Nous
sommes entrés, en France et dans le monde, dans le gouvernement par la peur. Notre
santé, notre sécurité et notre environnement sont en danger, et le mal doit
être traité mondialement pour qu’il puisse être traité localement. Des pouvoirs
mondiaux assignent aux Etats la conduite à tenir et inculquent aux peuples un
effet de peur et de panique contrôlée pour ne pas aboutir à des désordres
sociaux incompatibles avec l’autorité nécessaire des responsables mondiaux, et
par délégation, locaux. Tout évènement sécuritaire est traité par des lois
sécuritaires renforçant le contrôle sur le peuple, tout danger médical prend
une dimension planétaire qui nécessite d’appliquer des mesures immédiates
applicables par persuasion ou par législation. Le climat, comme la santé, est
par définition planétaire. On peut donc créer la panique écologique générant une
peur justifiant des actions dans tous les pays du monde.
Justifiées
ou pas ces peurs sont désormais un mode de gouvernement local et mondial.
Brandon Smith, économiste, parle de nouvelle logique du sectarisme
mondialiste : «…Regardons
cela de cette façon : si la panique écologique est le déclencheur primaire
de l’effondrement, des guerres et de la mort de la société industrialisée, les
élites peuvent échapper à tout blâme. Ce sont elles, après tout, qui
essaient de nous sauver de nous-mêmes par l’introduction du contrôle des
émissions de carbone, pour ne pas mentionner l’idée de contrôle de la
population… Si le changement climatique et la panique écologique deviennent des
vérités enracinées au sein de notre cadre social, littéralement toute
horreur pourra être justifiée.» Nous
sommes devant une idéologie basée sur le désir de dominer les autres et le
besoin de se sentir personnellement supérieur, idéologie incontestable par
autosuggestion prenant ses sources dans des informations transmises et
invérifiables. Cela tourne au fanatisme, un élément constituant du
sectarisme, lesquels ne sont pas limités à la sphère du religieux.
Nous errons
loin de la logique et des données empiriques honnêtes dans un monde de pseudoscience
et d’ingénierie sociale en s’appuyant sur une communauté scientifique achetée
puis abusée par des communications politiques édulcorant et travestissant les
publications d’un organisme aux ordres des puissants, le Giec. Je ne peux que
citer les écrits d’un journaliste, The Wolf, tant ils sonnent juste : « Le réchauffement climatique anthropique (dû
à l’homme) est rapidement devenu la justification globale pour
toute politique vers la centralisation mondiale, ainsi qu’un bouc
émissaire pour presque chaque crise majeure : les fusillades de masse, la
montée d’ISIS et jusqu’aux changements géopolitiques dans les structures
économiques. Le réchauffement climatique a été projeté comme une force magique
responsable de tout. Il est présenté par les scientifiques du climat et
les militants comme un monstre qui englobe les causes et les effets, et la
quasi-totalité de cette pontifiante élite soutient frénétiquement cette idée
avec la force de la foi, plutôt que par des données formelles. »
La preuve est que plus le temps passe, plus la
réalité s’éloigne des prévisions climatiques catastrophiques et plus la
transparence sur les données brutes ayant servi aux prévisions devient opaque. Chaque
fois que la question des données devient une affaire publique et que la
pression monte, les scientifiques du climat perdent simplement les
données brutes originales, et une fois encore, nous sommes invités à les croire
sur parole : « Les possibilités de stockage des données dans
les années 1980 ne nous ont pas permis de garder les multiples sources
pour certains sites, mais seulement la série de la station après ajustement
pour des problèmes d’homogénéité. Par conséquent, nous ne détenons pas les
données brutes d’origine, mais seulement la valeur ajoutée des données (c-a-d
celle dont la qualité a été contrôlée et homogénéisée). »
Mais ceci n’arrête pas le
matraquage politique et médiatique en se saisissant de toutes les opportunités
comme la douceur du climat depuis août 2015, l’année la plus chaude depuis 1980…
alors que la publication de la NASA, collectrice des mesures satellitaires, l’a
plaçait le 15 décembre au troisième rang des années les plus chaudes ! De
nombreux scientifiques attribuent ce réchauffement climatique à l’influence du
courant marin El Niño qui part du Pérou vers le centre du Pacifique. Son
interaction des eaux chaudes avec l’atmosphère est reconnu bien que le
mécanisme reste encore mystérieux. Son influence est mondiale et affecte les
régions tropicales de l’Océan Atlantique. Son activité s’est manifesté en 1997,
en 2002, 2005 et en 2015 avec des températures des eaux plus élevées. Son
influence pourrait s’étendre sur 2016. Il s’agirait donc d’un phénomène sur une
période courte qui n’a pas d’impact sur la montée séculaire des températures
prédites catastrophiques.
Il faut bien comprendre
qu’une tendance centenaire ne se mesure pas à une ou deux années chaudes, car
des phénomènes terrestres et maritimes peuvent avoir un impact beaucoup plus
grand que celui de l’homme. Une éruption volcanique de grande ampleur par
exemple peut cacher le soleil pour une langue période comme cela s’est déjà
passé dans l’histoire de la planète et engendrer un refroidissement notable sur
une année ou plus. Par ailleurs il y a des cycles solaires dont la période
magnétique est de l’ordre de 20 ans. Il est donc tout-à-fait illusoire de
vouloir faire une prévision à partir d’une ou deux années chaudes successives.
Pourtant on nous bassine avec le lien avec le réchauffement climatique depuis
des mois en amenant des météorologues pour leur poser la question sans faire la
différence entre climatologie et météorologie.
Tout cela n’est pas sérieux, les
prévisions à 5 jours sont déjà difficiles et souvent erronées pour comprendre
que la variation du climat sur un siècle demande déjà d’expliquer les
variations climatiques passées sur des millénaires. Enfin si les résultats des modèles
mathématiques collent ensuite avec la réalité sur 10 à 20 ans, on peut seulement
commencer à penser que les principaux facteurs qui agissent sur le climat sont
pris en compte et que leur part d’action est convenablement relativisée. Ce n’est
pas du tout le cas dans les rapports du Giec et la température moyenne globale n’augmente pas depuis dix-neuf ans
comme on peut le voir sur le graphique.
Nous sommes
malheureusement là devant une des manipulations de l’humanité pour les
soumettre à une gouvernance mondiale. Le
Club de Rome, un think tank mondialiste ayant des liens étroits avec l’agenda
du changement climatique a énoncé à la page 75 de sa publication «La
première révolution mondiale» en 1990 : «Dans la recherche d’un
ennemi commun contre lequel nous pouvons nous unir, nous sommes arrivés avec
l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, les pénuries
d’eau, la famine et d’autres du même genre cadrerait avec le projet …. Tous ces
dangers sont causés par l’intervention humaine … Le véritable ennemi, alors,
est l’humanité elle-même …» Génial non cette idée de lever l’humanité
contre elle-même ? Tout ceci est conforté par l’utilisation de la non-transparence
qui prive les scientifiques sceptiques des données brutes réservées aux autres.
Récemment, la NOAA (Agence américaine d'observation océanique et
atmosphérique) a publié des études qui prétendent commodément réfuter les
données satellitaires qui révèlent qu’il n’y a en fait pas eu de réchauffement
de la planète depuis au moins dix-neuf ans. Interrogée par les
législateurs pour livrer les documents portant sur des expériences qui
soutiennent prétendument les affirmations de la NOAA, celle-ci a refusé…
Si le changement climatique et la panique écologique deviennent des vérités enracinées
au sein de notre cadre social grâce au matraquage politico-médiatique et à la
manipulation des données scientifiques, littéralement toute horreur
pourra être justifiée. Les climato-sceptiques deviennent alors des
dangereux individus et doivent être condamnés, comme cela commence à se dire
chez certains scientifiques et politiques. François Hollande les a d’ailleurs
qualifiés de minoritaires insignifiants contrairement à la réalité de la
communauté scientifique puisqu’une conférence scientifique contre la COP21 a eu
lieu à Paris en même temps. Qui l’a su ? Si les peuples, considérés comme
incapables de comprendre des choses aussi complexes, sont continuellement
désinformés sur des sujets planétaires, les pseudo-scientifiques et les élites
deviendront les pourvoyeurs de vie et de mort, de la prospérité et de la
pauvreté. Le mondialisme, s’il peut se développer au nom de la défense du
climat, deviendra le culte le plus omniprésent et le plus puissant de
l’histoire.
« L’ennemi commun de l’homme, c’est l’homme
lui-même »
Peur et culpabilisation ouvrent la voie de l’asservissement,
Le but ultime de la gouvernance mondiale
De ceux qui détiennent la vérité
Et règnent par le mensonge !
Claude Trouvé
Coordonnateur MF du
Languedoc-Roussillon
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