15.000 personnes bloquées dans la neige avant
d’arriver à destination ont refroidi toutes les allégations sur le
réchauffement climatique. Il est vrai que cet épisode froid ne prouve rien, pas
plus que l’année 2014 plus chaude que la moyenne… en France. Les variations de
température pour juger d’une tendance quelconque que l’on puisse valablement
poursuivre sur des dizaines d’années voire des siècles ne peuvent s’appuyer sur
des épisodes fussent-ils d’une année. Regarder ainsi c’est comme regarder le
foin à la loupe pour évaluer le volume du tas. D’ailleurs, si on regarde une
image plus large, la période chaude moderne n’est rien comparée à ce qu’il
y a eu dans l’Histoire humaine.
On doit
donc parler de la température du globe et sur une période d’au moins une quinzaine d’années pour seulement pouvoir affirmer qu’il y a une tendance
quelconque avec une probabilité raisonnable de ne pas se tromper. Pour ce qui
est de la prévision de l’avenir, la connaissance des multiples causes et interactions
est loin d’être solide dans une science si jeune. Le scepticisme devrait donc
être de rigueur quant aux prévisions alarmistes qui essaient de bouleverser l’économie
du monde. C’est actuellement le cas de l’Australie mais peu de pays résistent
aux affirmations des rapporteurs des travaux du Giec, je dis bien des
rapporteurs qui peuvent donc facilement transfigurer, accentuer, édulcorer les dits
rapports des scientifiques souvent beaucoup moins affirmatifs.
Alors
revenons-en aux faits. La température moyenne du globe n’a pas évolué depuis
1994, date à laquelle on disposait d’un maillage suffisamment serré pour faire
une carte représentative du globe terrestre. J’ai déjà publié ce diagramme des
températures qui montre qu’aucune tendance n’apparaît depuis une quinze ans,
contredisant d’ailleurs les résultats des modèles mathématiques à partir
desquels sont faites les prévisions pour les 50 ans à venir. Les incertitudes
entourant le changement climatique et les calottes de glace polaires ont
atteint un nouveau niveau ce mois-ci puisque la recherche a suggéré que
la glace dans l'Antarctique augmente.
Ted
Maksym, océanographe à la Woods Hole Oceanographic Institution,
dans le Massachusetts, a mené une étude au cours de laquelle il a envoyé un
robot sous-marin dans les profondeurs de la mer Antarctique pour mesurer la
glace. Ses résultats contredisent les hypothèses antérieures faites par les
scientifiques et ont montré que la glace est en fait beaucoup plus épaisse que
tout ce qui a été évalué au cours des 20 dernières années. Les données du
satellite européen espace Agence CryoSat-2 révèlent que les volumes de glace de
mer dans l'Arctique à l'automne 2014 étaient au-dessus de la moyenne des cinq
dernières années. Ceci pourrait être la preuve que la population d'ours
blancs n'est pas menacée. En effet le gouvernement du Nunavut affirme que leur
population est en très bonne santé. Mais d’autres affirmations sont battues en
brèche.
Le réchauffement de
l'Arctique est un mythe : les images satellites montrent que la calotte
glaciaire d'été est plus épaisse et couvre 1,7 million de kilomètres carrés de
plus qu'il y a 2 ans !
http://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-2738653/Stunning-satellite-images-summer-ice-cap-thicker-covers-1-7million-square-kilometres-MORE-2-years-ago-despite-Al-Gore-s-prediction-ICE-FREE-now.html
Le
réchauffement climatique se serait arrêté depuis 16 ans selon un rapport du
bureau du MET (office Métérologique du Royaume-Uni); un prix Nobel de physique dénonce le mensonge du
réchauffement climatique généré par l’homme, etc. Le moins que l’on puisse dire
c’est que le consensus, dont se targue les tenants du réchauffement, est loin d’être
total et que les faits viennent de plus en plus contredire les calculs sur les
constats d’aujourd’hui mettant en doute toutes les prévisions à moyen et long
terme.
Il n’empêche que politiques et médias nous déversent les certitudes sur le changement climatique. Tout le long de 2014, on a entendu les journalistes interroger en permanence sur le lien entre les températures chaudes de l’année et le réchauffement climatique, comme si on détenait là une preuve irrefutable. Or d'après les mesures satellitraies de l'université d'Alabama, UAH, l'année 2014 ne se signale pas significativement par rapport aux années précédentes. De plus les mesures fournies par d'autres sources ne montrent qu'un écart de
Le mensonge de ceux qui tirent les
ficelles,
Relayé par des politiques complices,
Régit le monde à sa façon !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire