Le
recours à la démocratie est devenu strictement limité aux élections officielles
soumises à une intense propagande médiatique de la « pensée unique ».
Les résultats deviennent de plus en plus contestables quand ils ne reflètent
pas celle-ci et on peut même aller à les remettre en cause par la voie
parlementaire, largement représentative de cette pensée, ou à oublier les
désirs exprimés quand le peuple demande un référendum. Ce dernier, honni dès le
départ de l’UE, est rejeté sous prétexte de questions toujours mal posées.
C’est sans doute le cas au Royaume-Uni avec le Brexit ; ce n’était pas
clair ? Poser la question, « voulez-vous garder l’euro ? »
ou « voulez-vous rester dans l’UE ? », ce n’est pas clair ?
Mais poser la question « voulez-vous payer pour les énergies
renouvelables ? », c’est sans doute trop compliqué, car il faudrait
ouvrir un débat et avouer combien cela coûte à l’abonné et au citoyen. Il
faudrait expliquer les 50 milliards évalués par la Cour des Comptes pour
l’investissement jusqu’en 2023, le fait que durant le premier semestre 2016,
ces énergies n’ont représenté que 5% de la production totale d’énergie, et que
le remplacement du nucléaire ne peut se faire qu’en augmentant de la même
quantité les énergies fossiles (charbon-gaz-fuel).
Un
vrai débat n’a jamais été ouvert sur ce choix énergétique fondamental pour une
nation. On s’est contenté d’affirmations non étayées en masquant la réalité
physique et économique, en subventionnant d’une manière ou d’une autre
producteurs et consommateurs. Le peuple n’a pas choisi, on a décidé et pris
l’argent dans sa poche. Mais il est de plus en plus clair que ce sont les
producteurs les vrais gagnants. Les multinationales récupèrent notre argent et sont en train de se préparer à investir l’Afrique sous
prétexte que le soleil y est généreux tout en jouant avec le marché de la taxe
carbone. Des flux financiers, identifiés grâce à des documents officiels et des
témoignages, permettent de lier l’affaire du CO2, la plus grande
escroquerie que la France ait jamais connue, à la cocaïne colombienne et au
cartel de Sinaloa, dont le baron est le célèbre trafiquant de drogue “El
Chapo”. Le mensonge du réchauffement climatique a insinué dans les esprits la
nécessité de l’énergie verte en oubliant son coût et le fait que le nucléaire
n’émet ni CO2 ni gaz toxiques. N’oublions pas que l’homme est toujours menacé
par la nature et il n’est pas nécessaire de s’inventer des cataclysmes. C’est
bien sur sans tenir compte des aléas de la situation mondiale, sur fond de
terrorisme, ou d’une catastrophe planétaire, du type qu’ont connu les humains
il y a 75 000 ans, lorsque l’hyper volcan Toba sur l'île de Sumatra a semé
mort et désolation tout autour de la planète, puisqu’il ne serait resté que 1000
couples vivants...
Mais
il en est de même avec l’immigration. Celle-ci nous est imposée par la
non-fermeture des frontières et par une guerre dans les pays de l’oumma qui
engendre une montée de haine retombant sur le peuple qui paie déjà par le sang
de ses soldats. Le « vivre ensemble »
n’implique pas la politique des
quotas. Alors que les migrants s’entassent à Calais sans qu’une solution
pérenne soit trouvée et alors que la tension y est de plus en plus palpable, un
circulaire du Ministère de l’Intérieur vient de « légaliser » les
immigrants illégaux. Ils ne pourront plus être renvoyés chez eux et
bénéficieront du même traitement que les immigrés légaux. Nous sommes entrés
dans une forme de dictature où le pouvoir fait ce qu’il veut ou plus exactement
suit les directives « allemandes » de Bruxelles. On nous pousse vers
une catastrophe humanitaire en semant la guerre qui engendre l’immigration en
Afrique et au Moyen-Orient et en créant un appel d’air vers l’Europe. Mais qui
peut bien avoir un plan aussi machiavélique ?
Ce
ne peut être que ceux qui n’ont aucun scrupule humanitaire mais qui adorent le
dieu argent. Ne cherchez pas ce sont toujours les mêmes. La société robotisée
va leur permettre de rendre l’homme inutile. Les prévisionnistes annoncent en
effet que 80% des emplois seront perdus dans les 20 prochaines années
à raison de 5 millions par an. La projet de Revenu Universel, ce que d’aucuns
appellent le RdB (revenu de base), n’est qu’un leurre provisoire. Les
bouches inutiles n’ont jamais été supportées bien longtemps. C’est la dernière
idée soutenue par le groupe Bilderberg (Chefs d’Etat, ministres, PDG, banquiers,
journalistes, capitaines d’industrie brassant des milliards et des milliards),
l’un des trois grands groupes d’action des Maîtres du Monde, réuni à Dresde le
9 juin 2016. Ce revenu serait destiné à subvenir aux besoins d’une nouvelle
classe de salariés dans lequel on trouverait des travailleurs à mi-temps, des
travailleurs étrangers, des jeunes surdiplômés et sous employés... dont
le point commun est l’insécurité économique, et qui représente aujourd’hui pas
moins de 40% des habitants des pays dits riches qui prendrait le
significatif nom de « précariat » !
Vous
voyez tout est pensé pour nous et nous devrons subir ce qui est concocté par
ceux qui ont la puissance de l’argent qui permet d’acheter les politiques, les
médias, la mafia et même de profiter de l’argent de la drogue et des paradis fiscaux. Ces puissances
se moquent de l’homme et de l’environnement mais ils s’en servent pour aller à
leur but final, se retrouver entre eux… dans un monde meilleur. A peine
quelques centaines de multinationales et de banquiers détiennent la clé du
monde. Même pour notre alimentation nous dépendons d’eux, nous ne pouvons leur
échapper, ils pourront tout contrôler c’est en marche. La puce électronique, insérée
sous notre peau, contiendra toute notre identité, notre santé, notre
profession, nos relations, nos goûts, notre argent, etc… Ce n’est pas une
fiction, elle fait ses débuts et on nous convaincra que c’est pour notre bien
en nous vantant un certain nombre d’avantages pratiques. Mais nous serons alors
définitivement sous contrôle, dépouillé d’argent à tout moment et triés par des
ordinateurs et des publicités qui nous orienteront vers les biens de
consommation voulus ; nous prendrons les vaccins, les médicaments et les
antidotes décidés par eux et auxquels nous ne pourrons nous soustraire. L’OMS
et l’ONU tiendront les Etats à l’œil pour que ceci rentre en application.
Ce
n’est pas le changement climatique qui menace notre civilisation, car l’apport
de l’homme reste faible, ni même la surpopulation. Nous sommes à un point de
rupture où le meilleur voisinerait avec le pire. La chute possible de notre
civilisation peut être due à notre propre suicide pour avoir oublié les raisons
qui l’avait amené à sa réussite. Nous ne serions pas les premiers dans
l’histoire du monde. Dans son livre « Bilan de l’histoire » René Groussey écrivait : « en
général, aucune civilisation n’est détruite du dehors sans tout d’abord
s’être ruinée elle-même, aucun empire n’est conquis de l’extérieur, sans qu’il
ne se soit préalablement suicidé. Et une société, une civilisation, ne se
détruisent de leurs propres mains que quand elles ont cessé de comprendre leur
raison d’être, quand l’idée dominante autour de laquelle elles étaient naguère
organisées leur est devenue comme étrangère. À bien lire l’histoire, on
s’aperçoit que le plus souvent, un empire, un état, une civilisation, une
société ne sont détruits par l’adversaire qu’autant qu’ils se sont
préalablement suicidés ». Si nous voulons éviter le pire, notre
principal ennemi est en nous-même. C’est notre endormissement et notre atonie,
alors réveillons-nous et luttons. Seulement alors nous pourrons faire mentir
Michel Onfray :
« je
pense que notre civilisation est mourante (...)
nous
sommes en queue de comète,
nous
avons fait notre temps, et…
notre
civilisation est morte ».
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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