Je
tiens à préciser d’emblée que je n’ai pas qualité pour donner un avis pour ou
contre la vaccination mais il n’est pas interdit de se placer dans la peau de
députés ou de parents qui sont amenés à prendre ou accepter une décision
pouvant affecter un peuple entier ou ses propres enfants. Le sujet est d’actualité
au point d’avoir été posé à Marine Le Pen qui a dû prendre parti ex-abrupto faute
de se voir traiter d’indifférente à ce problème. D’instinct je me méfie de ce
qui est imposé au nom de la science ou de la pseudo-science pour des buts
politiques et lucratifs qui n’ont rien à voir avec le but recherché. L’utilisation
du climat, pour nous persuader d’accepter de modifier notre comportement ou de
payer sans que le moindre doute soit permis, m’a averti du danger du suivisme
aveugle dans lequel on nous enferme. Il faut regarder autour de soi. Par
exemple on aimerait savoir pourquoi le Japon continue à ne pas rendre
obligatoire le vaccin contre la rougeole. Leurs médecins seraient-ils pour le
génocide ou pas convaincus ?
Dans
le cas de la vaccination, la grande majorité des parents n’hésitent pas à faire
vacciner leurs enfants parce qu’ils sont influencés par la propagande et par
les tactiques de peur qui sont utilisées par les médecins. Certains d’entre eux
assurent les parents que la vaccination est sans danger, ou que celui-ci est
infime, et qu’il est utile de protéger les enfants contre toute une série de
maladies qui peuvent s’avérer mortelles. Si, comme il m’est arrivé de le faire,
nous faisons aveuglément confiance aux médecins, il ne nous reste finalement
qu’à accepter. Donc on nous amène à nous poser la question de l’utilité de la
vaccination en termes de bénéfice-risque. Le mot qui choque alors est le terme « obligatoire »
qui ôte toute décision personnelle. Quand les femmes disent vouloir être
maîtresses de leur corps, elles se soumettent néanmoins à la vaccination. Car
plus personne ne peut nier que les vaccins tuent parfois, mais on sait moins qu’ils
provoquent aussi des effets secondaires graves. Dans l’abondante littérature
vantant les mérites de la vaccination, on trouve beaucoup d’informations sur
les enfants ayant contracté la maladie sans avoir été vacciné mais peu de
statistiques sur les enfants vaccinés ayant attrapé la maladie ou ayant des
troubles secondaires graves de santé parfois très handicapants.
Un
vaccin, c'est quoi ? c'est une injection d'un agent pathogène affaibli, destiné
à renforcer le système immunitaire. C'est une prévention, mais ça ne soigne
pas, ce n'est pas un sérum. Au fond le vaccin idéal serait celui qui
empêcherait totalement de contracter une maladie que l’on ne sait pas soigner
ou pour laquelle on serait démuni de tout autre moyen de prévention. Le cas de
la peste à ce sujet est intéressant. Ainsi, en 1348, la peste noire fit périr
la majorité de la population française, puis elle a sévi pendant des siècles à
travers le monde pour s’éteindre totalement sans aucune vaccination. Aujourd’hui
par l’avènement de l’hygiène, du traitement des eaux, les cas sont plus rares
et on sait les soigner. On en déduit que la maladie a un cycle de vie et qu’elle
a beaucoup moins de chances d’apparaître aujourd’hui parce que les conditions
nécessaires à son développement sont très différentes.
En
1948, aîné à l’époque d’une famille alors de trois enfants, j’ai contracté la
rougeole. Le médecin de famille a eu cette réaction qui en heurterait plus d’un
aujourd’hui : « Foutez-moi tout
ce petit monde dans la même chambre pour qu’on ne traîne pas cette maladie
pendant des mois ». La vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) n’existait
pas. Nous avons donc en cœur subi les éruptions cutanées caractéristiques, la
toux, le nez qui coule, des irritations oculaires et de la fièvre. Le même
scénario s’est déroulé pour les oreillons qui provoquent de la fièvre, des maux
de tête, des douleurs musculaires, une perte d’appétit et des ganglions enflés.
Il en fut de même pour la coqueluche avec son célèbre « chant du coq »
et la varicelle. Ces quatre maladies n’étaient pas considérées comme graves
mais maladies infantiles bénignes. La rubéole qui peut provoquer des éruptions
cutanées, ainsi qu’une légère fièvre chez les enfants, n’était reconnue grave
que pour les femmes enceintes qui étaient isolées des foyers d’infection. Aucun
d’entre nous n’a eu de séquelles de ces maladies, excepté la varicelle qui a
marqué un peu notre peau à cause du grattage de démangeaisons insupportables.
Ce n’est
plus le cas aujourd’hui alors que nos moyens de prévention ont beaucoup évolué,
la rougeole, les oreillons, et la rubéole sont déclarées maladies graves et
soumises au vaccin ROR. Alors une question se pose et à laquelle je ne trouve
pas de réponse fiable : « N’introduisons-nous pas un nombre de risques
supplémentaires plus grand que celui que nous voulons éviter ? »
Car dans le cas de la rougeole, les risques secondaires de la vaccination sont
impressionnants :
Le
lupus (Trouble auto-immun du tissu conjonctif) - Le syndrome de Guillain Barré
(inflammation des nerfs) - L’encéphalite - La méningite aseptique (Inflammation
de la muqueuse du cerveau) – Surdité - Cardiomyopathie (Affaiblissement du
muscle cardiaque) - Episodes d’hypotonie-hyporéactivité (Collapsus/ Choc) –
Convulsions - Panencéphalite sclérosante subaiguë. A cela il faut ajouter le
risque majeur de l’autisme. En dépit des démentis des médias traditionnels et
des groupes médicaux conventionnels, la connexion est très forte. L’autisme est
désormais monnaie courante, avec un enfant sur 50 qui reçoit le diagnostic de
cette maladie débilitante. Désormais des parents se pourvoient en justice pour
cette raison. On observe aussi que des compagnies d’assurances incluent le
risque d’empoisonnement par les vaccins dans leurs polices.
En
théorie, le vaccin ROR protège contre la rougeole, les oreillons et la rubéole.
En vérité, la seule chose qui ait pu être prouvée pour le vaccin ROR, comme
pour tous les autres vaccins, c’est qu’il entraine une augmentation des
anticorps vis-à-vis de ces trois maladies. Mais le corps médical sait qu’il
déprime aussi l’immunité cellulaire qui est le type d’immunité le plus
important pour la protection contre les maladies. Une question se pose : « N’est-on
pas en train de courir vers une surprotection qui finit pas nous affaiblir
collectivement et génère plus de risques que de bénéfices ? »
J’ai pris le cas de ce vaccin ROR pour ne pas aborder le cas des 8 autres
vaccins, dont trois sont déjà obligatoires, que l’on se propose d’ajouter dans
une injection unique. Mais il faut aussi signaler que si chacun des vaccins prévus
a été individuellement agréé, il n’y a aucune étude suffisamment sérieuse sur
un nombre suffisant de vaccinés et de non vaccinés, et suffisamment longue (5ans
– 10 ans) pour montrer que cette introduction massive d’agents pathogènes différents
dans le corps ne produit pas des effets plus néfastes que bénéfiques.
Autrement
dit on ne nous prouve rien, mais on veut nous obliger sans que toutes les
précautions puissent être officiellement certifiées. Je n’ai aucune compétence
médicale mais j’ai travaillé en tant que statisticien avec plusieurs équipes
médicales de pointe sur des sujets divers, et je sais que pour affirmer les
choses il faut beaucoup de temps, et de patients vaccinés ou sous placebo pour
conclure. Ce qui me choque le plus c’est le caractère « obligatoire »
donné à cette nouvelle vaccination tous azimuts. Le monde des patients n’est
pas uniforme devant les risques et il me semble que la vaccination devrait être
beaucoup plus personnalisée sous la responsabilité des médecins traitants.
Vacciner un patient dont les défenses immunitaires sont très faibles, n’est-il
pas un risque inconsidéré ? Par ailleurs une société qui se surprotège
devient vulnérable, mais ce n’est qu’une opinion et c’est à vous de juger s’il
faut ou non accepter sans comprendre pourquoi on vaccine dans un pays et pas
dans un autre. Je le dis d’autant mieux que j’ai accepté ainsi pour mes enfants
et que je ne sais toujours pas pourquoi l’une de mes filles a attrapé une
méningite de type mortel après.
Je reste persuadé que la vaccination est
un moyen
D’inoculer ce que l’on veut dans notre
corps
Et qu’il y a des buts qui nous sont
cachés.
Je m’inquiète donc que Bill Gates
S’intéresse à la vaccination
Après avoir dit qu’il faut
Diminuer la population !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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