L’Islam avance, la France recule et
Valls devient un tigre de papier. Hollande pavoise encore sur la prochaine
victoire sur Daech, qui se fait tout-de-même attendre depuis quatre ans et qui est
surtout remportée par les Russes alors que nous soutenons toujours des
terroristes dits « modérés »
contre Bachar El Assad. Mais des autorités religieuses font chorus avec celles
politiques dans l’avancement du renoncement. Nous sommes devant un renoncement
qui s’étend sur l’Europe et le monde, même si quelques pays Astérix résistent
encore, pays à forte identité nationale et majoritairement unis derrière leur
gouvernement. C’est évidemment le cas de la Russie avec cette phrase
vulgairement forte « Nous les poursuivrons
jusque dans les chiottes ».
Les renoncements, les invitations au renoncement s’accumulent et la
laïcité est nommément mise en cause : « s’il y a des attentats, c’est la faute de la laïcité
des Français » dit l’imam de Nice. S’il le dit et que les
politiques ne réagissent pas, c’est qu’ils partagent cette opinion. Sinon c’est
un grave manquement à l’autorité de l’Etat que de faire la sourde oreille. L’archevêque
de Rouen, Mgr Lebrun, lui aussi analyse les causes de l’attentat de
Saint-Étienne-du-Rouvray. À ses yeux, « nous
sommes au bout du modèle de la laïcité », la société engendrant le pire en
ne respectant pas assez les religions (source : www.paris-normandie.fr).
Étonnant comme il se rapproche à son insu de l’imam de Nice. C’est donc la
faute à la laïcité si le prêtre a été égorgé pendant sa messe ? Enfin, le Pape,
suite à l’égorgement du prêtre, bat la coulpe des catholiques en disant « si je parle de violence islamique, je dois
parler de violence catholique » rapportés dans Le Figaro du premier août
2016 (sic). Quelle violence actuellement menée au nom du Christ constitue le
pendant aux milliers de morts dus aux islamistes ? Faut-il remonter aux
croisades et à la Saint-Barthélemy ?
Alors que les
chrétiens d’Orient sont pourchassés et massacrés, alors que des exécutions
horribles de chrétiens se produisent en Afrique, ces propos, remettant tout le
monde à égalité au nom de l’histoire, sonnent comme une acceptation de l’homme
mauvais dont il ne faut plus rien attendre d’un côté ou de l’autre. C’est une
forme de renoncement à faire stopper la violence. Par ailleurs remettre en
cause la laïcité comme incapable de faire coexister les religions et rejeter la
faute sur elle, c’est donner libre cours à l’affrontement communautariste alors
que nous entrons dans une phase d’affrontement de l’Islam à l’Occident comme l’émet
La Mecque en permanence.
Mais du
côté des politiques le renoncement est palpable. A commencer par le Premier
Ministre M. Valls qui, après avoir fait quelques déclarations guerrières, bat
en retraite et commence à donner des signes de renoncements à nos grands
principes (ce qui extrêmement malvenu après la série d’attaques ignobles qui
ensanglante la France notamment depuis Merah en 2012). Il déclare le 2 août
dans Libération « Toucher à la loi
de 1905 de séparation des Églises et de l'État ouvrirait un débat très
périlleux (mais plus loin…) sans nous interdire une forme de financement public
(…) ». C’est admettre que la loi de 1905 n’est plus applicable en l’état et
avaliser les entorses faites avec les terrains gratuits et le financement des
centres culturels des mosquées entre autres. Disons-le c’est renoncer à la
séparation de la religion et de l’Etat. La religion sort de l’espace privé pour
rentrer dans la sphère publique. Le pas suivant c’est accepter explicitement les
religions d’État et demander à l’ensemble des citoyens, croyants et
non-croyants, de les financer et d’en accepter toutes les demandes. C’est
accepter que l’Islam devienne à terme la religion dominante temporellement par
la loi du nombre.
Déjà en
2015, suite aux attaques, Valls nous faisait le coup de la politique de
peuplement. Elle devrait contraindre les français sur l’ensemble du territoire
au vivre ensemble par l’application stricte des quotas SRU (le député
socialiste Malek Boutih répond au Premier Ministre " ce que refusent les maires, (…) c'est d'attirer une population
islamiste ", ajoutant qu'on ne fera " pas disparaître les foyers radicaux en les disséminant " -
source : Figaro du 22 janvier 2015). Puis la loi du 7 mars 2016 a encore
facilité le regroupement familial : intarissable source. L’immigration est
le canal privilégié d’irruption de l’islamisme dans nos pays. C’est la plus
grande faute commise dans ce domaine où l’on est passé du contrat de travail
avec retour au pays à l’implantation de familles et l’enracinement des
générations suivantes par le droit du sol. Puis Valls culpabilisa les français
avec sa fameuse trouvaille sur le (prétendu) apartheid français. Les français
furent désignés comme responsables. Il faut répondre à cela que les attentats
ont lieu partout dans le monde : mettre tout sur le dos de la France était donc
stupide.
Nous
n’oublions pas non plus le rôle de Najat Valau Belacem qui imposa, comme par
hasard après Charlie et l’hyper casher, que dans les programmes scolaires,
l’histoire des français soit analysée sous l’angle du dogmatisme et
de la victimisation (l’étude des lumières et du moyen âge chrétien sont mis en
option) mais l’histoire de l’islam est obligatoire en classe de 6ème et
5ème. Le fait qu’une majorité de musulmans ne suivent pas les textes de l’Islam
ne justifie en aucune façon que cette immigration civilisationnelle soit
imposée au peuple français sans qu’il ait eu son mot à dire car il y va de son
identité française qui est en passe de se dissoudre dans un apport massif d’une
civilisation que nous avons combattu pendant des siècles. A ce propos, alors
que la population française croissait de 500.000 personnes par an dans les
années 2010, l’information selon laquelle la population française diminuerait
serait particulièrement inquiétante. Cela voudrait dire que la population
autochtone ou assimilée depuis une génération décroitrait plus vite que
précédemment, l’apport de population étant apportée par l’immigration et la
fécondité supérieure des femmes musulmanes. Alors que nous avons dépassé les
10% de musulmans en 2017, ce chiffre pourrait donc évoluer beaucoup plus vite.
Ce
sentiment de renoncement qui se fait jour en France tranche avec les propos du
président tchèque, Milos Zeman. Il estime que son pays devrait refuser d'accueillir
des réfugiés originaires du Proche-Orient pour éviter " des attaques barbares ». " Notre pays ne peut tout simplement pas
courir le risque de subir des attaques terroristes comme celles qui ont eu lieu
en France et en Allemagne ", a dit le porte-parole du président, Jiri
Ovcacek, lors d'une (récente) conférence de presse. (…) La République
tchèque et les autres pays d'Europe centrale se sont montrés les plus critiques
envers la réponse européenne à la crise migratoire. Le gouvernement
tchèque s'oppose par exemple au système de répartition par quotas des réfugiés
entre les États membres de l'UE (source : www.lefigaro.fr). Ces positions
sont si loin de la nôtre que l’on est en droit de se poser la question de
savoir s’il s’agit chez nous d’un renoncement ou d’un plan concerté…
Les USA, créés de toutes pièces à
partir de rien
Et champions du « melting pot »,
déchantent.
La violence interraciale y est
croissante.
On veut que nous soyons meilleurs
Dans le « vivre ensemble »
Au risque de mourir…
Par indigestion !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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