Après les déclarations assimilables à du renoncement
de la part des autorités religieuses et politiques, après le discours de
victimisation des représentants français du culte musulman avec le « padamalgam »,
un rappel historique devrait nous mobiliser comme le furent les mérovingiens et
les capétiens alors que les musulmans envahissaient notre pays. L’Islam de France
est une tromperie de plus, si cela était possible ce serait un schisme dont on
sait qu’il dégénère en une guerre fratricide entre sunnites et chiites. Il y a
l’Islam un point c’est tout avec des musulmans qui suivent plus ou moins les
préceptes du Coran, façon sunnite ou façon chiite. Il n’y a pas les « modérés »
et les autres, salafistes ou non. Il y a une civilisation dans laquelle la
religion est au centre de tout, le Dar al-Islam, qui a ses fidèles enclins à
vivre en paix mais ne se soumettant qu’à Allah et des combattants prêts aux
pires actes guerriers au nom de celui-ci, ceux du domaine du Dar al-Harb, les
djihadistes. Les premiers ne peuvent être insensibles ni aux morts musulmans
tués par l’occident ni aux attentats perpétrés par le djihadisme dans le monde
et en particulier en France, attentats qu’ils approuvent ou qu’ils craignent. C’est
sur eux que le Dar al-Harb met la pression de la peur dès qu’il est présent
parmi eux, et ces derniers deviennent des auxiliaires apeurés des « loups plus
ou moins solitaires ». C’est ce que nous vivons aujourd’hui.
Depuis 1830 jusqu’à la fin de la deuxième guerre
mondiale, la civilisation musulmane s’est trouvée en recul d’influence mais pas
en nombre. Le niveau de vie des populations musulmanes s’est écarté de plus en
plus de celui de l’occident avec une pauvreté endémique mis à part une caste d’émirs
et de princes. Le besoin de main-d’œuvre pour la reconstruction et le
redémarrage de l’économie française ainsi que l’exploitation intensifiée des
richesses pétrolières du Moyen-Orient ont complètement changé la donne. L’immigration
d’origine principalement maghrébine a apporté un nombre de musulmans que le
regroupement familial a implanté en France. Par ailleurs les pays du Golfe ont
accumulé des richesses et un pouvoir de pression géopolitique qui a engendré la
crise pétrolière de 1973. L’Islam avait les armes de sa renaissance après une
extinction de ses ambitions d’expansion de plus d’un siècle. C’est une courte
accalmie au regard de plus d’un millénaire d’exactions sur l’Europe comme nous
le décrit un article dont j’ignore l’auteur mais dont on peut vérifier la
véracité de son rappel historique. Jugez plutôt et tirez-en la conclusion que l’histoire
de l’Islam ne fait que reprendre son cours un instant interrompu.
« Les
musulmans sont entrés pour la première fois en 714 dans ce qui était la France
de l’époque. Ils se sont emparés de Narbonne, qui est devenue leur base pour
les 40 années suivantes, et ont pratiqué des razzias méthodiques. Ils ont
ravagé le Languedoc de 714 à 725, détruit Nîmes en 725 et ravagé la rive droite
du Rhône jusqu’à Sens. En 721, une armée musulmane de 100 000 soldats mit le
siège devant Toulouse, défendue par Eudes, duc d’Aquitaine. Charles Martel
envoya des troupes pour aider Eudes. Après six mois de siège, ce dernier fit
une sortie et écrasa l’armée musulmane, qui se replia en désordre sur l’Espagne
et perdit 80.000 soldats dans la campagne. On parle peu de cette bataille de
Toulouse parce qu’Eudes était mérovingien. Les Capétiens étaient en train de
devenir rois de France et n’avaient pas envie de reconnaître une victoire
mérovingienne.
Les musulmans
ont conclu alors qu’il était dangereux d’attaquer la France en contournant les
Pyrénées par l’est, et ils ont mené leurs nouvelles attaques en passant à
l’ouest des Pyrénées. 15 000 cavaliers musulmans ont pris et détruit Bordeaux,
puis les Pays de la Loire, et mis le siège devant Poitiers, pour être
finalement arrêtés par Charles Martel et Eudes à vingt kilomètres au nord de
Poitiers, en 732. Les musulmans survivants se sont dispersés en petites bandes
et ont continué à ravager l’Aquitaine. De nouveaux soldats les rejoignaient de
temps en temps pour participer aux pillages. Ces bandes n’ont finalement été
éliminées qu’en 808 par Charlemagne. Les ravages à l’est ont continué jusqu’à
ce qu’en 737 Charles Martel descende, au sud, avec une armée puissante, et
reprend successivement Avignon, Nîmes, Maguelone, Agde, Béziers et met le siège
devant Narbonne. Cependant, une attaque des Saxons sur le nord de la France
obligea Charles Martel à quitter la région.
En 759 enfin, Pépin le Bref reprit Narbonne et
écrasa définitivement les envahisseurs musulmans qui se dispersèrent en petites
bandes, comme à l’ouest, et continuèrent à ravager le pays, notamment en
déportant les hommes pour en faire des esclaves castrés, et les femmes pour les
introduire dans les harems d’Afrique du Nord, où elles étaient utilisées pour
engendrer des musulmans. La place forte des bandes se situait à Fraxinetum,
l’actuelle Garde Freinet (le massif des Maures). Une zone d’environ 10 000
kilomètres-carrés, dans les Maures, fut totalement dépeuplée. En 972, les
bandes musulmanes capturèrent Mayeul, Abbé de Cluny, sur la route du Mont
Genèvre. Le retentissement fut immense. Guillaume II, comte de Provence, passa
9 ans à faire une sorte de campagne électorale pour motiver tous les
Provençaux, puis, à partir de 983, chassa méthodiquement toutes les bandes
musulmanes, petites ou grandes.
En 990, les
dernières furent détruites. Elles avaient ravagé la France pendant 2 siècles.
La pression musulmane ne cessa pas pour autant. Elle s’exerça pendant les 250
années suivantes par des razzias effectuées à partir de la mer. Les hommes
capturés étaient emmenés dans des camps de castration en Corse, puis déportés
dans les bagnes du Dar al islam, et les femmes d’âge nubile dans les harems. Les
repaires des pirates musulmans se trouvaient en Corse, Sardaigne, Sicile, sur
les côtes d’Espagne et celles de l’Afrique du Nord. Toulon a été totalement
détruite par les musulmans en 1178 et 1197, les populations massacrées ou
déportées, la ville laissée déserte. Finalement, les musulmans ayant été
expulsés de Corse, Sicile, Sardaigne, du sud de l’Italie et de la partie nord
de l’Espagne, les attaques sur les terres françaises cessèrent mais elles
continuèrent sur mer par des actions de piraterie.
Ce n’est qu’en
1830 que la France, exaspérée par ces exactions, se décida à frapper le serpent
à la tête, et à aller dans ce qui allait devenir l’Algérie détruire
définitivement les dernières bases des pirates musulmans. Ce fut l’origine et
la raison de notre présence en Afrique du Nord. Vous savez ce qu’est devenue
ensuite l’Algérie… et l’histoire ne s’est pas figée… »
L’article conclut : Ce qu’il y a de frappant,
c’est qu’entre 714, la première entrée, et 1830, l’écrasement définitif des
pirates arabesques, il s’est écoulé plus d’un millénaire, ce qui montre qu’ils
ne renoncent jamais… Et aujourd’hui, effectivement, ils reviennent en
masse, par le biais “pacifique” d’une immigration de peuplement, qui exploite à
fond les failles de nos lois, de nos principes démocratiques, et de nos
avancées sociales… Bientôt ils seront assez nombreux pour prendre
démocratiquement le pouvoir dans les villages, les banlieues, les villes, les
régions, les pays d’Europe ! Il ne faut pas croire ceux qui les décrivent
comme “modérés” !
Car les exemples des “printemps arabes” qui se déroulent sous nos yeux en
Tunisie, Libye, Égypte, montrent s’il en était besoin que les “modérés” se font
toujours évincer par les "enragés" ! Qui ne cherchent qu’une chose : appliquer la
charia et transformer nos pays d’Europe en un “Dar al Islam”, une terre d’islam.
Il suffit de voir les exactions actuelles contre les chrétiens d’Afrique du
Nord, d’Égypte, d’Indonésie, du Nigeria, etc. pour imaginer quel serait le sort
réservé à nos familles, à nos peuples européens de souche judéo-chrétienne ! La
France est le pays européen avec la plus importante population musulmane qui
augmente très rapidement avec l’immigration de peuplement et une natalité
galopante, voulue et encouragée par notre système social !
L’histoire
de l’Islam se répète 1300 ans plus tard
Nos
rois d’alors savaient bouter l’envahisseur.
Nous
proposons des « accommodements ».
Cette
guerre du couteau et des bombes
Tue principalement
des innocents,
Pourrit la France de l’intérieur
Car
nous ne savons plus…
Ce
que nous voulons !
Claude Trouvé
Coordonnateur MF du Languedoc-Roussillon
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