On nous ment en
parlant du catastrophisme de la sortie de l’euro, alors que le Brexit s’avère
comme une réussite avec la meilleure croissance européenne en 2016 et celle prévue
pour 2017. On nous ment sur la réussite économique grâce à l’euro, la
croissance du PIB/habitant était de 2,876% en 1999, et de -0,156% en 2014 selon
la Banque mondiale. On nous ment sur la santé économique de notre pays alors que
nous devons désormais emprunter pour 10 ans à 0,916% soit quatre fois plus que
l’Allemagne, plus que la Belgique et les Pays-Bas et que nos taux se détériorent
ainsi que les CDS (+280% en 4 mois), l’assurance de défaut de remboursement. On
nous ment sur la sécurité en France qui ne cesse de se détériorer. On nous ment
en nous cachant le risque de crise financière mondiale avec une Italie au bord
du gouffre après la Grèce. On nous ment sur la désindustrialisation de la France
et la fuite des cerveaux. On nous ment sur le déficit de la Sécu, par un trafic
entre les différentes caisse de l’Etat. On nous ment sur l’innocuité des
vaccins. On nous ment sur notre rôle de défenseur de la démocratie en Syrie. On
nous ment sur le coût réel de la transition énergétique. On nous ment dans les
promesses des candidats qui ne cherchent qu’à flatter l’électorat en maniant la
carotte et le bâton sans vision d’avenir. Mais on nous ment aussi sur le
caractère et la réalité du réchauffement climatique.
Depuis que les
mesures satellitaires existent, bien malin celui qui peut avec certitude dire
qu’il y a la preuve d’un réchauffement climatique. Regardons l’évolution sur 20
ans. L’examen visuel de l’évolution des températures moyennes ne montre rien de
significatif. Si l’on regarde ce qui s’est produit entre 2012 et 2016, on
trouve une évolution de +0,5°C en 4 ans. Si nous n’avions que ces informations
nous en déduirions qu’en 2028 la température moyenne du globe aurait augmenté
de +2°C, et de +5°C en 2052 ce qui est énorme. Mais en 2009 si nous avions
regardé la période passée de 2002 à 2008 nous aurions constaté une baisse de
0,3°C et nos prévisions auraient été de -3°C en 2068 sachant que l’âge
glaciaire est à –5¨C. Ceci montre la vanité de ceux qui regardent les
variations de température sur de petites tranches de temps, et un siècle est
une petite période en climatologie, en prétendant pouvoir non seulement faire
des prévisions pour un siècle mais en plus y détecter la main de l’homme alors
que la planète a connu des variations très importantes de température quand l’homme
n’existait pas.
Lorsque
la communauté scientifique ne connaît pas suffisamment bien les facteurs
influant sur le climat et l’importance de leurs influences respectives, la
politique n’a pas le droit de s’en emparer et de se nourrir de modèles
mathématiques prévisionnels aussi divergents en se contentant de leur moyenne.
Les modèles n’ont pas représenté correctement les 20 dernières années, on parle
de « hiatus » pour faire patienter les eurosceptiques et ne pas
casser le formatage populaire. On n’a pas le droit d’engager des politiques
économiques sur toute la planète dans une incertitude aussi grande, c’est là qu’il
y a arnaque. Si dans 20 ans on parle d’un hiatus qui se prolonge, on aura
engagé des sommes colossales dans une voie erronée. Pire si le carbone
anthropique joue véritablement un rôle et que nous sommes au contraire dans une
période de refroidissement, comme le prévoient certains climatologues pour
2030, on aura aggravé le problème. Le CO2 étant nécessaire à la vie
végétale, c’est un élément chimique à manier avec précaution. Ce ne serait pas
la première fois, que l’homme croyant bien faire, se piège lui-même.
La
météorologie est une science complexe qui est loin encore de maîtriser son
sujet au-delà de 24 heures et elle n’a fait réellement un pas que depuis la
surveillance satellitaire. Mais la climatologie s’intéresse d’abord à l’explication
de toute l’histoire du climat terrestre aussi loin dans le temps que nous
pouvons le faire. Elle est très loin d’avoir les explications de tout le passé
climatique tant les causes agissantes sont multiples, et l’influence du seul CO2
est bien loin de pouvoir le faire. En dehors du milieu scientifique qui se
garde bien d’affirmer sans émettre des réserves même au sein du groupe
scientifique du GIEC, ce sont les milieux d’affaire qui s’emparent de ce gouvernail
permettant d’agir sur le navire « peuples du monde », comme le gouvernail OMS permet d’agir sur la
santé mondiale. C’est au sein de groupes comme Bilderberg que tout ceci se
joue. On y prend dans les recherches scientifiques ce qui peut être utile à la
maîtrise du monde par quelques centaines de fortunes.
Le
réchauffement climatique est une arnaque parce qu’il étouffe le doute
scientifique, clôt les débats salutaires et traite les voix divergentes par le
mépris qu’elles que soient les notoriétés des contestataires. Ceux-ci sont au banc
des accusés, celui des empêcheurs de tourner en rond. Certains voient leurs
crédits de recherche supprimés, quand ce n’est pas leur poste dans l’univers de
la recherche. Le « Tournez-vous, il
n’y a rien à voir » est caractéristique de ceux qui ne sont pas prêts
à voir surgir une vérité qui dérange leurs plans. C’est la dictature appliquée
à la science dont Galilée fut un exemple. Là aussi ses travaux dérangeaient l’échafaudage
de certitudes dont l’Église nourrissait le peuple.
Nous
sommes devant l’arnaque du siècle dont le plan de transition énergétique est la
conséquence et dont on profite pour tuer le nucléaire qui n’a pourtant aucun
impact sur le CO2. On l’entreprend à coups de milliards (comme
je l’ai montré dans le précédent article) dont une bonne partie est cachée sous
le tapis et va nourrir des lobbies privés par l’implantation des EnR, et le maniement
de la taxe carbone qui devient un marché lucratif en particulier pour Al Gore
qui le gère. On maintient le peuple dans l’illusion que les EnR intermittents
peuvent se passer des centrales thermiques et de polluer l’atmosphère en
brandissant la menace nucléaire qui n’a pas atteint en 50 ans le pays du monde
le plus nucléarisé par habitant. Qui osera dire que le plan de transition
énergétique c’est des centaines de milliards à terme que nous paierons pour rien,
car l’Allemagne a déjà dépassé les 500 milliards ? L’Allemagne est riche
et peut se le permettre, pas nous. Certains le balbutient mais il faut avoir du
courage pour affronter les Maîtres du Monde ou beaucoup d’argent comme Donald
Trump, le seul pourfendeur de la doxa. Malheureusement nous n’avons ni l’un ni
l’autre.
Notre pays ne reverra le jour de la
réussite, de la reconquête,
Que lorsqu’il aura éventé toutes les
désinformations
Dont les politiques et les médias l’abreuvent.
Désormais s’ils vous disent que c’est
blanc
Pensez de suite que c’est donc noir
Vous serez plus proches
De la Vérité !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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