Nicolas
Sarkozy choisit le terrain de campagne où il entraîne ses adversaires n’hésitant
pas à dire aujourd’hui le contraire de ce qu’il disait hier. D’une façon inattendue
de la part de celui qui a entériné les accords de Grenelle sur l’écologie, le
candidat à la Présidentielle a relancé le débat sur l’origine anthropologique
du réchauffement climatique assortissant cela d’une preuve par l’histoire
climatique faite de périodes avec des variations de température plus
importantes encore que celles observées depuis la fin du 20ème
siècle. Ce revirement, tout politique qu’il soit pour contrarier Hollande et
son show de la COP21, oblige ce dernier à réagir. Les propos de Hollande sont inquiétants
car non seulement celui-ci redonne son approbation à la lutte contre le
réchauffement climatique, donc selon les théories mondialistes à la lutte
contre le CO2 d’origine humaine (notre respiration exceptée), mais il fait un
procès aux scientifiques eurosceptiques. C’est le procès de Galilée. Évidemment
les scientifiques climatosceptiques sont aussi reconnus et diplômés que ceux du
groupe Giec. Il y a même parmi eux le gratin des climatologistes dont Richard Lindzen, considéré comme l'un des plus éminents climatologues de la planète et qui a enseigné la Physique de l'Atmosphère pendant près de trente ans au MIT, jusqu'en 2013.
Aucun
élément scientifique ne permet d’affirmer que le réchauffement climatique
observé depuis une quarantaine d’années dans la fin du siècle dernier soit
destiné à continuer et même depuis 2002 la pause du réchauffement fait l’objet
du terme « hiatus climatique » parce qu’on ne sait pas expliquer
pourquoi ceci ne correspond pas aux prévisions données par la centaine de
modèles mathématiques pratiquées par différentes équipes de recherche et dont
les travaux sont consignées par le Giec. Il faut rappeler que dans les années
70, des scientifiques se sont épanchés dans les médias, qui en ont fait leur
Une, sur l’époque glaciaire qui nous menaçait. Auparavant j’ai connu dans ma
jeunesse une période particulièrement chaude où j’ai subi en France des
températures de 42°-43°. Si 2016 va probablement égaler la température de 1998,
cela ne permet aucune déduction ni sur la réalité du réchauffement ni sur son
origine. Par ailleurs certains États ont pris des distances par rapport à la
théorie officielle du réchauffement et pas des moindres. C’est le cas de l’Australie,
pays écologique par excellence. Il est donc honteux de faire un procès en
sorcellerie aux scientifiques de très haut niveau qui publient des travaux
mettant en cause la théorie officielle.
Une
scientifique russe, climatologue et mathématicienne, vient de publier dans la
revue scientifique « Nature », la plus cotée, les résultats d’une étude
sur les taches solaires. Elle y démontre le mécanisme d’apparition et de
disparition des tâches solaires, et son lien avec les changements climatiques.
Cette découverte permet de prévoir l’évolution des tâches solaires. Nous sommes
dans une période où celles-ci sont en faible nombre et cela va se poursuivre. Elle
en déduit que nous allons vers une période froide où d’autres facteurs
moduleront la tendance générale comme les éruptions volcaniques mais aussi le
comportement de la terre sur son orbite autour du soleil. Traiter de charlatan
des scientifiques honnêtes et qui publient de bonne foi, est insultant et
impropre… à la limite ils sont dans l’erreur et c’est à leurs confrères de le
dire et pas à Hollande ou à Kosciusko-Morizet qui les prend pour des cons. La
science a toujours marché ainsi et c’est souvent de l’erreur qu’a jailli la
lumière, comme le montre bien l’histoire de la tarte Tatin.
Hollande
ne respecte même pas les valeurs fondamentales de l’humanité dont la science et
la connaissance font partie. Les scientifiques qui ont mesuré le carbone sur
les carottes glaciaires ont alimenté un temps les convictions du lien entre la
température du globe et la teneur en carbone. Ils ont donné le coup d’envoi à
une hypothèse d’un réchauffement climatique en cours qui serait aidé par le
carbone émis par l’homme. Mais des études postérieures ont montré que les pics
de température ont précédé les pics de CO2 et non les ont suivi. La preuve du
lien est donc tombée à l’eau… glacée. On s’est retourné vers la fonte des glaces
au pôle Nord, le plus connu. La surface de glace y a diminué depuis les années
1980 mais depuis 2012 elle se reconstitue alors que la teneur en CO2 n’a pas
diminué. Par ailleurs en 2012 on annonçait qu’en été la glace aurait totalement
disparu en 2015-2016. Ce n’est évidemment pas le cas et le tonnage de glace en
août 2016 est nettement plus élevé que celui de 2012 sans atteindre toutefois la
moyenne des années 1980-2000. On ne peut donc rien affirmer d’autant que le
volume de glace dans l’Antarctique ne cesse d’augmenter.
On s’est
rabattu sur le niveau des mers qui allait provoquer des catastrophes
humanitaires effroyables. Oui le niveau monte de 1,5mm par an depuis que l’on
mesure celui-ci soit plus de deux siècles et cela de façon régulière et
continue qui n’a aucun lien avec la variation du taux de CO2. Depuis deux siècles
l’homme s’y adapte comme les Hollandais avec les polders. Enfin on présente l’image,
vérifiable par tous les amoureux de la montagne, du recul des glaciers en
Europe. La mer de glaces du Mont-Blanc recule et c’est facilement mesurable.
Ceci n’est pas vrai dans l’Himalaya et j’apprenais que les glaciers français
reculaient sur les bancs de l’école il y a soixante-dix ans. Les scientifiques
charlatans sont soit de faux diplômés, soit des scientifiques achetés par ceux
qui détiennent le pouvoir de l’argent, mais tout cela se sait très vite dans le
monde scientifique restreint des spécialistes et le flux d’argent alimente en
priorité ceux qui viennent étayer la thèse officielle.
Alors
les charlatans qui ne sont pas idiots publient ceci et attendent qu’on leur
prouve le contraire :
« • Le paradis climatique originel n’a jamais
existé. Le climat a toujours fortement changé, à toutes les échelles de temps
et d’espace, et de façons très diverses. Parler de « dérèglement climatique »
n’a donc aucun sens : il n’existe pas de « règlement climatique ».
• Il n’y a aucun emballement des
températures. Après un épisode de refroidissement (le Petit Âge glaciaire) qui
s’est achevé au milieu du XIXe siècle, la Terre est entrée dans une période de
réchauffement modéré. Les températures actuelles sont comparables à celles d’autres
époques récentes(optimums minoen, romain et médiéval). L’évolution actuelle,
modeste, ne suit pas celle des émissions de gaz à effet de serre. Ainsi, au
XXIe siècle, nous n’avons connu pratiquement aucun réchauffement (hormis un pic
récent en 2015-2016 dû à un phénomène naturel, El Niño, qui est en passe de se
dissiper), alors que les émissions de gaz à effet de serre n’ont jamais été
aussi importantes.
• La hausse du niveau marin est très
régulière depuis plus d’un siècle, comme le montrent aussi bien les mesures des
marégraphes que celles des satellites. Au XXe siècle, nous n’avons eu aucun mal
à nous adapter à une hausse d’environ 20 cm. Au XXIe , nous saurons aisément
faire face à une hausse comparable.
• Les événements météorologiques ne sont
ni plus extrêmes ni plus fréquents. L’intensité cyclonique des dix dernières
années a même été exceptionnellement basse aux États-Unis. Les surcoûts de
certaines catastrophes naturelles tiennent à la démographie et à l’urbanisation
sauvage en zones à risques, notamment dans les pays les moins développés.
• La banquise est loin d’avoir fondu,
contrairement aux alertes récurrentes sur le sujet. En Arctique, le plus bas
estival de 2016 a encore été de plus de 4 millions de km2 de glace. La tendance
baissière qui s’observe demeure toute relative. D’autre part, autour de
l’Antarctique, la tendance est à la hausse, avec un record absolu établi en
2014 (plus de 20 millions de km2 ).
• Le CO2 n’est présent dans l’atmosphère
qu’à l’état de trace. Il est passé en un siècle de 0,03% à 0,04%. C’est en
réalité la vapeur d’eau qui est, de très loin, le principal gaz à effet de
serre. Son rôle, notamment au travers des nuages, est l’une des grandes inconnues
du système climatique.
• Le CO2 est l’exact contraire d’un
polluant : c’est le gaz de la vie ! Il y a d’excellentes raisons de vouloir
limiter les émissions polluantes, mais le CO2 n’a rien à voir avec la
pollution. Non seulement il ne présente aucun risque pour la santé publique aux
concentrations actuelles ou futures, mais il est absolument indispensable au
développement de la végétation terrestre et maritime. Les agriculteurs qui
l’utilisent dans leurs serres le savent bien. Les images satellites ont même
montré en 2016 que la Terre a gagné en seulement 30 ans l’équivalent d’un
nouveau continent vert, principalement grâce au CO2 supplémentaire dans
l’atmosphère !
• Les prévisions alarmistes ne se sont
pas réalisées. Beaucoup de travail reste à faire pour disposer d’une théorie
fiable du climat, mais aussi pour valider les modèles climatiques, qui sont
trop récents pour avoir jamais pu faire la preuve de leur capacité à prévoir le
climat à l’échelle de 50 ou 100 ans.
• Le consensus affiché sur un «
dérèglement climatique d’origine humaine » n’existe pas. De nombreux
scientifiques de premier plan expriment leurs réserves sur la théorie promue
par le GIEC , et ont publié des centaines d’articles dans des revues
scientifiques. En France, plusieurs membres de l’Académie des Sciences ont
exprimé leurs doutes, tels que Claude Allègre, Vincent Courtillot, Catherine
Bréchignac ou encore Paul Deheuvels.
• Les coûts de la politique climatique
sont pharaoniques et sans effet. Cent milliards d’euros à lever annuellement
rien que pour le « Fonds vert », des politiques de transition énergétique
intermittente coûteuses, complexes et perturbatrices, du temps et de la matière
grise mobilisés dans quantité d’actions diverses… tout ça pour des effets
hypothétiques dérisoires selon les propres modèles utilisés à la COP21 : une
limitation de 0,2°C de la hausse des températures en un siècle. C’est à peine
plus que l’épaisseur du trait.
• Il n’est de développement durable
qu’économiquement viable. L’électricité est un vecteur indispensable du
progrès, de la santé et du confort. Trois milliards de personnes en sont
aujourd’hui privées, et la politique climatique actuelle a pour effet de les
empêcher d’y avoir accès à un coût raisonnable. Selon l’OMS ,plus de quatre
millions de personnes meurent chaque année de maladies respiratoires causées
par l’usage de foyers polluants (bois, bouses…). Plus près de nous, la
transition énergétique a alourdi de 5 milliards d’euros la facture
d’électricité des Français en 2016. Ce surcoût sera doublé d’ici 5 ans.
• Le grand public n’adhère pas à
l’alarmisme climatique. Malgré les efforts incessants de promotion de la «
cause climatique », un Français sur trois s’est déclaré climato-sceptique dans
une enquête du ministère de l’Écologie de 2013. Selon un sondage de l’ONU en
2015, la question climatique arrive bonne dernière dans la liste des centres
d’intérêt des citoyens. Tout cela indépendamment du pays, de l’âge, du sexe et
du milieu social. Les trois préoccupations majeures sont partout les mêmes :
éducation, emploi, santé. » (Association des climato-réalistes)
On devra au moins à Nicolas Sarkozy d’avoir
mis les pieds dans le plat.
Le réchauffement climatique va peut-être
sortir de la politique
Pour entrer dans le débat scientifique
indispensable
Qu’il n’aurait jamais dû quitter si l’argent
Des points carbone et des lobbies
Ne l’avait pas accaparé !
Claude
Trouvé
Coordonnateur
MPF du Languedoc-Roussillon
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