Il n’est
jamais facile d’aborder un sujet où l’information officielle reste muette au
mieux, ou lance « circulez, il n’y a rien à voir », ou pire vous
traite de farfelus, de conspirationnistes et d’illuminés. La population est alors
maintenue dans un climat de méfiance et refuse plus ou moins consciemment d’en
savoir plus. Si les « chemtrails » méritent que nous y prêtions
attention c’est qu’ils deviennent de plus en plus nombreux depuis 2002 en France,
à tel point que les traînées persistantes derrière les avions deviennent un
phénomène normal qui nous fait oublier qu’elles n’existaient pas auparavant
sous cette forme. Il s’agissait toujours de traînées légères, visibles pendant
quelques minutes au plus et de nombreux avions n’émettaient même rien certains
jours. Ce n’est plus toujours le cas aujourd’hui. En fait il devient notoire qu’aux
« contrails » s’adjoignent de plus en plus les « chemtrails ».
Ces derniers sont des épandages clandestins de produits toxiques, ce qui parle
beaucoup mieux que « traînées chimiques » qui en est la simple traduction
française. On apprend vite à les distinguer par leur forme, leur persistance et
la manière dont ils évoluent.
Comme
tout individu de formation littéraire et scientifique, il ne me vient pas à l’idée
de céder à n’importe quelle constatation scientifique même si elle est
officielle. C’est d’ailleurs ce qui alimente mon « climato-réalisme »
sur les changements climatiques. Mais le fait que l’information officielle et
ses organismes subventionnés refusent d’en débattre avec des spécialistes, disposant
d’études scientifiques et de constats oculaires sur l’ensemble du territoire, est
au contraire une raison de penser que ce sujet se doit d’être approfondi et qu’il
doit y avoir du secret militaire là-dessous. Ce constat est valable dans tous
les pays d’Europe et aux États-Unis, disons dans tous les pays appartenant à l’OTAN.
Toutes les équipes sérieuses qui travaillent sur ce sujet se heurtent aux mêmes
difficultés pour avoir une participation des organismes officiels sur l’étude
des épandages constatés dans des analyses dans l’air, dans les traînées et sur
les sols. Deux députés européens, une allemande et le néerlandais Eric Mejer le
10/05/07, ont posé une demande d’examen à la Commission de l’Environnement à
Bruxelles :
« Étant donné que ces traînées chimiques
[chemtrails], contrairement aux traînes de condensation [contrails], ne constituent
pas un sous-produit inévitable du trafic aérien actuel, la Commission
connaît-elle la finalité de la diffusion planétaire artificielle de ces
substances d’origine terrestre ? » La réponse de la Commission
est la suivante : « Aucunes
substances auxquelles il est fait allusion n’est dangereuse en soi, mais
certains effets sur l’environnement et la santé publique ne peuvent être
écartés si des relâchements à grande échelle se produisaient. Comme indiqué
ci-dessus la Commission n’a connaissance d’aucune preuve suggérant qu’il y a
des raisons d’agir. » Cette réponse est particulièrement intéressante
car elle reconnaît implicitement la réalité de l’existence de ces épandages
chimiques artificiels et la nocivité en cas d’usage intensif, ce qui devient le
cas. Le fait qu’il n’y a pas lieu d’agir est dans le droit fil de la nécessaire
prudence sur des sujets pouvant toucher au domaine militaire.
Pourtant
les faits d’épandages aériens de substances sont désormais si nombreux sur l’ensemble
des territoires de l’OTAN qu’ils ne peuvent plus être ignorés. Je reprends donc
la liste de ces substances que révèlent des analyses des prélèvements car deux
métaux, parmi d’autres, s’y trouvent en grande quantité.
Le
Baryum. Les sels solubles de baryum, métal de la terre, sont toxiques dans le
système des mammifères. Ils sont absorbés rapidement par le système intestinal
et sont déposés dans les muscles, les poumons et les os. Aucune donnée de cas n’est
donnée par la communauté médicale sur les effets à long terme du baryum dans le
corps humain. Les programmes sont secrets parce que l’EPA, l’Environnement
Protection Agency, annonce que les agences environnementales qualifiées ne
doivent pas savoir que ces sous-produits des métaboliques agents biologiques
sont nocifs et illégaux à travers le pays. C’est la raison pour laquelle ce
projet a été gardé secret. Ces sels liquides sont facilement intégrables en
additifs dans les carburants d’aviation.
L’Aluminium.
Il est présent sous forme hydroxyde dans les vaccins et directement responsable
de la myofasciite à macrophages
(MFM), c’est-à-dire une atteinte musculaire extrêmement grave qui vous paralyse,
vous rend la vie très difficile, voire handicapée. Grandement utilisés comme
réflecteurs, conducteurs et absorbeurs d’humidité, ils font partie des particules
retrouvées en grand nombre dans les retombées des chemtrails. Le triméthylaluminium,
métal sous forme liquide presque incolore à température ambiante en produisant
une fumée blanche (particules d'oxyde d'aluminium), est utilisable dans les
carburants comme additif spécial avec des sels de baryum, d’aluminium, de
cuivre, de Titane, de Lithium, de carbonate de calcium, qui n’est pas un métal,
mais sert à rendre stérile les sols, et même de Plutonium et de Cadmium.
On
peut ajouter des dérivés chimiques bromiques (en agriculture le bromure de
méthyle est peu à peu remplacé à cause de la toxicité et des mesures de
précaution que son utilisation engendrait), les mycoplasmes (petite bactérie
qui se reproduit en dehors des cellules, l’espèce Mycoplasma pneumoniae est
responsable d'infections respiratoires) et les substances virologiques. Tout ce
beau monde, un jour ou l’autre se déverse sur nos têtes, nos sols, nos eaux
sans notre consentement bien sûr. L’épandage n’épargne personne, ni nous-mêmes
ni notre environnement végétal et animal. Nous les retrouvons donc plus ou
moins dans ce que nous buvons et nous mangeons. Des prélèvements effectués dans
3 parcs parisiens ont montré des concentrations de Barium et d’Aluminium très
au-dessus de la normale mais Air Paris n’analyse toujours pas ces métaux dans
ses prélèvements d’air.
Il y
a de quoi se poser des questions. Qui peut affirmer que le déversement de plus
en plus fréquents de ces substances est sans effet sur la santé ? Dans
quel but sont faits ces épandages clandestins puisque tout le monde officiel semble
vouloir les ignorer ou presque ? Le quadrillage de nos ciels, certains
jours, et partout en France aussi bien à Paris qu’au-dessus du Plomb du Cantal,
ne peut être que le fait d’avions militaires ou travaillant pour eux. Ces
avions ne sont d’ailleurs pas répertoriés sur les sites de suivi des avions.
Par ailleurs il apparaît que des épandages ont aussi lieu dans la zone d’altitude
réservée aux compagnies aériennes civiles entre 8.000 et 10.000m. Le tout fait
que nous devenons la cible d’épandages permanents.
Il y
a de quoi se poser la question de l’inertie des mouvements écologistes (que
veut dire cultiver bio dans ces conditions ?) et de l’autisme des
politiques, désormais plongés dans leurs ambitions de campagne présidentielle. Mais
il y a encore un autre type d’épandage qui pose une interrogation encore plus
grave et plus complexe et nous en parlerons dans un prochain article.
Quand le ciel devient artificiel sans
raison convaincante donnée
Il y a du militaire et de la
désinformation dans l’air !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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