Pour
examiner l’histoire récente à partir de 2010, il convient de clôturer le
chapitre précédent de l’immigration en cherchant les solutions susceptibles de
rendre ce phénomène supportable. Il ne s’agit pas de jeter les migrants à la
mer comme disent ceux qui veulent stigmatiser tous ceux qui n’acceptent pas le
laxisme de nos gouvernements. La première chose est de redonner sur ce point au
moins, la liberté d’action des nations et le problème des frontières est au
centre du débat. Même si les frontières de l’UE étaient difficilement
franchissables clandestinement, ce qui n’est pas le cas actuellement, elles ne
seraient jamais totalement imperméables. De plus le traitement des immigrés
dans les différents pays ne sera jamais le même si l’UE n’est pas devenue une
union fédérale. Auquel cas la libre circulation permet à ceux-ci de se
concentrer sur tel ou tel pays selon leur choix. D’ailleurs la politique des
quotas ne veut absolument rien dire puisqu’une fois arrivés dans l’espace
Schengen les migrants peuvent aller où ils veulent dans cet espace.
Nous
sommes dans une telle cacophonie migratoire qu’elle ne peut être due au hasard.
C’est bien là le principal problème. L’immigration est encouragée. Si telle n’était
pas la volonté politique, son contrôle s’imposerait de lui-même et pas
seulement à cause du terrorisme. Que dit-on d’un gouvernement qui empêche les
français revenant de Syrie de sortir du pays ? Sinon d’augmenter les
chances que ces individus n’aient qu’une chose en tête, celui de faire un
attentat. Quand ils étaient 40 ou 50 par an, on pouvait espérer les contrôler,
mais à 700 ou 800 aujourd’hui, c’est quasiment impossible. Le fait de voir que
le nombre d’attentats déjoués est en progression n’a rien de rassurant, c’est
normal et les services de renseignement font leur travail. Ce ne sont pas eux
qu’il faut blâmer, mais c’est le Parlement, dont les politiques… que nous avons
élus ! Que dit-on d’un gouvernement qui octroie des permis de séjour à des
clandestins et donne le titre de français par le mariage ou qui fait entrer
dans sa « maison » le petit qu’ils ont enfanté ?
Les élites gouvernementales ne font pas
grand-chose pour protéger la France. Elles ont même couvert l’immigration d’un
manteau de bons sentiments. Ce n’est pas la France qui est protégée mais l’immigration.
La politique qu’ils mènent ne peut mener qu’à l’affrontement de deux communautés
qui sont comme l’huile et le vinaigre, munis d’une non miscibilité générique.
Il faut continuellement œuvrer pour que l’ensemble ne se sépare pas. Plus on
ajoute du vinaigre, plus l’ensemble est difficile à homogénéiser. Plus on
laisse reposer le tout, plus il se sépare. A vouloir mettre en avant l’immigration
et lui donner plus de droits que de devoirs, à vouloir plier notre identité
vers la leur, on engendre l’effet inverse et ce d’autant plus vite que cette
immigration est fortement représentée. Déjà son arrivée dans les rouages ministériels
et politiques, c’est pire en Belgique, laisse pressentir que la partie sera
très difficile. Le nombre de représentants d’une communauté sont sensibles au
nombre d’électeurs qui la représente et les lois de la République sont ensuite sensibles
au nombre de ceux de cette communauté qui les votent ou les proposent.
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On
peut mettre désormais droite et gauche dans le même panier et les accuser de
complicité active dans un grand projet de disparition de la Nation par le
gommage de son identité due au multiculturalisme et par l’immigration de plus
en plus massive grâce à l’ouverture des frontières. Des mesures comme le renvoi
de tout individu formé au djihad en France ou ailleurs, de tout individu
clandestin ou sous carte de séjour se rendant coupables d’actes racistes de
dénigrement du pays d’accueil et d’atteintes physiques sur les citoyens, ne
sont pas prises. Que penser d’un gouvernement qui propose un artiste pour
commémorer nos morts à Verdun après avoir chanté des propos haineux contre
notre pays et les « youpins » qui sont français comme toutes les
autres communautés ? Que penser quand un ministre en rajoute en traitant
de racistes ceux qui s’en émeuvent ? C’est tout simplement de la
provocation ! Ce n’est sûrement pas l’attitude d’un gouvernement courageux
et déterminé à assurer l’apaisement et la sécurité de ce pays. La preuve vient
de nous en être donnée.
Le
nouveau ministre conservateur norvégien,
Erna Solberg, au pouvoir après des années de politique d’immigration ouverte, a
lancé un programme qui expulse les musulmans qui ont des liens avec des groupes
radicaux. Ceci a été étendu à tous les musulmans qui appartiennent à des
mosquées radicales, qui profèrent des menaces ou sont les auteurs de violences
à l’égard des « non-croyants ». 7 100 personnes
ont été expulsées en 2014, plus de 10 fois le nombre sous le précédent
gouvernement. Un grand pourcentage des personnes expulsées en 2014 étaient des demandeurs
d’asile musulmans qui avaient vu leur demande d’asile rejetée. Que croyez-vous
qu’il arriva ? Les crimes violents sont en baisse de plus de 31 % en
moins d’un an depuis le début des expulsions de musulmans du pays !
De toute évidence il n’y a aucune volonté
politique en France pour réguler l’immigration, en faire une immigration
choisie et non subie. Il n’y a pas plus de volonté politique pour mener une
véritable politique d’assimilation à l’identité nationale, sans laquelle la
paix civile sera un jour menacée. L’étendue des zones de non-droit et le reflux
de la population de souche hors des rassemblements communautaires d’une autre
civilisation conduiront à des espaces d’affrontement que les populations de
souche auront de plus en plus de mal à gagner sans recourir aux affrontements
physiques. Ceci ne peut réussir sans cesser de guerroyer en terre musulmane et
se contenter de défendre notre pays mais aussi la civilisation européenne sur
son territoire. Enfin les accords avec les pays migrateurs doivent comporter
des clauses définissant le retour des élites formées chez nous sauf décision au
cas par cas, et nos aides financières doivent être suivies et versées
directement pour les investissements dans des structures visibles et utiles,
lycées, hôpitaux, centrales énergétiques, routes et infrastructures en général.
On peut y ajouter les aides à la formation en général sur place. La notion de
quotas d’immigration n’a pas lieu d’être mais celle-ci doit se faire sur les
qualifications utiles au pays d’accueil.
Il y
a longtemps que Philippe De Villiers a donné les deux principes-clés, à savoir d’une
part n’accueillir que ceux qui peuvent s’épanouir dans notre pays dans l’assimilation
et le travail et rejeter les autres, et d’autre part pratiquer une politique d’aide
ciblée en plein accord avec les pays migrateurs concernés en vue d’encourager
le maintien au pays des jeunes qui veulent s’expatrier, une véritable intention
de faire face à cette invasion du nord par le sud. Sur les deux principes
énoncés, on reconnaîtrait une véritable volonté d’éviter l’éclatement de notre
pays, sa lente décomposition par le massacre de son identité. Ce que nous
vivons et en particulier depuis la crise 2008-2009 montre que rien de cela n’est
mis en œuvre. Nous en reparlerons.
La France s’ouvre à tous vents par
charité, c’est ce que croit le bon peuple
Celui que l’on manipule pour des raisons
machiavélique
Qui le font œuvrer en fait pour son
malheur
Pour sa servitude et sa disparition !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc
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