Le
jour où nous apprenons que la France reste la première destination touristique
du monde avec 83 millions de touristes nous pouvons mesurer l’attractivité de
notre pays. Celle-ci tient à son climat, la variété de ses paysages, la
richesse de son histoire et de sa culture, son excellence dans le domaine des
produits féminins de luxe, de la gastronomie où le vin est particulièrement
prisé. Il faut noter que 83% des visiteurs sont de nationalité européenne. C’est
dire combien on nous envie, en particulier en Europe !
Cette attractivité est en fait le fil rouge de notre histoire commencée avec le sentiment de volonté d’indépendance qu’a représenté Vercingétorix. La France est véritablement née avec Clovis qui a donné la spécificité de la gouvernance de la France basée sur les deux piliers indépendants de la politique et de la religion représentée par le clergé. Toute notre histoire a été d’arracher peu à peu des territoires pour constituer la France autour de son noyau de l’Ile de France.
Car la France a une position géographique incontournable et ce jardin de l’Europe est depuis toujours l’objet de toutes les convoitises c’est-à-dire du monde britannique, plus récemment du monde anglo-saxon, et du monde germanique. Toute notre histoire depuis Philippe Auguste est marquée par cette résistance à la volonté colonialiste de l’Angleterre et à l’extension d’un monde germanique. Sans cette résistance depuis la bataille de Bouvines en passant par la reconquête de Jeanne d’Arc, la France n’existerait plus.
Notre dernier cri d’indépendance a été celui du Général De Gaulle, créant la dissuasion nucléaire, demandant aux soldats américains de quitter notre territoire, refusant de faire acte d’allégeance dans l’OTAN et demandant une Europe non fédérale. Depuis la France se vend ! Prise dans un étau germano-anglo-saxon elle croit que sa survie demande de vendre son indépendance sans que son peuple en soit véritablement informé et conscient, et surtout sans que celui en fasse le choix. N’oublions pas que la première visite de Hollande à l’étranger fut pour… la City à Londres, haut-lieu de la finance anglo-saxonne et que la dynastie britannique est d’origine allemande.
Bientôt la France une et indivisible ne sera plus qu’un agglomérat de provinces, un état croupion sans indépendance financière et sans défense propre. La mise en chantier de l’accord transatlantique de libre-échange est un évènement crucial de la dominance de la France par l’axe germano-anglo-saxon, lui-même aux mains d’une oligarchie financière franc-maçonnique, juive et protestante. L’Europe de Jean Monnet était un premier pas d’intégration de la France dans un ensemble qui doit la dominer. La perte d’indépendance financière avec le contrôle budgétaire imposé par Bruxelles et l’entrée dans l’OTAN qui met nos forces armées sous contrôle des Etats-Unis en sont des symboles. A cela vient s’ajouter le carcan de l’euro qui n’est qu’un euromark et une BCE qui n’est finalement qu’une Bundesbank bis.
Chaque mois on voit la progression de notre perte d’indépendance en particulier dans le domaine économique et structurel. De plus en plus de sacrifices sont demandés aux français par les taxes et impôts, la baisse des prestations sociales, les lois dites de « sécurisation du travail » qui ne vont que mettre un peu plus le salarié à disposition de l’employeur. L’Allemagne des grandes fortunes nous pousse dans ce sens, tout en pompant notre argent par sa puissance exportatrice. Dans ce cercle vicieux de désindustrialisation, on fait croire d’autant plus facilement aux français qu’il faut faire des sacrifices. Mais si nous en sommes là, c’est parce que le carcan de l’euro et de l’austérité qui en découle nous y ont amenés jouant sur notre imprévoyance de gestion !
Sur le plan structurel nous nous trouvons devant une Europe d’inspiration germanique et une volonté de destruction des Etats pour disposer d’une Europe plus malléable avec la bénédiction du monde anglo-saxon, ce monde de l’oligarchie de la City à Londres et des Etats-Unis. L’ensemble des länders allemands ont déjà une puissance financière globale douze ou treize fois supérieure à l’ensemble des régions françaises. L’Europe pousse donc à la régionalisation qui pourrait transformer la France en un ensemble de provinces aux pouvoirs accrus mais individuellement moins forts que les Etats.
La jonction des Bas et Haut-Rhin en Alsace a bien caché son véritable but. La disparition des deux conseils départementaux dans un Conseil Régional alsacien n’était qu’une première étape. Le véritable but est de créer une province transfrontalière puissante avec le Bade Wurtemberg. Pour des raisons de poids inégal entre les deux départements, l’électorat alsacien a voté contre mais ce n’est que partie remise. Poussé par l’Europe le régionalisme progresse et pas seulement en Catalogne. Deux régions françaises n’ont plus une adresse internet se terminant par « .fr », l’Alsace d’abord avec « .eu », suffixe européen, et récemment la Bretagne avec « .breiz », appellation en langue bretonne de cette région.
Mineur me direz-vous, non hautement symbolique. Le duo franco-allemand que nous mettons en avant sous prétexte que nous sommes encore la deuxième puissance économique européenne n’existe pas géopolitiquement parlant. Or c’est la géopolitique qui mène les Etats, qui les fait naître, survivre, croître ou disparaître.
Cette attractivité est en fait le fil rouge de notre histoire commencée avec le sentiment de volonté d’indépendance qu’a représenté Vercingétorix. La France est véritablement née avec Clovis qui a donné la spécificité de la gouvernance de la France basée sur les deux piliers indépendants de la politique et de la religion représentée par le clergé. Toute notre histoire a été d’arracher peu à peu des territoires pour constituer la France autour de son noyau de l’Ile de France.
Car la France a une position géographique incontournable et ce jardin de l’Europe est depuis toujours l’objet de toutes les convoitises c’est-à-dire du monde britannique, plus récemment du monde anglo-saxon, et du monde germanique. Toute notre histoire depuis Philippe Auguste est marquée par cette résistance à la volonté colonialiste de l’Angleterre et à l’extension d’un monde germanique. Sans cette résistance depuis la bataille de Bouvines en passant par la reconquête de Jeanne d’Arc, la France n’existerait plus.
Notre dernier cri d’indépendance a été celui du Général De Gaulle, créant la dissuasion nucléaire, demandant aux soldats américains de quitter notre territoire, refusant de faire acte d’allégeance dans l’OTAN et demandant une Europe non fédérale. Depuis la France se vend ! Prise dans un étau germano-anglo-saxon elle croit que sa survie demande de vendre son indépendance sans que son peuple en soit véritablement informé et conscient, et surtout sans que celui en fasse le choix. N’oublions pas que la première visite de Hollande à l’étranger fut pour… la City à Londres, haut-lieu de la finance anglo-saxonne et que la dynastie britannique est d’origine allemande.
Bientôt la France une et indivisible ne sera plus qu’un agglomérat de provinces, un état croupion sans indépendance financière et sans défense propre. La mise en chantier de l’accord transatlantique de libre-échange est un évènement crucial de la dominance de la France par l’axe germano-anglo-saxon, lui-même aux mains d’une oligarchie financière franc-maçonnique, juive et protestante. L’Europe de Jean Monnet était un premier pas d’intégration de la France dans un ensemble qui doit la dominer. La perte d’indépendance financière avec le contrôle budgétaire imposé par Bruxelles et l’entrée dans l’OTAN qui met nos forces armées sous contrôle des Etats-Unis en sont des symboles. A cela vient s’ajouter le carcan de l’euro qui n’est qu’un euromark et une BCE qui n’est finalement qu’une Bundesbank bis.
Chaque mois on voit la progression de notre perte d’indépendance en particulier dans le domaine économique et structurel. De plus en plus de sacrifices sont demandés aux français par les taxes et impôts, la baisse des prestations sociales, les lois dites de « sécurisation du travail » qui ne vont que mettre un peu plus le salarié à disposition de l’employeur. L’Allemagne des grandes fortunes nous pousse dans ce sens, tout en pompant notre argent par sa puissance exportatrice. Dans ce cercle vicieux de désindustrialisation, on fait croire d’autant plus facilement aux français qu’il faut faire des sacrifices. Mais si nous en sommes là, c’est parce que le carcan de l’euro et de l’austérité qui en découle nous y ont amenés jouant sur notre imprévoyance de gestion !
Sur le plan structurel nous nous trouvons devant une Europe d’inspiration germanique et une volonté de destruction des Etats pour disposer d’une Europe plus malléable avec la bénédiction du monde anglo-saxon, ce monde de l’oligarchie de la City à Londres et des Etats-Unis. L’ensemble des länders allemands ont déjà une puissance financière globale douze ou treize fois supérieure à l’ensemble des régions françaises. L’Europe pousse donc à la régionalisation qui pourrait transformer la France en un ensemble de provinces aux pouvoirs accrus mais individuellement moins forts que les Etats.
La jonction des Bas et Haut-Rhin en Alsace a bien caché son véritable but. La disparition des deux conseils départementaux dans un Conseil Régional alsacien n’était qu’une première étape. Le véritable but est de créer une province transfrontalière puissante avec le Bade Wurtemberg. Pour des raisons de poids inégal entre les deux départements, l’électorat alsacien a voté contre mais ce n’est que partie remise. Poussé par l’Europe le régionalisme progresse et pas seulement en Catalogne. Deux régions françaises n’ont plus une adresse internet se terminant par « .fr », l’Alsace d’abord avec « .eu », suffixe européen, et récemment la Bretagne avec « .breiz », appellation en langue bretonne de cette région.
Mineur me direz-vous, non hautement symbolique. Le duo franco-allemand que nous mettons en avant sous prétexte que nous sommes encore la deuxième puissance économique européenne n’existe pas géopolitiquement parlant. Or c’est la géopolitique qui mène les Etats, qui les fait naître, survivre, croître ou disparaître.
La géopolitique germano-anglo-saxonne, qui a
dominé toute l’histoire de notre pays depuis 1600 ans, est la domination ou l’occupation
ou l’intégration de la France dans un ensemble plus vaste où elle se dissoudra.
L’Europe, la régionalisation, l’euro, le contrôle budgétaire et bancaire, la
BCE aux bottes de l’Allemagne, le traité de libre-échange ne sont que des
étapes successives pour parvenir au but final : la disparition de la France
et de son incroyable résistance identitaire !
Le projet de créer un bloc transatlantique sous la coupe américaine et de la City avec l’Allemagne, en puissance européenne dominatrice et déléguée, pour faire bloc à la Chine et au danger asiatique dans son ensemble, ne doit pas se faire en phagocytant la France et ce pour des puissances de l’argent profondément méprisantes des masses populaires et de leurs identités. Résister c’est d’abord comprendre que le Nouvel Ordre Mondial est un bulldozer en marche qui enrichit ceux qui le servent et détruit ceux qui le combattent.
Claude Trouvé
Coordinateur MPF du Languedoc-Roussillon
Le projet de créer un bloc transatlantique sous la coupe américaine et de la City avec l’Allemagne, en puissance européenne dominatrice et déléguée, pour faire bloc à la Chine et au danger asiatique dans son ensemble, ne doit pas se faire en phagocytant la France et ce pour des puissances de l’argent profondément méprisantes des masses populaires et de leurs identités. Résister c’est d’abord comprendre que le Nouvel Ordre Mondial est un bulldozer en marche qui enrichit ceux qui le servent et détruit ceux qui le combattent.
Le monde de l’oligarchie
franc-maçonnique, juive et protestante,
N’a jamais été aussi proche du but qu’elle
s’est fixé
Avec la veulerie et la complicité de nos
dirigeants
La vassalisation et l’exploitation des
français !
Claude Trouvé
Coordinateur MPF du Languedoc-Roussillon
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