Le nouveau président, son gouvernement et la nouvelle Assemblée,
largement adoubés à plus de 93% par la communauté des immigrés à large majorité
musulmane, accélère le processus de désintégration de la nation. La nécessité
du fédéralisme, notion habilement cachée lors des élections, s’introduit dans
le discours présidentiel pendant que les premiers décrets et lois vont dans le
sens du laxisme et du favoritisme du multiculturalisme pour ne pas dire autre
chose.
C’est une accélération de la disparition de l’Etat-nation et
une ouverture à l’arrivée de français non assimilés, voire non intégrés si l’on
en croit les récentes déclarations de Manuel Valls qui veut accélérer les
naturalisations. Le vote des étrangers n’en est que la partie visible mais l’immigration
ne diminuera pas. Nous continuerons à accueillir une population venant principalement
du Maghreb dans un pays où le chômage augmente et le pouvoir d’achat baisse.
Quel en est la raison alors ? Si nous n’avons plus de
réel besoin de main-d’œuvre, sauf cas particuliers souvent ponctuels et limités
dans le temps, c’est que nous poursuivons un autre but. On en trouve une partie
d’explication économique dans nos accords avec l’Algérie. Nous facilitons cette
émigration pour des raisons de sécurité d’approvisionnement d’énergie
pétrolière. Mais la raison fondamentale est cette poussée de l’influence de l’islam
dans les décisions gouvernementales. L’arrivée de musulmans aux plus hautes responsabilités
de l’Etat n’y est évidemment pas étrangère.
Lorsque cette religion sera la première religion de France,
comme elle l’est déjà dans le monde, la république modifiera sa constitution
pour la rendre compatible avec la charia. Nous y allons de plus en plus vite au
rythme de la fécondité et du prosélytisme. Les voix de ceux qui crient au loup
sont étouffées et il faut aller s’exprimer à l’étranger pour ne pas encourir
les foudres de la justice par le biais des MRAP et SOS racisme.
C’est ainsi que 7 islamologues réputés ont écrit en
octobre 2009 au gouvernement italien pour lui demander d’intervenir sur la France !
On croît rêver d’en arriver là mais c’est ainsi car la conquête de Rome avait
été évoquée au congrès de l'UOIF (Union des Organisations Islamistes de France).
L'UOIF venait de prendre les rênes de la Fondation
des œuvres de l'islam de France, créée par Dominique de Villepin (liée à la
Caisse des dépôts afin d'assurer le financement des mosquées).
Ces islamologues se sont mobilisés afin de demander l'arrêt de toute collaboration gouvernementale avec un mouvement issu des Frères Musulmans. Première étape, alerter les autorités italiennes nommément visées par une stratégie de conquête "soft". Voici des extraits de cette lettre.
« Lors de la 26ème
Rencontre des musulmans de France, qui a eu lieu des 10 au 13 avril 2009, au
Bourget, le « docteur » Tareq Suwaidan, invité à donner une
conférence sur Le Prophète
Mohamed : un modèle pour l’humanité, a expressément enjoint la
nombreuse assistance à ne pas oublier une prophétie de Mahomet, fondateur
de l’islam.
Il s’agit d’un propos du dit prophète rapporté
par ses compagnons dans le Hadîth (Tradition islamique ou Sunna), source
majeure, après le Coran, de la Charia (Loi islamique). Mahomet aurait en effet
annoncé que la conquête de Rome suivrait celle de Constantinople, première
prophétie déjà réalisée en 1453 dans un bain de sang comme vous le savez. […]
Venant de ce « docteur » soutenant
ouvertement le Hamas et appelant à supprimer Israël, il y a de quoi
s’inquiéter.
[…]La majorité présidentielle actuelle, par le
biais des mairies gérées par ses membres, a facilité l’acquisition de terrains
en vue d’édification de Grandes mosquées, dans les villes de Bordeaux,
Mulhouse, Woippy et bien d’autres. Des terrains publics mis à disposition
souvent sans contrepartie de loyers, quand il ne s’agit pas de financements
directs des parties « culturelles ». L’opposition socialiste use des
mêmes procédés, notamment à Nantes et à Poitiers, ville symbolique. »
La
conclusion de cet aréopage de spécialistes est on ne peut plus explicite sur le
danger évoqué.
« Nous nous
adressons à l’Italie pour deux raisons :
- Parce que nous
avons l’impression de crier dans le désert, en écrivant des milliers de pages,
en intervenant dans les médias pour un résultat nul, tout en prenant des
risques évidents.
- Parce que, étant
Européens de langue latine ou Chrétiens arabes d’Orient, Rome est pour nous une
des sources de nos racines en plus d’abriter le Vatican, clairement visé par
ces islamistes.
Pour toutes ces
raisons, nous espérons que vous saisirez la gravité de la menace pesant sur
notre civilisation commune et que vous interviendrez auprès du gouvernement
français afin de lui demander s’il compte laisser les islamistes fomenter
tranquillement l’invasion de votre territoire, déjà entamée à en juger la
prière publique sur la place Vittorio
Emmanuele à Rome le 20 septembre dernier. »
Ce qui se disait en
2009 se confirme en 2012.
Que sera notre pays en
2017 ?
Faudra-t-il alors
sortir de l’Europe pour se faire entendre ?
Claude Trouvé
Coordonnateur MPF du Languedoc-Roussillon