mardi 12 décembre 2017

STOP au mensonge climatique !



Emmanuel Macron, à défaut de trouver des solutions pour diminuer le déficit public, toujours croissant en 2017 et même prévu encore plus haut en 2018 soit 20% de plus qu’en 2016, se fait un show médiatique avec le deuxième anniversaire de la COP21 dont on sait qu’elle n’est pas contraignante. Les milliards prévus arrivent au compte-goutte et Macron se fait le chantre de la lutte aux subsides. Evidemment les lobbies poussent dans ce sens, car c’est dans ce secteur que se trouve des débouchés, en particulier sur l’Afrique. Macron leur donne le coup de pouce, il faut bien renvoyer l‘ascenseur. Il prêche pour que les autres pays donnent, car les 100 milliards sont encore très loin, et Bruno Lemaire trouve que nous donnons déjà trop… Pas bête ce Macron.

Alors tous les médias, le Monde en tête, enfourche la vieille rengaine du réchauffement climatique, que l’on appelle pudiquement changement, de façon à être prêt à toute éventualité. France info vient de nous servir sa logorrhée de lieux communs sur fond d’ours blanc, incendies en Californie, fonte des glaces, 23.000 personnes déjà déplacées (hausse des océans), ouragans plus fréquents et plus puissants, etc. Au passage on affirme que si la planète reverdit c’est grâce à l’action de l’homme, au cas où certains penseraient que c’est grâce à l’augmentation du CO2. Ce serait ennuyeux que l’on puisse dire que l’homme ait une action bénéfique en augmentant le CO2 !

Oui la planète reverdit, les images satellites le montre. Oui le taux de CO2 croît. Il y a un lien entre les deux, même si l’homme en brûlant moins de bois aux portes du désert le fait reculer, même si on essaye de moins déboiser en Amazonie. Le CO2 c’est bon pour la végétation et ce n’est pas nocif pour l’homme. Nous en expirons, et le monde végétal nous le transforme en oxygène grâce à la photosynthèse. On est fait pour s’entendre. Il faut arrêter de confondre CO2 et pollution, ce n’est pas un polluant comme l’oxyde d’azote, le souffre et les anhydrides sulfureux, etc. On parle d’un taux de gaz carbonique dans l’atmosphère de 0,04% (ou 407 parts par million) aujourd’hui contre 0,032% en 1960. Alors oui, certes, l’augmentation est de 25%, mais 25% d’un tout petit nombre : cela reviendrait à constater l’augmentation de CO₂ dans l’atmosphère d’une salle de théâtre de 1500 places après y avoir laissé brûler une allumette (oui, toute une allumette). Nous ne pourrions pas vivre, par manque d’oxygène dans un air à 100% de CO2, mais on est très loin des taux dangereux et même du 1,5% admis dans les sous-marins. 

Le problème n’est que le lien de causalité avec le changement climatique. Je ne redirai pas que de très nombreux spécialistes contestent ce lien et prétendent même que l’augmentation du CO2 naturel suit et non précède l’augmentation de la température. Ceci a été montré dans les carottages glaciaires. Or les amplitudes des variations de température et de CO2 dans l’histoire connue de notre planète sont très supérieures à celles que l’on impute au CO2 d’origine anthropique. Ajoutons que l’influence du soleil a été largement oubliée ou minimalisée dans les calculs prévisionnistes, ce qui est assez osé à priori. Certains pensent que l’augmentation de température notée de 1950 aux années 1990 est liée à une plus intense activité solaire.
 
Toujours est-il que les modèles mathématiques ne rendent pas compte de la quasi-stagnation des températures depuis 20 ans. Les années chaudes de 2014-2015-2016 sont très probablement dues au courant marin du pacifique El niño qui a une influence chaude sur le climat, le passage à El niña qui a l’effet inverse expliquerait que les températures en 2017 reviennent à celles du début du siècle. La courbe rouge sur le graphique est la moyenne retenue par le GIEC et sert de base aux prévisions. Depuis 2000, elle donne une augmentation de température de 0,025°C par an, soit +2,9°C à la fin du siècle par rapport à 1975. Voilà d’où viennent les prévisions catastrophiques annoncées. Si l’on prend les évolutions réelles depuis 1980 on obtient +0,37° à la fin du siècle par rapport à 2017. Durant le dernier millénaire on a pu noter des variations de température bien plus élevées. Rien ne permet donc de lancer aujourd’hui des cris d’alarme sur l’augmentation des températures que ce soit un effet naturel ou anthropique. Les raisons de cet alarmisme distillé dans l'opinion sont donc autres et n’ont rien à voir avec la science climatologique qui est encore loin d’avoir tout compris d’ailleurs. 

Reste le lien de causalité entre le CO2 et la température. En dehors du fait que les variations du taux de CO2 ont eu des amplitudes supérieures à celles observées de nos jours, la pseudo-science officialisée devra expliquer pourquoi des petites variations de la teneur en CO2 peuvent avoir des effets aussi considérables pour le climat, si tant est qu’il en est la cause. Si c’est le cas comment explique-t-on que pendant 20 ans la teneur en CO2 a crû significativement et que les températures n’ont presque pas évolué ?

Reste que par l’utilisation de constats circonstanciels, comme le passage d’un ouragan, des incendies de grande ampleur, on continue à alimenter la peur du citoyen en liant sans sourciller ce constat au réchauffement climatique. Le cas des ouragans est particulièrement représentatif de cette désinformation permanente. Le GIEC lui-même (organisme de l’ONU en charge de recommandations liées au RCA) avoue de pas pouvoir faire de lien entre fréquence et puissance des ouragans, et le réchauffement climatique d’autre part : « Un faible degré de confiance est accordé à toute augmentation observée à long terme (40 ans ou plus) de l’activité cyclonique dans les zones tropicales (intensité, fréquence, durée) » écrivait-il en 2012 page 17. Un faible degré de confiance veut dire en langage scientifique qu’aucun lien n’a pu être mis en évidence. Plus récemment on a lu : « Il est prématuré de conclure que les activités humaines (et en particulier les émissions de gaz à effet de serre) ont un impact détectable sur les ouragans de l’Atlantique ou sur l’activité cyclonique mondiale. (NOAA, Agence américaine d’études océaniques et atmosphériques, 26 oct 2017) » 

Al Gore nous avait prédit en 2007 que les glaces du pôle Nord auraient disparu dès l’été 2014 et l’image de l’ours à la dérive a fait le tour du monde. Les glaces polaires sont toujours là et le volume de glace cet été avait repris son volume moyen normal. Pour nos ours la vie est belle, ils ont vu leur population augmenter de façon importante depuis 1950. De 5.000 individus environ à cette date, elle est passé à plus de 20.000 en 2012 et, selon les derniers recensements pourraient atteindre 27.000 à 32.000 aujourd’hui. En ce qui concerne la montée des océans, celle-ci s’est produite bien avant l’ère industrielle d’une part, et d’autre part le passage des mesures par marégraphes aux mesures satellitaires a demandé de réaliser le recoupement nécessaire et aussi de rectifier les mesures erronées d’un satellite. Désormais on peut dire qu’il n’y a pas d’accélération du phénomène et que l’augmentation observée par siècle serait de 30cm, ce qui n’a plus rien à voir avec les chiffres en mètres encore présents dans la propagande médiatique. De plus la NOAA a annoncé un arrêt de la montée depuis 2 ans sans qu’une explication plausible puisse être donnée.

Malgré tout une lutte sans merci est lancée contre le changement climatique (RCA), et le nerf de la guerre c’est l’argent. La France vertueuse, ayant l’un des plus faibles taux de CO2 des grands pays industrialisés (grâce au nucléaire), s’est arrogé le droit d’être la référence et le leader de la lutte contre le RCA. Il faut trouver des financements privés et publics (mais surtout publics) pour cette fameuse « action climat », histoire de « Make Our Planet Great Again » – et lâcher au passage 60 millions d’euros de plus d’argent gratuit de la poche des autres pour attirer des scientifiques étrangers ayant un projet en lien avec le changement climatique. Il va falloir aussi pourvoir au départ des Etats-Unis et lors de la COP23 de Bonn (Allemagne) le mois dernier, Macron avait même appelé les États européens à compenser intégralement ce retrait américain pour financer le GIEC, ce Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat qui fait la pluie et le beau temps sur le climat depuis sa création dans la nébuleuse onusienne en 1988. 

C’est un gouffre financier que nous propose Macron. Ou bien c’est un leurre, un coup politique, et il ne lâchera finalement rien, ou bien nous allons devoir payer chèrement ce canular monté par une oligarchie qui se sucre sur la taxe carbone et se frotte les mains de voir arriver de l’argent qui va tomber dans son escarcelle pour les énergies renouvelables. Cela c’est le trajet habituel de l’argent des pauvres, tragiquement trompés, vers les plus riches. On est devant un véritable scandale qui dévoie la Science et qui entraîne notre pays dans une aventure des énergies renouvelables qui n’a pas non plus lieu d’être car elles sont indirectement polluantes à cause du duo incontournable : énergies aléatoires-énergies pilotables polluantes.
 
Cette affaire s’avère l’arnaque du siècle 

Dont les conséquences financières

Vont se chiffrer en milliards 

Dans un pays endetté

Donc en impôts 

Et en taxes !
 
Claude Trouvé
12/12/17

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