La politique de l’UE est clairement orientée vers l’immigration
devant une situation démographique jugée inquiétante. La réticence instinctive
des populations est soumise à un matraquage politique et médiatique qui chante
les vertus du multiculturalisme. En filigrane ceci s’appuie sur la
stigmatisation du racisme, et la culpabilisation du colonialisme, dont les
supports se veulent être les marqueurs de la gauche. On oublie vite que des
figures emblématiques de la gauche ont fait preuve d’un racisme qui les
conduirait devant la justice aujourd’hui. Jaurès n’hésite pas à écrire dans
l’Humanité du 28 juin 1914 : « Il n’y a
pas de plus grave problème que celui de la main-d’œuvre étrangère. »
Plus concrètement l’argumentation démographique révèle
que le taux de natalité de l’UE à 28 est de 10,0 pour 1000 habitants et le taux
de mortalité supérieur à 10,3. Sur le graphique présenté ici donnant les
évolutions des populations européennes entre 2007 et 2016 ainsi que de 2015 à
2016, on constate que la population de l’UE (carré vert) ne cesse de croître
Elle augmente en moyenne de 0,26% par an. L’apport ne peut donc qu’être dû à l’immigration
qui fait plus que compenser la baisse de la natalité par rapport à la
mortalité. On constate ainsi que la désinformation ne cesse de nous abrutir. L’Europe n’est pas en train de voir
disparaître sa population mais son identité. L’immigration, nourrie par un
transfert de population du sud vers le nord, est en train de remplacer
progressivement la population issue du XXème siècle.
L’Allemagne illustre pleinement ce phénomène, car d’une
situation de décroissance jusqu’en 2011, elle a recommencé à croître par un
apport migratoire particulièrement important en 2015 et 2016. Entre 2010 et
2011, l’Allemagne a vu sa population diminuer de 1,58 million d’habitants soit
près de 2% de sa population. Ceci veut dire qu’un apport constant de l’immigration
est nécessaire pour pallier la baisse de natalité de la population autochtone.
On comprend ainsi la raison de l’apport de 1 million de migrants décidé par
Angela Merkel. Le problème est que la situation de l’Allemagne ne reflète ni
celle de l’UE, ni celle de la France. La raison du mensonge de l’UE tient à d’autres
raisons. La première est le dumping social voulu par les grandes sociétés en
particulier et dont profite le monde entrepreneurial. La seconde lui est liée
et cherche à briser les identités culturelles qui créent plus facilement des
forces d’opposition. C’est la globalisation voulue par l’élite mondiale avec la
banalisation de l’espace et des hommes, plus aucune frontière à l’argent et au
profit, et un seul peuple servile. Mais cette politique vise aussi à long terme
à faire disparaître la population mondiale par son appauvrissement. En plus du remplacement
en cours, l’appauvrissement crée les guerres et les maladies destructrices d’autant
plus qu’on les attise par l’ingérence créatrice de guerres civiles, l’alimentation,
les vaccins et les médicaments aux effets secondaires nocifs.
L’examen du graphique ci-contre nous montre que les
politiques vis-à-vis de la démographie sont très différentes d’un pays à l’autre.
Le Luxembourg offre des emplois très bien rémunérés et sa population ne cesse d’augmenter,
à l’inverse des pays comme la Lituanie, la Lettonie, la Roumanie, la Bulgarie,
la Croatie, et la Grèce. Ceux-ci subissent de plein fouet une dégradation de la
natalité et une fuite vers d’autres pays plutôt qu’un apport migratoire. C’est
même le cas de la Pologne et du Portugal dans une moindre mesure. La Hongrie
est typiquement le cas d’un pays qui se ferme sur lui-même en refusant l’immigration
mais qui ne développe pas une politique familiale suffisamment persuasive. Le
cas de l’Italie est symptomatique d’un pays de transit du flux migratoire pour
qui les difficultés économiques aggravent la baisse de la natalité, augmente l’émigration
sans capter réellement une part du flux migratoire. L’Espagne subit brutalement
de même un arrêt de son peuplement. La proximité de Chypre avec la Turquie en
fait un pays d’immigration.
A l’inverse l’Irlande montre son attractivité et récupère une
immigration qui suit sa réussite économique. L’Autriche récupère une
immigration venue de l’Italie et qui n’accède pas à l’Allemagne. Ce pays
prospère se cabre et devient un pays qui se ferme. Malte est au plus près du
flux migratoire. La Suède, le Danemark, la Belgique et le Royaume-Uni appellent
ou subissent une importante immigration qui compense largement le déficit de
natalité des populations autochtones, mais sont en proie plus que nous au
mal-vivre dû à l’arrivée d’une population de remplacement sur le plan de la
sécurité et de l’identité nationale. Ils sont des destinations préférées d’une
immigration économique ou d’un droit d’asile d’une population peu qualifiée. Le
groupe des AELE des pays européens hors UE, la Suisse, l’Islande et la Norvège,
sont les pays riches qui contrôlent ou pas leur immigration mais dont l’attirance
propulse leur démographie au-delà de celle de la population d’origine. L’Islande
est particulièrement remarquable avec un taux de natalité plus élevé qu’en France
et un taux de mortalité deux fois inférieur. C’est la preuve d’un pays qui
croit en son avenir et en sa jeunesse.
Le groupe médian, France, Finlande et Pays-Bas,
représente les pays suiveurs des directives de l’UE. Contrairement à l’Allemagne,
la France a eu une politique familiale plus incitative, qu’elle est d’ailleurs
en train d’abandonner. C’est un pays où l’immigration récente remonte aux
années 50 avec ensuite le coup de pouce du regroupement familial de Giscard d’Estaing.
Elle n’a jamais subi de baisse de sa population. Ces pays se droguent lentement
à la politique d’immigration et de remplacement en récupérant une immigration
peu qualifiée que leur économie ne peut absorber. La Belgique nous devance dans
l’évolution démographique et les problèmes migratoires. Le graphique ci-contre
résume l’évolution des principaux pays de l’UE. On voit nettement le décollage
de l’immigration en Allemagne et l’augmentation continue des populations
françaises et anglaises avec une immigration constante. Elle est plus forte au Royaume-Uni
qui, si elle ne diminue pas, aura dépassé la population française d’ici trois
ans. L’Allemagne, la France et le Royaume-Uni font plus que compenser la baisse
de population de l’Italie, de l’Espagne et de la Pologne.
Non l’Europe ne se dépeuple pas, mais ses populations
autochtones disparaissent et sont remplacées par une immigration venue du Sud.
Ce mensonge cache une volonté de préférer l’immigration à une politique
familiale comme la France a su le faire. L’Islande montre le chemin à suivre,
et elle n’a pas voulu adhérer à l’UE. Cette politique est celle de l’élite
mondiale qu’élaborent les grands banquiers juifs, la Franc-maçonnerie et le
Pape qui baise même la main des grands banquiers. L’ostracisation du racisme
pour faire adhérer au multiculturalisme, les guerres qui alimentent le flux
migratoire, les attaques à notre santé, et la politique d’austérité sont les
leviers de la politique du NOM qui, pour montrer le seul chemin possible, manie
la peur du surpeuplement, de la fin des ressources minières, et du réchauffement
climatique. Tout est mis en œuvre pour la mise sous servage et l’élimination
progressive de la population du monde unipolaire.
La nécessité d’accueillir
la misère du monde,
Le dépeuplement imaginaire
de l’Europe
Ne sont que des arguties
destinées
A nous mener par le
bout du nez !
Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon
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