Les
grands mouvements écologiques font une pression mondiale sur les États par le
biais de l’ONU et sur les populations par une propagande orchestrée par des « associations »
mondiales et ONG, comme le WWF. Ceci a induit dans de nombreux esprits que l’écologie
était indispensable à la survie de l’homme sur la planète. Mais un certain
nombre d’actions de l’écologie prennent une allure fascisante qui pose la
question suivante : l’écologie est-elle au service de l’homme ou de la
nature ? Lorsque l’on remet des loups et des ours dans nos montagnes,
est-ce pour l’homme ou pour la nature ? Les bergers ont clairement affiché
leur désapprobation car il s’agit bien là de protéger la nature et non l’homme.
L’antagonisme entre les chasseurs et les mouvements écologiques est assez
intéressante. Elle oppose un groupement d’hommes, le plus souvent de la terre,
dont l’éthique est (ou devrait être) justement la régulation de la faune au
profit de l’homme, à un groupe idéologique qui prétend assurer la survie des
espèces. Si chasser est aussi un loisir, le chasseur est bien utile lorsqu’il s’agit
de disperser des hordes de sangliers qui dévastent les cultures. De l’autre
côté écologique l’argumentation de survie des espèces tient peu lorsque l’on
sait que l’homme du Moyen-âge a eu du mal à se protéger des loups. Par ailleurs
les espèces animales du crétacé n’ont pas survécu aux changements climatiques
de la planète et personne ne peut dire s’il y avait plus ou moins d’espèces que
maintenant.
Si l’homme
de la terre regarde l’écologie avec son bon sens, l’homme urbain est sensible à
l’aspect écologique car il s’est lui-même créé un espace de vie qui cumule des
nuisances et est prêt à tout admettre ou presque pour les éliminer. Le bruit,
les odeurs, la promiscuité, la pollution l’agressent. Toutefois la diminution
des nuisances n’a rien de nouveau et n’est que la continuation de la lutte de l’homme
pour et contre le progrès. Si éviter toute nuisance avait prévalu sur les
nuisances de la combustion du charbon, la machine à vapeur n’aurait jamais vu
le jour. Le problème est que l’homme seul ne sait pas toujours ce qui l’agresse.
Même le bruit peut être indétectable, comme les infrasons produits par les
éoliennes. Il est donc « éduqué » par les gouvernants qui prennent ce
qui leur semble bon (c’est-à-dire à leur réélection) dans les études scientifiques
triées qu’on leur donne à connaître. C’est le cas de la pollution due aux moyens
de transport. En fait la lutte est centrée essentiellement sur la pollution en
gaz carbonique, mais le gaz carbonique n’est absolument pas nuisible à l’homme
aux teneurs où il est mesuré à 0,04% en moyenne dans l’atmosphère. La pollution
est dans les particules ultrafines rejetées et dans d’autres gaz dont l’oxyde d’azote.
Il a
fallu faire rentrer dans la tête des gens que l’important était la lutte contre
le CO2, pourtant non nuisible pour l’homme. Pour retomber sur ses pieds l’écologie
soutient que le réchauffement climatique lui est dû. Donc l’homme est coupable,
le réchauffement est d’origine anthropologique. Pour l’instant aucune prévision,
faite il y a vingt ans par la centaine de modèles mathématiques prévoyant une
hausse sensible de la température moyenne du globe mesurée par satellite, ne s’est
avérée exacte aujourd’hui. Les scientifiques climato-sceptiques sont de plus en
plus nombreux mais leurs travaux de plus en plus négligés, non médiatisés et
non subventionnés. La doxa du réchauffement, et du catastrophisme climatique, n’admet
aucune contestation et entraîne des choix économiques et des décisions
autoritaires. La Maire de Paris interdit certaines voies de communication
impactant toute la circulation périurbaine et déplace le problème de la
pollution ailleurs avec comme conséquence un bilan total de pollution qui ne
peut être que plus mauvais vu les embouteillages qu’elle crée. Evidemment un
certain nombre de parisiens vont être heureux de « piétonner » sur
des voies de berge et la force des images médiatiques font le reste pour
justifier une initiative politique contestable. On est pourtant dans l’écologisme
fasciste, celui où la contestation n’est plus admise et ceux qui la manient
sont des « cons ».
Mais
cela va plus loin lorsque l’on parle de la population du globe. L’idée de
surpopulation est aux origines de l’écologie dont l’idée a été promue sous l’Empire
britannique, ce que peu de monde sait. Elle est même issue de l’oligarchie britannique,
oligarchie que l’on retrouve aujourd’hui au sein même de la politique mondiale
contre le réchauffement climatique. En effet Jeffrey Steinberg, un des
collaborateurs de l’économiste américain Lyndon LaRouche qui a participé à la
rédaction du rapport spécial de l’Executive Intelligence Review (EIR) sur les
enjeux cachés du sommet climatique COP21 de Paris, révèle une vérité qui
dérange. Car en vérité, le mouvement écologique mondial, qui promeut le
catastrophisme climatique actuel, n’est pas un mouvement humaniste agissant
pour le bien des générations futures, mais la énième métamorphosée d’un vieux
courant oligarchique eugéniste !
Après
la deuxième guerre mondiale et l’eugénisme nazi, la monarchie britannique
entreprit de rénover ces politiques de « science des races » et de génocide qui
avaient conduits à l’euthanasie des « inaptes » et aux camps de la mort. Sir
Julian Huxley, président de la Société eugénique britannique, utilisa sa
position de premier directeur général à l’UNESCO (organisation éducationnelle,
scientifique et culturelle des Nations unies) pour favoriser ce renouveau. Mais
la Société eugénique britannique n’a jamais été dissoute. Tout comme le parti
nazi d’Hitler avait ses racines dans la contre-culture écologiste des années
1920, le nouveau mouvement eugénique allait naître d’une série d’organisations
environnementalistes mises sur pied par les agents de Sa Majesté. A ce jour,
ces organisations restent les principaux promoteurs, au niveau mondial, de
politiques qui, au nom de la « protection de la nature », pourraient provoquer
un génocide. Comme le transhumanisme à la sauce Google de nos jours,
l’eugénisme se présentait initialement comme une science nourrie d’apports
scientifiques multiples.
Ce n’est rien de
nouveau pour la Couronne britannique. Le culte de la race promu par Hitler, son
programme de génocide, ainsi que le fait de faire passer la protection de la nature
avant le progrès de l’humanité, sont des idées qui ont été conçues à Londres
dans la seconde moitié du XIXe siècle, en particulier grâce à des individus
comme Charles Darwin, Thomas Huxley, Francis Galton, Herbert Spencer et Arthur
Tansley, qui ont tous œuvré à la promotion d’une forme extrême de génocide
malthusien. C’est ainsi que Spencer, copiant Darwin sur la société humaine,
développa le concept de « survie du plus apte ». C’est l’Essai sur le
principe de la population, publié en 1798 par Thomas Malthus (1766-1823), qui
servit de base aux travaux de Darwin, Spencer, Huxley, Galton et Tansley. Ce
dernier est le premier à parler d’« écologie
», plaçant la préservation du système écologique au-dessus de la nature
créatrice de l’homme. Enfin, pour le cousin germain de Darwin, Galton,
l’eugénisme est conçu comme une approche « scientifique » à l’abattage sélectif
des « nuisibles » du troupeau humain. Mais plutôt que d’éliminer les « inaptes
», il propose de ne laisser naître que des individus « aptes » à la survie !
Dans
chaque cas, le but commun de toutes ces idées folles et anti-humaines était de
justifier la réduction de la population, afin de préserver un système de
pouvoir oligarchique éternel. C’est pourquoi il faut comprendre l’évolution de
l’écologie jusqu’à nos jours et comment d’un groupe d’oligarques l’écologie a été transmise à la population de la planète
tout en gardant les traces du fascisme et de l’eugénisme originels. Nous le
verrons dans le prochain article.
La puissance des médias décuple la
propagation d’idées planétaires
La puissance de l’argent n’est plus
contrebalancée par le bon sens
La multiplication des sources d’information
nous génère du bruit
Mais dans celui-ci les tambours de la
ploutocratie mondiale
Finissent seuls à se faire entendre et à
nous assourdir !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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