On
ne peut pas s’abstraire du sujet de l’immigration qui est devenu un problème
mondial mais qui touche particulièrement l’Europe et surtout les pays ayant
signé les accords de Schengen. Car c’est bien là que se situent les pays qui se
voient obligés d’accueillir un flux migratoire qui n’est pas prêt de cesser. Il
est intéressant de noter que la Suisse qui n’est pas dans l’UE mais l’EEE, l’Espace
Économique
Européen, commence à souffrir d’une immigration qui entraîne avec elle une
baisse de la sécurité et une pression culturelle qui l’oblige à accepter les mosquées,
même si les minarets ont été l’objet d’une votation qui les a rejetés. Quant à
la Suède, c’est la disparition pure et simple du peuple suédois, qui se met en
place, sous le regard bienveillant et attendri du gouvernement, hanté, comme
ses prédécesseurs, par l’obsession de faire de la Suède la championne du monde
de l’humanitaire, quitte à sacrifier son propre peuple et effacer l’identité
suédoise.
Ce
pays est loin des regards des pays méditerranéens mais, comme la Grèce pour le
niveau de vie, il est pourtant l’image de ce qui nous attend sur le plan
migratoire. La politique migratoire suédoise est lancée depuis longtemps et
voit arriver en masse le monde musulman. J’avais personnellement constaté en
2002 ses effets à Malmö où les zones de non-droit existaient déjà. Aujourd’hui
cette ville est complètement submergée. Les répercussions de cette politique
d’accueil aberrante dans la région inquiètent le pays voisin, le Danemark. Le
service de Sécurité et de Renseignement danois (PET) est aujourd’hui très
critique envers les politiques d’immigration de la chancelière et du
gouvernement suédois. Il les accuse de déstabiliser la sécurité dans la région.
L’invitation d’Angela Merkel encensée à
l’infini par les médias et « élites » politiques et intellectuelles pour sa
grande générosité et son humanisme adressée à des millions de réfugiés et de
migrants musulmans, à rejoindre l’espace Schengen, a engendré une vague sans
cesse croissante de crimes, affectant la vie de millions d’Occidentaux. En
Allemagne, la police a enregistré 69 000 crimes perpétrés par des migrants
seulement en l’espace de trois mois, et ce nombre ne représente que le chiffre
officiel enregistré. Selon une estimation, l’accueil des « réfugiés » coûtera
aux contribuables allemands d’ici 2020 environ 93,6 milliards d’Euros.
La politique migratoire
est sous la responsabilité de l’UE, garante de l’espace sans frontières et
favorables à une politique d’accueil venant au secours d’une démographie en
baisse et d’un besoin de faire pression sur les coûts salariaux. C’est la
chancelière allemande qui se sert de ces arguments et entraîne avec elle les
pays européens. Le flux migratoire n’est pas découragé bien au contraire même
si l’Allemagne se permet maintenant d’y faire un certain tri. Des études
récentes ont montré que seuls 2,65% des migrants traversant la Méditerranée
sont des réfugiés, les autres des chercheurs de fortune et des terroristes. Diverses
ONG, dont certaines financées par le cynique milliardaire G. Soros, ont créé un
véritable pont entre la Libye et l’UE, un crime que l’UE refuse de sanctionner.
Au lieu d’arrêter ce trafic d’êtres humains, les dirigeants de l’UE se sont
servis de FRONTEX, l’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes,
pour aider les ONG à transporter des centaines de milliers d’illégaux en Europe.
Il faut savoir que les passeurs ne prévoient le convoyage des migrants que
jusqu’aux bateaux de Frontex qui naviguent près des côtes libyennes. Les
passeurs n’ont même plus besoin de prendre la peine d’affréter de vraies
embarcations. Ils savent que leurs « clients » seront pris en charge sitôt dans
les eaux internationales. Les migrants le savent aussi.
Ce
monde maffieux est sans pitié. Ainsi, de nombreux candidats à « une vie
meilleure » sont froidement tués sur les plages, s’ils refusent de monter à
bord de bateaux surchargés ou si les conditions climatiques ne sont pas bonnes.
Les ONG viennent sauver les migrants à quelques encablures de l’Afrique. Il
faut arrêter de propager l’idée que l’immigration rapporte plus qu’elle ne
coûte. Cela peut être vrai quand cette population trouve du travail sans
prendre celui des autochtones. Ce n’est plus le cas en France où nous ne devrions
faire face qu’au strict droit d’asile pour raison politique. Il devient évident
que la Syrie doit récupérer ses ressortissants au fur et à mesure que le pays
se libère, c’est un besoin vital pour eux et un cancer migratoire pour nous.
Cette politique demande des sacrifices à nos peuples. Aider un demandeur
d’asile au Danemark pendant un an coûte 30 000 euros. Héberger un réfugié dans un camp, comme celui
de Kilis en Turquie, présenté comme un modèle de camp d’accueil, revient à 5%
du montant ci-dessus. Dépenser autant en Europe sans pouvoir décemment intégrer
un flux migratoire devenu pérenne ne peut germer que dans l’esprit de ceux qui
tirent les ficelles pour en tirer profit. Ils se trouvent évidemment dans l’oligarchie
financière qui imbibe la politique européenne.
L’axe
des guerres incessantes entre l’Afghanistan et le sud du Soudan en passant par
la Syrie est entretenu par le monde occidental qui manie terreur et acquisition
des ressources de ces pays. Il y a une guerre civile mortelle dans le sud du
Soudan, dirigée dans une large partie par un désir féroce d’avoir le contrôle
sur le pétrole du pays. L’année dernière, 340 000 personnes ont fui le sud du
Soudan dans des camps de réfugiés voisins de l’Ouganda. Il y a ici un plus
large déplacement qu’en Syrie. L’Agence des Réfugiés de l’ONU a annoncé les
nouveaux visages du monde déplacé : 65,9 millions. Cela veut dire que 65,9
millions d’êtres humains vivent comme réfugiés, demandeurs d’asiles, ou comme
déportés dans leur propre pays. Si les réfugiés formaient un pays, ce serait le
21ème État le plus grand au monde, juste après la Thaïlande (68,2 millions) et
juste avant le Royaume Uni (65,5 millions). De tout évidence le problème des
réfugiés ne peut plus être réglé par les moyens humanitaires mis en place.
De
plus l’UE agit comme un papier buvard et n’applique pas une véritable politique
de tri et de reconduite dans les pays d’origine. En théorie, les expulsions de
personnes entrées illégalement en France existent. En pratique, le système
connaît de graves dysfonctionnements. Un maquis judiciaire impénétrable. C’est
par ces mots, lâchés sur un ton désabusé, qu’un ancien responsable des
questions migratoires au ministère de l’Intérieur décrit le système de
reconduite à la frontière. Mais le flux migratoire est incessant. L’Aquarius
déverse chaque semaine en Italie ses bataillons de migrants. Le 28 juin, ce
sont 1 032 Africains que le navire a transportés. Un record, paraît-il. Parmi
eux, 80 % de mâles dont 230 mineurs non accompagnés qui feront pour certains un
jour prochain la joie des centres d’accueil de France. Les guerres engendrent
la pauvreté et, si l’on peut résister à l’insécurité, on ne peut résister à la
faim. Alors c’est ce qui devrait guider la politique européenne, non pas
accompagner le flux migratoire pour des raisons bassement économiques de profit
pour les plus riches, mais l’arrêt des guerres sous la fausse bannière de la
démocratie et des droits de l’homme. Ce droit d’ingérence autoproclamé par les
occidentaux, dont encore récemment Macron, ne fait que déstabiliser les pays et
leurs populations partout où il passe.
La
politique migratoire française n’existe pas, elle est calquée sur la politique
oligarchique européenne et nos frontières restent ouvertes quoique l’on en
dise, permettant l’immigration illégale et le libre passage au terrorisme. Il n’y
pas d’autres réelles solutions que de cesser ces guerres meurtrières aux
conséquences désastreuses et de concentrer nos efforts vers l’aide au
développement des pays migrateurs. L’urgence en est encore plus grande que la
sécurité intérieure parce qu’on y trouve l’une des causes principales de la
pauvreté grandissante, de la perte d’identité, de l’insécurité et de la montée
de conflits cultuels. Pour ces derniers la France n’est pas génétiquement raciste,
mais tout est fait pour qu’elle le devienne. La meilleure preuve, que Macron n’a
aucune envie d’aller dans ce sens, est que la baisse des crédits du Ministère
de l’Intérieur est principalement axée… sur l’Aide au Développement de ces pays
migrateurs.
Vouloir
avoir une autre politique sur l’invasion migratoire, signifie s’opposer à l’UE
et contrarier l’oligarchie du NOM. Cela va devenir rapidement un sujet vital
pour notre pays, donc c’est une autre bonne raison de quitter l’UE. Déjà la
Pologne annonce qu’elle préfère sortir de l’UE plutôt que d’accepter les
migrants imposés par Bruxelles. L’Italie menace de délivrer 200.000 permis de
séjour, permettant de se répandre dans l’espace Schengen si on ne prend pas
plus de migrants arrivant chez elle. Pour terminer cette suite d’articles, il
me reste à vous dire pourquoi la France ne peut qu’aller vers une faillite à la
grecque si nous continuons comme Macron qui, après ces prédécesseurs, nous
engage encore pour 5 ans.
L’Afrique est le continent qui a la plus
grande croissance démographique.
Ne pas prendre en compte que le flux
migratoire ne peut que croître
Ne penser à l’immigration qu’en termes
économiques
Faire fi des problèmes humains
prévisibles
Relève d’un machiavélisme programmé
Pour asservir le monde au profit
Des plus riches et terminer par
Ne garder que les productifs.
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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