L’immigration n’est plus une nécessité économique comme on aime à nous en
rabattre les oreilles. Le taux de chômage qui ne descend guère au-dessous de
10% est là pour nous le rappeler depuis trente ans. Par contre elle pose des
problèmes socioculturels évidents. L’intégration des populations étrangères,
particulièrement celles venant du Maghreb, n’est pas en train de se réaliser en
particulier chez les jeunes immigrés ou enfants d’immigrés. Les cultures
judéo-chrétiennes et musulmanes sont difficilement miscibles comme le disait,
en son temps, le Général De Gaulle.
« Si les musulmans sont des humains comme les autres, ils ont
tendance à partir des valeurs et des aspirations qui leur sont propres et non
de celles des autres ».
C’est pourquoi un choc des cultures est à prévoir au fur et à mesure que
leur nombre augmente en Europe sans parler des pays où les chrétiens sont
minoritaires. Il est nécessaire de montrer les faits de « racisme » d’une culture importée qui présagent une
multiplication de ceux-ci.
Non, cela ne s’est pas passé en Palestine, en Judée,
Samarie ou en Egypte.
"C’est à Nîmes, dans le Gard, département français, que des
musulmans ont attaqué, à jets de pierre, des chrétiens. Ce n’est pas un
fait banal. C’est un pas de plus dans l’intolérance des musulmans à l’égard des
autres religions pratiquées en France. On ne compte plus les nombreuses
agressions contre les juifs et les chrétiens, contre les synagogues et les
églises catholiques, parce qu’elles ne font plus la une des journaux de
France. Plus grave, encore, il semblerait que le silence des media, sur
ces faits de plus en plus fréquents, soit une manière d’exonérer, voire de
protéger, les musulmans de leurs actes racistes et
antireligieux. Devrons-nous attendre de subir des émeutes meurtrières
comme elles font, aujourd’hui, l’actualité en Égypte pour que les Français
prennent conscience du danger qui menace les fidèles non-musulmans ? La
communauté catholique des rapatriés d’Oran en a fait les frais ces jours
derniers à Nîmes. La réunion annuelle des anciens de la Joyeuse Union Don
Bosco se déroule à Nîmes, au Sanctuaire de la vierge Notre Dame de Santa Cruz,
bâti par les rapatriés d’Oran. Après une journée de
recueillement et de retrouvailles, vers 19 heures, alors que les participants
repartaient dans les autocars et véhicules particuliers, «les jeunes
immigrés, arabes» de la cité, se mirent à lancer des pierres
sur les véhicules qui descendaient du sanctuaire. La police municipale
dont le poste est situé dans ce quartier a été immédiatement prévenue et les
organisateurs de cette réunion ont dû mettre en place une déviation vers un
autre itinéraire pour protéger des attaques sauvages les occupants des
véhicules qui continuaient de partir. La Joyeuse Union Don Bosco et
l’Amicale des Amis de Notre Dame de Santa Cruz ont saisi le Préfet de Région
pour lui signaler ces actes racistes et antireligieux dont ils ont fait
l’objet. Quant à la presse, hormis un entrefilet honnête paru dans « la Provence »,
aucune mention n’a été faite des attaques "intifadiennes "
(guerre des pierres) qui ont eu lieu à Nîmes contre la communauté religieuse
chrétienne. Nous vous tiendrons informés des suites données par les
autorités de la région si celles-ci répondent."
Sans fécondité incitée
des « autochtones »
Sans intégration des immigrés et arrêt
du flux migratoire
La paix et la prospérité de
l’Europe ne pourront exister !
Claude Trouvé