d’images
religieuses, sauf que les buts inavoués se cachent derrière et que les points 1
et 2 laissent percer les pires moments pour l’humanité. Alors je laisse chacun
se faire une opinion mais je termine par la déclaration d’un politique allemand :
« J’appelle le peuple allemand à prendre ses responsabilités. Par
deux fois dans l’histoire, notre pays s’est laissé manipuler par des intérêts
économiques, dont le but affiché était de conquérir l’Europe et le monde par la
force. Par deux fois dans l’histoire, le peuple allemand, échauffé par le
cartel chimique et pharmaceutique et son insatiable avidité, et par ses hommes
de main politiques assoiffés de pouvoir, a causé d’innombrables souffrances en
Europe et dans le monde entier.
Mon grand-père a combattu en Italie pendant la
première guerre mondiale, la première tentative du cartel chimique et
pharmaceutique de conquérir le monde. Les « plans de domination économique
mondiale » de ce cartel étaient intelligemment camouflés derrière la
confiance de l’empereur, derrière un nationalisme chauvin et l’appel
omniprésent d’une « place au soleil ». Pendant la seconde guerre
mondiale, mon père a combattu en France, en Russie et en Afrique du Nord. L’empereur
avait entre-temps été remplacé par Adolf Hitler, la nouvelle marionnette politique
du cartel. Mon père et mon grand-père ne nous ont jamais parlé de la guerre, à
nous qui n’étions que des enfants, car ils avaient, tous deux, vécu les horreurs
de ces années.
Pour moi aujourd’hui, le pire est que, de leur vivant, aucun des
deux n’a eu la chance de comprendre qu’ils avaient été abusés au profit de ces
mêmes groupes financiers et de leur tentative de conquête militaire du monde. C’est
également pour cette raison que je vous parle aussi clairement. Nous, le peuple
allemand, nous avons aujourd’hui la chance unique de montrer aux européens et
aux citoyens du monde entier que nous avons tiré les leçons de l’histoire. Nous
ne nous laisserons plus embrigader par des intérêts financiers, dont le but est
d’asservir financièrement et politiquement des nations tout entières »
Espérons que nous aussi, français, nous serons clairvoyants,
Que nous saurons tirer les leçons de l’histoire
Et ne pas céder aux puissances de l’argent !
Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du
Languedoc-Roussillon
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