On
peut voir ce que l’on veut derrière ce NOM, et certains y mettent aussi bien
une ouverture sur un nouveau monde de paix et de prospérité qu’un engrenage
fatal aux peuples pour le plus grand bien d’une « élite mondiale »
que réunit entre eux la puissance financière, élite que l’on peut qualifier d’oligarchie
ploutocrate. Ce n’est que récemment que les médias ont commencé à révéler que
de grandes décisions sur l’avenir mondial, en tous cas celui des pays
occidentaux, se prenaient dans des sociétés fermées qui gardent le secret de
leurs délibérations. Les Bilderberg, Trilatérale et CFR, réunissent toutes les
personnalités ayant ou pouvant avoir un impact sur ce monde sur un plan
politique, économique ou financier. Les cordons de ces sociétés d’influence
sont tenus par les plus grandes familles, sociétés et individus du monde occidental
dans lesquels on retrouve les Rothschild, Rockefeller, Morgan, Goldman Sachs,
Bill Gates,… les familles royales d’Angleterre et des Pays-Bas, etc.
Si
cette information commence à filtrer dans les esprits des citoyens qui s’informent,
nous sommes par nature réticents à admettre que nous ne disposons pas de notre
libre-arbitre et de cette liberté à laquelle nous tenons tant. Pour nous
persuader que ceux-ci ne peuvent nous être arrachés, nous refusons d’adhérer à
l’idée qu’une oligarchie mondiale puisse réellement gouverner le monde à sa
guise en nous référant à l’histoire des empires qui ont tous finalement échoué.
Nous oublions bien sûr les échelles de temps, des millénaires pour l’Égypte,
des centaines d’années pour Rome, le siècle pour l’Empire soviétique. Nous oublions
aussi que les moyens de communication, donc d’influence, sont sans aucune
mesure d’efficacité avec les temps anciens de Charlemagne et de Gutenberg. On
ne cesse de vous parler des dangers mondiaux qui nous installent dans un espace
de peur. Le climat va nous griller ou nous noyer. Les épidémies menacent en
permanence l’humanité. Sans globalisation de l’économie, sans libéralisation
des frontières, sans libre circulation des capitaux et des hommes avec son
corolaire d’acceptation du multiculturalisme, les peuples sont dits condamnés à
la pauvreté et à la haine.
On nous
fait passer l’idée que la globalisation est la promesse de la paix du monde… on
voit ce qu’il en est. Parmi les chantres de cet avenir d’un gouvernement
mondial, le plus zélé, le meilleur communicant et le plus intelligent sans
doute, est Jacques Attali. On ne s’étonnera pas de le voir installer Emmanuel
Macron en position d’outsider pour la présidentielle après l’avoir sorti… de la
Banque Rothschild. Jacques Attali a l’air de proposer des mesures concrètes, de
bon sens, souvent piochées dans les discours de salons ou de cafés. C’est le
contenu de son livre « 100 jours pour sauver la France ». C’est sa
manière de se faire accepter avec les idées, qui sont celles de l’homme de la
rue ou facilement acceptées, pour pouvoir instiller ensuite à petite dose les
idées d’un monde nouveau où l’on traite les grands problèmes au niveau mondial.
Climat, santé, économie sont les sujets phares qui lui permettent de justifier
ce point de vue, celui du NOM et de ses puissants acteurs.
Quand
on a la puissance de l’argent et que l’on s’ingénie à la faire croître jusqu’à
une puissance supérieure à la plupart des Etats, comment peut-on imaginer que l’on
puisse alors ne penser qu’au bien de l’humanité ? Comment peut-on imaginer
que l’on ne se pose pas la question de l’utilité de l’homme sur terre ?
Enfin de la plupart des hommes ! Comment ne pas penser que l’homme n’est
utile que s’il produit ? Comment ne pas penser que plus il produira plus
on peut en diminuer le nombre, puisque l’homme est nuisible à son avenir. L’homme
sans travail et pauvre est plus sensible aux épidémies et à leur propagation. L’homme
pollue par ses loisirs, ses transports, sa consommation d’énergie et de
nourriture. Il est même nuisible quand il respire expulsant du CO2
favorisant le réchauffement climatique. C’est d’ailleurs ce qu’expose Bill
Gates en montrant, formule mathématique à l’appui, que l’apport anthropique du
CO2 tend vers zéro avec une population nulle… évident me direz-vous par
définition même. Mais il montre ainsi que le paramètre sur lequel il est le
plus efficace d’agir c’est la réduction de la population mondiale.
Comment y parvenir ?
C’est la question que se posent les puissants qui comptent s’enrichir le plus
possible avec le moins de monde possible, et seulement ceux attelés au travail
dans la meilleure productivité possible. Il faut réaliser d'abord la fin de
toute manifestation de rébellion. L’endoctrinement depuis le plus jeune âge, la
restriction des libertés individuelles et collectives et l’augmentation de la
présence policière et militaire sont des conditions nécessaires. Pour l’endoctrinement
nous voyons par exemple que l’école veut prendre les enfants de plus en plus
jeunes et que l’on y insère de nouveaux enseignements comme la théorie du
genre, l’apprentissage du discernement. Toutes choses dont l’utilité est plus
que contestable chacun sait que c’est par la culture générale qu’on acquiert la
faculté d’analyse et de synthèse, donc le discernement. Il n’est nul besoin d’un
enseignement spécial si le but n’est pas en fait l’endoctrinement sur ce que l’on
veut introduire dans l’esprit des enfants. Le réchauffement climatique en fait
partie ainsi que la nécessité de suivre aveuglément les directives de l’OMS. On
a vu ce que cela voulait dire avec la grippe aviaire. N’oublions pas les
attentats, judicieusement espacés à des moments clés après des exercices de sauvetage providentiels, générateurs de
peur et de soumission aux restrictions de liberté pour raison de sécurité.
Ensuite
on peut procéder à la diminution des populations et en particulier de celles
peu productives. Les guerres, les épidémies sont efficaces. La guerre se répand
partout. On sait que l’origine du virus Ebola est sorti de laboratoires secrets
en Sierra Leone, volontairement ou non. La production de vaccins ne cesse de
croître en dépit d’une certaine méfiance chez nous. On sait déjà que certains d’entre
eux sont porteurs d’effets volontairement nuisibles et tuent, et que certaines
substances n’ont aucune raison d’y être sauf dans un autre but. On peut s’étonner
que Bill Gates, prônant la diminution de l’humanité, ait pris des
participations importantes dans la fabrication des vaccins ! Les épandages
de produits sur nos terres par les pesticides et les engrais de Monsanto, sont
en train de stériliser nos terres. On y ajoute les épandages « chemtrails »
par voie aérienne sans que les populations ne sachent ni le but recherché ni
les produits répandus. Je ferai bientôt l’inventaire de tout ce qui existe et
qui se trame pour dominer les peuples et la science permet des choses inouïes
comme les puces de la grosseur d’un grain de riz qui permettent d’inoculer des
fragments d’ADN qui viennent se greffer sur le nôtre et qui modifient l’individu
dans le bon ou le mauvais sens, etc. etc.
L’important
est d’identifier la menace car elle est omniprésente et persistante jusqu’au
but final. Par exemple il se peut que l’UE, faisant partie de la construction
de grands blocs assujettis qu’il suffira d’agglomérer entre eux dans le même
but d’assujettissement, explose car la submersion de l’immigration déclenche un
mouvement de recul d’un certain nombre de peuples européens. Ceci ne veut pas
dire que la situation va en rester là. Ces puissances agiront par l’appauvrissement
des récalcitrants et un nouveau couvercle verra le jour. Il appartient aux
peuples d’Europe et d’ailleurs d’identifier la menace rapidement avant de
perdre la notion du danger et la force de s’y opposer. Après ils ne seront
peut-être plus maîtres de leur cerveau et de leur identité car le NOM avance
masqué mais descend le masque au fur et à mesure que son discours rendre dans
nos esprits. Jacques Attali le fait à merveille et applique le fameux proverbe
chinois : « Quand le doigt
montre la lune, l’idiot regarde le doigt ». Le Nouvel Ordre Mondial, rebaptisé
"Nouvelle Gouvernance Mondiale", avance ses pions à une allure
vertigineuse vers un monde unisexe, à religion, pensée et langue uniques, avec son
idéologie unique toujours plus technocrate, concentrée, bureaucratique,
libérale, atlantiste, néo-sioniste, au seul service des intérêts des gangsters
de la Finance. Et je suis sûr que la plupart des citoyens ne s'en rend même pas
compte !
Il n’a jamais été aussi vital de
regarder le monde
Avec l’œil du lynx pour percer les
pièges
Car les meilleures intentions cachent
D’autant mieux leur malveillance
Qu’elles nous paraissent
Très souhaitables !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire