Une
prostituée ? Que diable ! Mais oui, chers lecteurs, la France vend
ses charmes à qui les désire. Elle se vend aux Etats-Unis, à l’Allemagne, à
l’Europe, aux puissances financières, au Qatar, à l’Arabie Saoudite, à l’Algérie,
à l’OTAN, au FMI, à l’OMC… Elle vend sa laïcité à une nouvelle religion d’Etat
et nos élites se vautrent dans la complaisance, dans l’excuse permanente des
actes délictueux, dans l’autorité au gré de son idéologie, dilue la démocratie
dans un totalitarisme rampant. La France vend son âme au diable dans les errances
du multiculturalisme et d’une société libertaire sans contrainte.
Elle
se culpabilise et se discrédite en permanence, anticolonialisme (en oubliant qu’elle
a plus apporté à l’Algérie qu’elle ne lui a pris), antiesclavagisme (alors que
les plus grands esclavagistes ont été les Arabes et les chefs locaux). Faut-il rappeler
que nous sommes allés en Algérie pour mettre fin aux exactions des bateaux
arabes qui rançonnaient toute la Méditerranée ? Combien de pays que nous
avons colonisés sont passés en un siècle du moyen-âge à la modernité d’aujourd’hui ?
Combien de vies y ont été sauvées par la science médicale de notre pays ?
Alors arrêtons nos repentances, œuvrant dans la dignité d’un pays qui respecte
ses ancêtres.
Il
est loin le temps des Philippe Auguste, François Ier, Henri IV, Louis XIV entre
autres, qui ont patiemment construit une France dans des frontières naturelles
propices à sa survie. La France est éventrée sur une Europe qui veut la
dépouiller. Elle est devenue le terrain de jeux des Roms, la terre à submerger par
le nombre de représentants d’une religion moyenâgeuse qui avait reculé à Toulouse,
à Poitiers et à Vienne et la terre d’épargnants
convoitée par l’affairisme. Elle devient ce petit nain qui lève le doigt pour
défendre son exception culturelle alors que celle-ci décline et qu’elle ne
défend même plus sa propre langue.
On
se glose de Droits de l’Homme et on refuse le référendum demandé par un nombre
impressionnant de citoyens sur un sujet de société bouleversant la notion de
famille et des droits de filiation. On pousse l’égalité jusqu’au grotesque
alors que l’on appauvrit le pays en poussant encore plus bas les plus pauvres
et cela dans une dépendance à l’Etat solidaire éloignée des valeurs du travail.
Liberté violée, égalité illusoire, fraternité sombrant dans le corporatisme et l’affrontement religieux, tels sont les stigmates d’une France droguée, anesthésiée, dépouillée. Que devient ce pays autrefois flamboyant et riche d’une civilisation millénaire ? Que devient sa société lentement civilisée ? Elle sombre dans les crimes crapuleux, les crimes de religion comme ce jeune de 23 ans égorgé à Marseille selon les rites musulmans, les pires comportements comme ces morts volés et ces blessés dévalisés alors qu’ils demandaient du secours. Le pire était à venir, le déni de réalité puis la minimisation de l’horreur de tels actes de la part d’un Etat chargé de l’ordre et de la justice.
On peut être horrifié de comportements aux antipodes de ce qu’est une civilisation. On ne peut que constater la vitesse à laquelle se dégrade notre pays. À Toulouse, le 2 août, des « jeunes » agressent et caillassent les secours appelés pour aider une jeune femme à accoucher à son domicile. Le lendemain, dans le même quartier décidément accueillant, des « jeunes » agressent, frappent et caillassent les pompiers venus au secours d’une femme âgée victime d’un traumatisme crânien après une chute ; celle-ci devra finalement être emmenée (« exfiltrée » ?) par sa famille.
Dans de nombreux quartiers de nos cités, médecins, infirmiers, pompiers ne pénètrent plus qu’accompagnés par la police. Les agressions sur la police elle-même se multiplient et celle-ci reçoit des ordres de subir plutôt que de réprimer. Ces comportements se banalisent à la vitesse de la lumière. Les affrontements s’aggravent entre deux civilisations et déchirent le pays. Aucun pays ne peut survivre sans une solidarité allant de l’individu, en passant par la famille, jusqu’à l’Etat car ce sont les fondements même de l’humanité !
Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon
Liberté violée, égalité illusoire, fraternité sombrant dans le corporatisme et l’affrontement religieux, tels sont les stigmates d’une France droguée, anesthésiée, dépouillée. Que devient ce pays autrefois flamboyant et riche d’une civilisation millénaire ? Que devient sa société lentement civilisée ? Elle sombre dans les crimes crapuleux, les crimes de religion comme ce jeune de 23 ans égorgé à Marseille selon les rites musulmans, les pires comportements comme ces morts volés et ces blessés dévalisés alors qu’ils demandaient du secours. Le pire était à venir, le déni de réalité puis la minimisation de l’horreur de tels actes de la part d’un Etat chargé de l’ordre et de la justice.
On peut être horrifié de comportements aux antipodes de ce qu’est une civilisation. On ne peut que constater la vitesse à laquelle se dégrade notre pays. À Toulouse, le 2 août, des « jeunes » agressent et caillassent les secours appelés pour aider une jeune femme à accoucher à son domicile. Le lendemain, dans le même quartier décidément accueillant, des « jeunes » agressent, frappent et caillassent les pompiers venus au secours d’une femme âgée victime d’un traumatisme crânien après une chute ; celle-ci devra finalement être emmenée (« exfiltrée » ?) par sa famille.
Dans de nombreux quartiers de nos cités, médecins, infirmiers, pompiers ne pénètrent plus qu’accompagnés par la police. Les agressions sur la police elle-même se multiplient et celle-ci reçoit des ordres de subir plutôt que de réprimer. Ces comportements se banalisent à la vitesse de la lumière. Les affrontements s’aggravent entre deux civilisations et déchirent le pays. Aucun pays ne peut survivre sans une solidarité allant de l’individu, en passant par la famille, jusqu’à l’Etat car ce sont les fondements même de l’humanité !
France
prostituée, France droguée, France dévoyée,
France du rejet de ses racines et du
non-respect
De ses ancêtres, de ses valeurs, de sa
langue,
N’oublie pas ce mot pour ta survie…
RE-SIS-TAN-CE !
Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon
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