Trump a osé défier les Maîtres du Monde en s’appuyant sur le peuple
américain, celui des profondeurs du pays, les descendants des pionniers qui ont
créé ce que sont les valeurs fondatrices de ce pays. La société industrielle et
bureaucratique qui remplit les mégapoles les méprise et vit sans complexe à
côté des délaissés du libéralisme mondialisé. Fort de cet apui Trump distille un certain nombre de vérités. De même le journaliste italien Giulietto
Chiesa était invité à la célèbre émission talkshow de la télévision italienne
La Gabbia (« La cage » en français – NdT) dimanche 11 janvier, soit le jour
même de la grande manifestation dans les plus grandes villes de France après
les événements tragiques de Paris et dix jours avant l’arrivée de Trump au
pouvoir. Ce que dit ce député dans cette émission où il finit par déclencher
des applaudissements n’est que la confirmation de ce que nous savons déjà, mais
qu’un député européen puisse publiquement lever l’omerta était impensable. Il a
osé au péril peut-être de sa vie.
Et ce n’est pas fini. Nous apprenons du Military Times qu’Obama
a caché à l’opinion mondiale des milliers de frappes aériennes effectuées par
des hélicoptères et des drones américains en Irak, en Syrie et en Afghanistan
depuis 2001. Selon le magazine, rien qu'en 2016 les États-Unis ont fait 456
frappes en Afghanistan qui n'ont pas été enregistrées dans la base de données
ouverte menée par l'Armée de l'air américaine et qui sert de référence au
Congrès, aux analystes, aux alliés des États-Unis et aux chercheurs. Dans l’article
précédent nous avons découvert qu’une responsable de l’ONU confirmait l’aspect
intentionnel de la peur du réchauffement climatique, soi-disant pour changer
notre mode de vie… mon œil ! Les questions sur la sûreté des vaccins ne
pourront être cachées bien longtemps après les déclarations de Trump sur le
vaccin de la grippe malgré la censure du film « Vaxxed, from Cover-Up to
Catastrophe » au festival de Tribeca, au sénat italien et même en séance privée
dans un cinéma de Londres.
Au moment où l’UE va verser 800 millions au gouvernement
libyen, dont le pouvoir est contesté sur une grande partie de la côte libyenne,
pour résoudre le problème des migrants on apprend deux choses. La première est
que le sauvetage du millier d’émigrés est piloté depuis Strasbourg par une
cellule maghrébine en liaison avec Frontex et les « naufragés ». Il
suffit de créer une panne sur les embarcations pour lancer un SOS à Strasbourg sur
un numéro fourni au départ et se faire sauver en tant que clandestins qui ne
pourront être expulsés. La deuxième est que les mafias ont fait des migrants un
marché très lucratif avec le phénomène migratoire massif que l’Europe connaît
depuis 2012. Les migrants qui partent du Moyen-Orient ou d’Afrique pour venir
en Europe passent par des réseaux très structurés, tenus par les mafias, et qui
leur apportent beaucoup d’argent. Certes, le trafic d’être humain est moins
lucratif que le trafic de drogue et la contrefaçon, mais il est moins
dangereux. L’ONG Global Financial Integrity estime ainsi tous les ans le
chiffre d’affaires mondial de la criminalité. Pour 2015, il met le trafic d’êtres
humains et du travail forcé en troisième position dans l’ensemble des trafics
avec un montant de 150 Mds$.
Mais un autre sujet va devenir d’actualité et révéler
l’attitude cachée occidentale et particulièrement américaine, c’est l’imminence
d’une offensive de Kiev sur les républiques du Donbass et de Lougansk. Ces territoires
ont subi de violents tirs de rockets depuis plusieurs jours qui ont fait 20
morts et 60 blessés. Des unités de chars, que l’OSCE n’a même pas remarquées,
se massent sur la ligne de démarcation. On n’entend aucune réaction ni de l’UE,
ni d’aucun chef de gouvernement européen. Qu’est-ce qui motive Porochenko ?
Pourquoi se prépare-t-il à violer le traité de Minsk instituant une trêve,
traité d’ailleurs signé par Merkel, Hollande et Poutine en tant que
responsables de son application. Ne serait-il pas normal que nos deux
dirigeants européens mettent le holà sur ces intentions bellicistes ? En
réalité ces deux-là semblent hors-jeu. L’Ukraine est au bord de la faillite et
l’UE, plongée dans des difficultés internes, ne semble plus pressée de rajouter
de l’argent sur ce pays. En fait Porochenko se tourne vers Trump ou plutôt son
porte-monnaie. Il menace de tout casser si celui-ci ne prend pas langue avec
lui pour le soutenir financièrement. De toute évidence l’affaire de l’Ukraine
ne peut se régler qu’entre Trump et Poutine. Les Etats-Unis, par la CIA, sont à
la naissance de la manifestation de la place Maïdan et pilotent cette affaire
depuis le début au même titre que le drone américain qui vient de survoler la
ligne de partage dans le conflit ukrainien avec un regard sur 300 km de part et
d’autre. Enfin les choses vont devenir claires car Trump et Poutine vont devoir
trouver une solution avant qu’un conflit beaucoup plus grave ne se déclenche. Le
mépris de Trump pour l’UE va nous obliger à laisser faire ces deux leaders car
notre voix n’a aucun poids militaire et dans cette affaire nous ne sommes que
des laquais.
L’attitude dubitative de Trump sur le
réchauffement climatique tranche singulièrement avec les certitudes des
communiqués du GIEC et celles des écologistes anti-nucléaires toujours prompts
à se saisir d’une information pour distiller la peur dans l’opinion. Une
information en provenance du site de Fukushima a immédiatement été exploitée
dans ce sens sans prendre d’autre précaution quant à la réalité du danger. A la
suite de la fonte du cœur de trois réacteurs, dont le n°2, lors de l’accident dû au tsunami le 11 mars 2011,
celui-ci était présumé s’être enfoncé sous forme de corium dans son piédestal. Jusqu’à
présent la réalité de cet enfoncement ne pouvait être affirmée que par des
mesures de radioactivité dans le socle sous la cuve du réacteur de l'unité 2
pour commencer. La première de celles-ci vient d’être réalisée et a donné une
valeur de 530 sieverts/h qui est en fait beaucoup plus basse que ce que l’exploitant
s’attendait à trouver dans la région du piédestal, même tout ce temps après la
fonte du cœur. Comme il s’agit d’une première mesure, il ne peut s’agir d’un
pic de radiation. Évidemment personne ne
peut se trouver à cet endroit où cette radioactivité est mortelle. Il est
important de se rappeler que les lectures de rayonnement précis à l'intérieur
des bâtiments des réacteurs ou dans certaines des zones les plus dangereuses de
l’usine ont été minimes, tachetées ou inexistantes pendant les effondrements et
même des années après. Les communiqués sur un trou découvert dans le réacteur, le
pic mortel de radiation, l’insinuation d’une augmentation de la radioactivité n’ont
donc aucune réalité, si ce n’est de permettre de faire peur pour justifier une
idéologie antinucléaire.
La désinformation est
notre lot quotidien
A laquelle s’emploient
les « merdias »
Sous la pression d’idéologies
Toujours orchestrées
Par ceux qui en…
Tirent profit !
Claude Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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