L’idéologie européenne, qui
est l’un des fleurons de la « pensée unique », nous construit une
Europe unitaire, centralisatrice et technocratique en dehors de toute réelle
décision des peuples. Nous sommes devant une marche, dite irréversible, qui
fait de plus en plus fi de la démocratie. Il en est de même de l’un de ses
instruments favoris, la monnaie unique, dont l’abandon nous vouerait aux pires
catastrophes.
Ce serait en effet
catastrophique pour certains, pour ces élites européennes et ces lobbies
occidentaux à forte majorité américaine qui influent eux-mêmes sur la politique
des Etats-Unis. Ce sont les promoteurs de la mondialisation et de la
gouvernance mondiale dont la construction de l’Europe s’est faite sous une
dépendance originelle avec les USA. L’idéologue fondateur, Jean Monnet, a, dès
l’origine, travaillé en étroite collaboration avec le Département d’Etat
américain. Il n’est que de lire l’article J4 du traité de Maastricht pour s’en
persuader. Celui-ci prévoit explicitement la subordination extérieure et de
sécurité commune aux orientations de l’OTAN. C’est pourquoi la politique
européenne est accrochée au libre-échange des biens et des services, à la libre
circulation des hommes et des capitaux.
Cette politique creuse les
inégalités entre les peuples. On constate que l’Europe dans son ensemble est en
recul permanent sur son taux de croissance et de plus en plus à la traîne des
pays développés et même émergents des autres continents. De plus la libre
circulation des hommes concerne tous ces hommes influents du business, de la
politique, ceux qui parcourent le monde mais pas le reste du peuple qui ne voyage
que peu ou pas du tout hors des frontières de leur nation et en tous cas guère
plus qu’avant. Ceci a pour conséquence de créer un clivage social entre le
peuple de la classe moyenne ou défavorisée et cette élite qui se sent plus
proche des élites étrangères, par son mode de vie, sa façon de penser, que de
ses propres congénères. La libre circulation des capitaux a tendance à projeter
ceux-ci dans les endroits du monde, où ils fructifient le mieux, et participe
ainsi aux délocalisations et à l’augmentation du chômage.
A cette mondialisation qui convient à la grande finance et aux Etats-Unis, qui tiennent l’Europe sous contrôle, qui l’engage dans les conflits à sa convenance et manipulent sa monnaie pour ne jamais risquer une trop forte concurrence, vient s’ajouter la perte de démocratie, la perte de souveraineté, la destruction de la famille. L’éloignement de cette élite par rapport au peuple, la manipulation d’une technocratie bruxelloise, qui vit de l’Europe, rend de plus en plus encombrant le recours au peuple. La prise en main, qui devient totalitaire, par ce complexe élites-lobbies-technocrates, du destin de l’Europe, nécessite la disparition de la Nation. Les pertes de souveraineté se succèdent pas à pas devant un peuple anesthésié, drogué à la pensée unique.
A cette mondialisation qui convient à la grande finance et aux Etats-Unis, qui tiennent l’Europe sous contrôle, qui l’engage dans les conflits à sa convenance et manipulent sa monnaie pour ne jamais risquer une trop forte concurrence, vient s’ajouter la perte de démocratie, la perte de souveraineté, la destruction de la famille. L’éloignement de cette élite par rapport au peuple, la manipulation d’une technocratie bruxelloise, qui vit de l’Europe, rend de plus en plus encombrant le recours au peuple. La prise en main, qui devient totalitaire, par ce complexe élites-lobbies-technocrates, du destin de l’Europe, nécessite la disparition de la Nation. Les pertes de souveraineté se succèdent pas à pas devant un peuple anesthésié, drogué à la pensée unique.
Le lien ancestral qui forme
l’identité nationale, ce sentiment de cohésion entre les individus, est
systématiquement détruit. La commune est visée de la même façon par
l’encouragement des communautés urbaines. Ce lien local fort se distend dans
de nouvelles « seigneureries » dont le fonctionnement échappe aux
administrés et pouvant dériver aisément vers des abus. Plus personne n’en
conteste le bien-fondé et le peuple n’est plus convié à le remettre en cause.
Le multiculturalisme en rajoute une couche en brouillant les repères
linguistiques, religieux, historiques et en alimentant un racisme du peuple qui
en vit quotidiennement les difficultés, racisme jugé condamnable, tout en
parant les élites des quartiers aisés d’un antiracisme de bon aloi.
Il en est de même de la
famille, qui voit ses fondements remis en cause. Personne ne sait plus très
bien la différence entre le mariage, le mariage pour tous, le PACS, ni la nécessité
de remettre en cause la diminution constitutionnelle du mariage. La famille se
déstructure et l’enfant est convié à s’y adapter dans un sentiment d’égoïsme
parental. Même le sexe physiologique en remis en cause par la théorie du
« gender » qu’il est bon de connaître si l’on ne veut pas passer pour
un « ringard ».
L’Europe s’ingénie à
détruire les repères pour disposer de peuples, shootés à l’individualisme, devenus
de ce fait d’autant plus malléables, et finalement restreint la liberté des
peuples, les rabaisse au rang de serfs corvéables. Le système bruxellois a
montré la preuve de son idéologie avec la non-prise en compte de la volonté
populaire des Français et des Hollandais après le vote sur la Constitution
européenne. L’idéologie dispense d’être à l’écoute puisque son principe de base
est que les élites savent ce que le peuple ne sait pas. C’est pourquoi
l’idéologie européenne s’est donné pour mission de :
Eradiquer du peuple ses « restes de barbarie »,
Le chauvinisme, le passéisme, le protectionnisme,
Le moralisme d’un autre âge, pour un progrès de civilisation
Que les élites sont seules à pouvoir percevoir.
Claude Trouvé
Coordonnateur du MPF du
Languedoc-Roussillon
cela devient grave!!!!!!!!!!!!
RépondreSupprimercordialement
thizy