Dans huit ans, soit 2020, la population musulmane représentera de l’ordre de 15% de la population française si l’on s’en tient aux chiffres publiés par l’INSEE donnant le nombre de musulmans en 2010 et le pourcentage de musulmans (62%) dans le flux migratoire annuel. Cette population aura doublé dans douze ans ! Ces chiffres sont obtenus par déduction sur les pays d’origine des migrants car les statistiques françaises sur l’immigration ne donnent pas d’indications directes sur les religions, contrairement à la plupart des pays européens… nous avons peur des chiffres donc on nous les cache !
Les chiffres INSEE sont minimalistes car ils ne sont représentatifs que de la population officiellement connue. Ce multiculturalisme, imposé à la population de souche depuis plus de deux générations, n’est pas sans conséquence sur la capacité d’intégration massive d’un pays. La France n’a jamais connu un tel pourcentage de mélange des cultures. Elle n’est pas prête à la juxtaposition des cultures, chacune trouvant sa place dans la vie économique et culturelle du pays. Dans certains pays d’Asie, chaque culture ou culte ou caste a son domaine propre d’activité, administration, commerce, artisanat, services à la population. Une hiérarchie sociale s’est établie et est acceptée comme telle.
Ce schéma ne convient pas à notre civilisation occidentale, elle se heurte aux droits de l’Homme et aux principes républicains. Il ne reste que la voie de l’assimilation d’une population immigrée culturellement et cultuellement différente qui procrée plus vite (2/3 de l’augmentation est due à la forte fécondité) que la population de souche qui elle décroît. Il s’agit désormais d’une course contre la montre, car plus cette population musulmane en particulier croît, plus le désir d’intégration s’affaiblit. Certes le fait que les jeunes soient désœuvrés en forte proportion joue un rôle mais la réalité du nombre est celle-là. Si nous n’intégrons pas, et mieux si nous n’assimilons pas cette population plus vite qu’elle ne nait dans notre pays, soit nous aurons un choc des cultures soit c’est notre pays que nous livrerons à cette culture importée.
La porte d’Aix à Marseille ou la ville de Roubaix en sont des signes concrets de l’évolution prévisible qui nous attend. La dernière boucherie roubaisienne ne vendant pas du halal avait déjà disparu mais le dernier boulanger d’origine « souchienne », les époux Delval, a jeté l’éponge l’an dernier après trois incendies de sa vitrine et des menaces, victime d’une véritable omerta. La « voix du Nord » s’en est faite l’écho, la boulangerie Saint-Roch, rue des Ogiers a fermé.
Mais rassurez-vous il reste des boulangeries à Roubaix dans le même quartier de l’Epeule…
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Dbara Aicha née Debara, 161 Rue de l’Epeule, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Les Délices du Machreb, 112 Rue de l’Epeule, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Amari Hadjali, 83 B Rue Pierre de Roubaix, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Amari Hadjali, 83 B Rue Pierre de Roubaix, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Asani Ertan, 150 Rue de l’alma, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Ayate Meftah, 4 Rue de Lannoy, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Belaidi Mouloud, 25 Rue de Tourcoing, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Ayate Meftah, 4 Rue de Lannoy, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Belaidi Mouloud, 25 Rue de Tourcoing, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Beyyoudh Nasreddine, Rue de l’Hommelet, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Boulangerie pâtisserie Kebaili, 222 Rue de Lannoy, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Bounoua Samir, 66 Rue de Mouvaux, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Dali Fatiha née Bourhala, 52 Rue de Cassel, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Boulangerie pâtisserie Kebaili, 222 Rue de Lannoy, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Bounoua Samir, 66 Rue de Mouvaux, 59100, ROUBAIX
Boulanger Pâtissier, Alimentation, Dali Fatiha née Bourhala, 52 Rue de Cassel, 59100, ROUBAIX
Au moins désormais il n’y a plus de problème culturel entre les clients et les commerçants ! Le processus est classique. On commence par demander au commerçant de modifier sa marchandise, puis on le menace de représailles. L’ambiance conflictuelle dans la boutique fait fuir l’ancienne clientèle. S’il ne part pas, on le terrorise et on s’en prend à son outil de travail. Le commerçant part, vend son magasin pour une « bouchée de pain »… repris aussitôt par un commerçant de la culture importée.
Il en est de même avec les centres de villes grandes ou moyennes. Cela touche les commerces et les appartements. Béziers, ville moyenne n’y échappe pas. L’aspect de volonté de non-intégration s’affirme clairement dans les banlieues et quartiers périphériques avec l’implantation de la drogue, de vente d’armes, de trafic en tous genres. Le tout est livré à une mafia qui ghettoïse la population qu’elle nourrit. Le quartier de la Paillade à Montpellier en est une démonstration parmi d’autres.
L’altruisme que la gauche transforme en reculades successives de notre culture laïque et judéo-chrétienne se complète d’une avancée constante des droits d’une nouvelle culture importée. Si les responsables politiques français n’affirment pas haut et fort que l’immigration en France doit répondre à une exigence d’intégration puis d’assimilation en acceptant la langue, la laïcité sans concession et la non-intervention de la religion dans la législation, le visage de la France changera de plus en plus rapidement et inéluctablement. Il est urgent de mettre en œuvre une grande politique d’assimilation auprès des jeunes et de leurs parents par l’école, par l’écoute certes mais par la fermeté des institutions avant que le pays ne voit s’affronter physiquement les communautés.
C’est aux immigrés de s’intégrer et non aux français de le faire.
On ne pourrit pas la vie de son hôte jusqu’à ce qu’il vous laisse sa maison !
Claude Trouvé