LA PREMIERE VICE-PRESIDENTE DU SENAT FRANÇAIS EST ALGERIENNE !!
C’est une première et ce ne sera certainement pas la dernière ! Le sénat ayant basculé à gauche, pour la première fois depuis plusieurs décennies, le Parti Socialiste, vainqueur, a élu son Président. Il est, comme de bien entendu, socialiste.
L’élection de Madame Bariza Khiari au poste de Vice-présidente du Sénat pose déjà une question de fond. En effet elle a la double nationalité, Algérienne et Française. Est-il normal qu’une élue opérant au niveau national puisse avoir la double nationalité ? De plus il s’agit d’une double nationalité hors Union Européenne. Quelle serait sa position en cas de conflit avec l’Algérie ? Quelle indépendance a-t-elle en cas de pressions du gouvernement algérien ?
Le saviez-vous ? Cette information a été tue pour le grand public. La réponse nous est donnée par le quotidien algérien « Liberté Algérie » dans sa rubrique « radar » qui nous donne la primeur de cette information.
"L'Algérienne, Bariza Khiari, proche de Laurent Fabius, a été nommée vice-présidente de la Chambre haute du Parlement."
Qui est Bariza Khiari ?
Elle est née le 3 septembre 1946, dans les Aurès (Algérie). Après ses études, elle obtient un diplôme d’études supérieures (DESS) qui lui permet d’être admise à une formation continue à l’ENA. Elle est mère de trois enfants, conseillère du 16ème arrondissement de Paris et sénatrice de Paris depuis 2004. Ceci prouve qu’elle a la formation requise pour un poste à haute responsabilité politique. C’est bien mais…
Elle est une militante du MRAP (Mouvement contre le racisme et l’amitié entre les peuples qui a fait condamner Brice Hortefeux). Et, aussi, fondatrice du Club XXIème siècle, en 2004, avec Rachida Dati et Rama Yade. [Valoriser l’atout de la diversité pour l’égalité des chances.]
Pour finir et afin de mieux cerner la personnalité de cette toute nouvelle vice-présidente du Sénat Français, Wikipédia nous livre sa déclaration première :
« Je suis musulmane sunnite, de rite malikite et de tradition soufie. Et notre islam est un islam apaisé, ouvert, tolérant, en cohérence avec la tradition laïque française. »
On comprend au passage qu’elle soit une farouche opposante aux « statistiques ethniques », le flou sur ce point est effectivement préférable pour elle.
Le sunnisme est le courant religieux majoritaire chez les musulmans qui représente la ligne de conduite de Mahomet (Coran). « L'apostasie est le plus grand crime en Islam, elle est comparable à la grande trahison dans le droit contemporain, sa punition, s'il ne s'en repent pas, est la mort ». Rassurez-vous elle serait réservée en France à l’apostat « aggravé », celui qui lutte en plus contre l’Islam.
Le malikisme est un courant du sunnisme et l’imam Malik appliquant sans restriction le Coran. Cette école est majoritaire en Afrique du Nord et de l'Ouest; on la retrouve en Égypte, au Soudan et dans certains pays du Golfe (Koweït, Émirats Arabes Unis, Qatar, Bahreïn). Suivie par environ 20% des musulmans, c'est la troisième école en nombre de pratiquants ; en France, elle est la première.
Le soufisme est une quête philosophique et religieuse dans l’Islam spirituel, mystique et ascétique de l’islam. Les interprétations du Coran se réfèrent à Mahomet qui aurait reçu des révélations ésotériques transmises à certains de ses compagnons. Elles ne sont pas uniformes et réparties dans de nombreuses confréries, certaines étant considérées comme déviationnistes.
Le quotidien algérien cite que la première tâche de madame Bariza Khiari sera :
« de s’attaquer à la circulaire de Claude Guéant, durcissant les conditions de séjour des étudiants étrangers après l’obtention de leur diplôme. Elle devrait présenter une proposition de résolution favorisant l’emploi des étudiants étrangers sur le territoire français tout en facilitant les « aller-retour » avec leur pays d’origine. »
On retrouve là les exigences de l’Etat algérien qui insiste lourdement auprès de notre pays, pour cette mesure qui consiste à une libre circulation des algériens vers la France ? Libre circulation sans réciprocité.
On retrouve ainsi cette lente mais continue introduction des musulmans dans la vie politique française et le non-contrôle de l’immigration. Mais une question majeure se pose. Peut-on être élu de la République en possédant une double nationalité ? On voit que c’est la porte ouverte à un conflit d’intérêt et, dans le cas de madame Bariza Khiari, on pressent le poids qu’elle peut avoir sur l’introduction de l’Islam dans la législation française en dehors du fait qu’elle peut accéder au poste de deuxième personnage de l’Etat.
Le cheval de Troie de l’Islam
a déjà ouvert ses portes !
Claude Trouvé