Un personnage médiatique
reflète parfaitement le processus d’islamisation de la France, Tarik Ramadan.
Cet apatride, égyptien, britannique et suisse, et qui voudrait en plus devenir
français, ce que légalement on ne peut pas lui refuser, et c’est cela le plus
scandaleux, parce que sa femme et ses enfants le sont. Cet homme se permet tout
et accuse la France, enfin le manque d’empathie pour les musulmans, en fait
pour l’islam, et poste sur Facebook « France, on touche le fond… ».
Comment peut-on avoir l’impudence de traiter ainsi notre nation alors que l’on
demande la nationalité française et que l’on n’a pas un mot pour les victimes
des attentats. Cet homme , à l’égo surdimensionné, développe un complexe
de supériorité de la civilisation musulmane. Il nous toise avec l’affirmation
de comprendre l’Orient un peu mieux que les Occidentaux et l’Occident un peu
mieux que les Orientaux ne le comprennent.
Cet homme,
qui se dit faire partie de la « race des seigneurs », vient nous
faire la leçon. Il nous dénie toute vertu et toute grandeur d’âme. Mais il a le
discours machiavélique de celui qui pousse une idéologie sans compassion, l’islamisation.
Il y réussit d’autant mieux qu’il manipule sans mal des auditeurs ignorants par
sa tchatche et sa soi-disant érudition.
Celle-ci ne résiste d’ailleurs pas à Abdelwahab Meddeb, musulman comme lui
mais malheureusement disparu, théologien sans doute plus que lui, et autrement
mieux armé pour combattre sa démagogie et, surtout, mettre à bas sa bien
tortueuse rhétorique. Cet homme est diablement dangereux et sa demande de
naturalisation n’est pas étrangère aux élections françaises. Avec 4,45 millions
d’électeurs potentiels, les musulmans de France, qui font déjà la loi dans de
très nombreuses villes, peuvent représenter jusqu’à 12,5% des électeurs de la
prochaine présidentielle.
Mais ce roi
du double langage et cet artiste de la taqiya, qui attise la haine contre l’occident
dans les pays musulmans et présente un visage d’intellectuel d’une civilisation
tenue pour supérieure dans ses interventions en Occident, ne fait qu’alimenter
une opposition de deux civilisations. La bagarre sur la plage de Sisco en Corse est très
représentative de cette montée de ce qui peut tourner à la guerre civile. Une
femme occidentale s’y baigne seins nus, une femme musulmane se baigne toute
habillée, c’est l’opposition de deux modes de vie, de deux cultures dont l’une
est dictée par la religion et s’offusque d’une telle tenue jugée impudique et inacceptable.
Des touristes photographient, des jeunes
du pays aussi. C’est le comble de l’offense pour cette religion où les hommes
supportent mal que l’on photographie leurs femmes sans leur consentement. C’est
l’opposition entre deux civilisations qui ne se comprennent pas. Le fait est
localisé, sans grand dégâts corporels, mais tellement révélateur de l’incompatibilité
de deux civilisations.
Plus cette
religion sera présente en Europe et particulièrement en France, où elle est
arrivée depuis longtemps, plus pour les musulmans le sentiment du bien-fondé de
respect de la religion sera conforté et plus l’écart entre les deux
civilisations se creusera. Le débat sur le burkini en est un autre exemple. A
partir d’une mode venue d’Australie, les musulmans ont adopté cette tenue en
signe d’affirmation de leurs différences. Les français sentent la provocation
mais les avis sont partagés entre un laisser-aller qui pense que cela ne mérite
pas l’interdiction et une attitude inquiète de la montée des signes de provocation
aboutissant à condamner. Qui a tort, qui a raison ? La condamnation
apparait comme une attitude exacerbée, outrancière voire ridicule et déplacée,
que certaines presses étrangères ridiculisent. Pourtant il s’agit d’un « accommodement
de plus », comme celui des horaires de piscine réservés aux femmes et les arrêts de travail pour la prière. Vu d'Algérie, burka et burkini sont des provocations
inutiles en France. De
toute évidence la pression musulmane se fera de plus en plus forte pour que nos
mœurs, nos us et coutumes, et nos lois prennent en compte ce que certains osent
encore appeler la « diversité ».
Nul doute
que les plus enclins à affirmer leur volonté de respect de leur religion, de
leur culture, entraîneront les autres, petit à petit, et la jeunesse de
troisième génération se radicalise de plus en plus dans les ghettos. Quelle
aberration est cette idée politique de chercher à disperser ces populations
musulmanes dans l’ensemble urbain ! Les coloniaux dans des pays musulmans
savent combien le rassemblement entre eux est nécessaire pour se rassurer, se
motiver et supporter mieux le bain d’une culture si différente de la nôtre. La
dispersion ne peut créer que des conflits et un besoin de nouveau regroupement.
La seule solution est de livrer bataille derrière la laïcité pour assimiler
cette population. Il n’y a pas d’accommodement possible. Si l’on cède, c’est
comme avec l’enfant. Un jour il demande un bonbon, puis un cadeau, puis un
vélo, puis une auto, sans raison autre que son caprice et le désir d’imposer sa
volonté. L’autorité des parents baisse pavillon, c’est ce que l’État fait par
couardise, par calcul politique, ou par ordre de la ploutocratie mondiale.
L’assimilation,
véritable engagement politique, n’est plus dans les discours des politiques.
Juge-t-il que c’est impossible aujourd’hui ? Ils ne le disent pas, mais
remplacer « assimilation » par « intégration », notion plus restrictive, c’est avouer
l’échec de la politique menée depuis quarante ans par la pensée unique gauche-droite.
Bien au contraire la Ministre de l’Éducation Nationale, représentante de la « culture
musulmane », un euphémisme pour dire l’Islam, auprès du roi du Maroc, met
tout en place pour que l’enseignement français s’islamise lentement mais
sûrement en déstructurant celui-ci, en sapant les bases de notre culture avec l’option
facultative de l’enseignement de l’époque des Lumières, en introduisant l’arabe
dès le plus jeune âge. Tout cela se fait avec le consentement du Premier
Ministre et le désintérêt du Président de la République qui ne pense qu’à sa
réélection.
Dans le
précédent article j’ai montré par le témoignage d’un gardien de prison que la
haine était un vecteur de cohésion dans le milieu carcéral. Ce sont ces hommes
souvent jeunes, dont les peines sont de plus en plus courtes, qui sont le
ferment d’une division de la France. On parle de racisme contre les musulmans
et les juifs, mais on ne parle pas de racisme anti-blanc, anti civilisation
occidentale. Pourtant cela existe clairement mais ce n’est pas jugé avec la
même connotation négative car il y a toujours des excuses pour une population « en
milieu défavorisé » ! Il faut s’accommoder du terrorisme qui s’implante
durablement dans notre pays au sein d’une communauté musulmane adepte ou
apeurée. A l’extérieur on fait semblant de faire la guerre mais on joue le jeu
des américains qui se servent du djihadisme. A l’intérieur on crée une
Fondation pour l'Islam de France, relais de l’État, envers la communauté musulmane. Le Conseil
Français du Culte Musulman, incapable de la moindre action contre le terrorisme
auprès des bailleurs de fond des pays du Golfe, incapable de faire des actions
concrètes pour prendre en main le problème des imams qui répandent la haine de
l’Occident, ne va que demander de nouveaux « accommodements », en
particulier à la loi de 1905. Celle-ci vient déjà d’être remise en cause chez
certains politiques français dont le Premier Ministre !
L’Islam pratique l’invasion de
peuplement, celle des petits pas,
Celle de l’endormissement de nos
réflexes de défense
Par les bonnes intentions affichées
en permanence,
Par les beaux discours de leurs
intellectuels,
Par la pratique autorisée par le
Coran,
De la taqiya et du terrorisme !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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