« La plus belle fille du monde ne peut donner que ce qu’elle a ».
Le prince charmant, sauveur de la planète, constate, que la belle au bois dormant
sur l’écologie verte se réveille et qu’il va devoir assumer son train de vie.
La taxe sur les carburants sous l’étiquette écologique, supercherie vite
éventée, a révélé aux yeux de la majorité des français l’ampleur de la chape de
plomb qui s’abat sur notre pays. Il commence à comprendre que celle-ci n’est
pas l’œuvre de Macron mais des marionnettes qui ont gouverné la France depuis
longtemps mais surtout depuis 2007. Macron est comme le dernier étage de la fusée
qui doit mettre le peuple en orbite, condamné à tourner sans espoir de
continuer à profiter des ressources terrestres et devant finir consumés en
rentrant dans l’atmosphère terrestre. Macron a cru avoir assez endormi le
peuple pour pouvoir le mettre en orbite dans les flonflons du sauvetage de la
planète. Il a cru ainsi pouvoir prendre des milliards dans la poche des automobilistes
jusqu’à la fin du siècle pour un sauvetage plus que contestable par de nombreux
scientifiques indépendants du GIEC et non des moindres dans la science climatologique.
Paradoxalement Macron porte un mauvais coup à l’écologie raisonnable, celle de la lutte contre le gaspillage de l’énergie, des ressources terrestres, de la pollution vraiment nocive à l’homme et à la vie en général. Le CO2 n’en fait pas partie et le monde végétal s’en régale, or on veut nous rendre végétariens. Que l’on croit ou non au réchauffement climatique et au rôle prépondérant joué par l’homme, les énergies renouvelables accroissent indirectement la teneur de ce gaz car elles sont intermittentes et aléatoires (EnRia) et demandent un pilotage par les énergies fossiles pour répondre à l’adéquation production-consommation. De plus la production électrique française est globalement exportatrice et la mise en service du réacteur EPR de Flamanville fin 2019 nous rendra complètement autonomes et encore plus exportateurs. Les 10 milliards/an du coût des EnRia sont disponibles pour le SMIC, les allocations chômage et les retraites. Il n’y a aucune urgence à payer pour une énergie plus coûteuse que les autres et qui pollue indirectement, et pas seulement en CO2. Les français payent en fait pour les lobbies et les pays étrangers (Chine, Danemark, Allemagne) qui fabriquent les éoliennes et les panneaux solaires.
Les français ont compris que l’on sacrifiait le court terme qui les préoccupe, à un long terme au résultat hypothétique. Ils sentent plus ou moins consciemment qu’il y a anguille sous roche. La précarité du lendemain les a obligés à réfléchir sur la politique, réflexion qu’ils avaient abandonnée en se détournant des urnes dans un réflexe de dégout pour les politiciens. Mais leur réflexion est en marche, et ils comprennent que leur avenir est menacé et que même la France est en danger. Parmi les gilets jaunes certains rejoignent des citoyens des classes moyennes dans une analyse qui dépasse le personnage falot de notre Président qui se laisse traîner par Trump comme un enfant gâté. Ils sentent comme une main mise sur le peuple de France et son identité nationale. Beaucoup n’identifient pas qui est l’auteur de la chape de plomb qu’ils voient s’abattre lentement mais sûrement sur eux. Mais certains ont identifié la menace.
Le phagocytage de la France par
l'UE est en cours. Mais l'UE n'est qu'un instrument et Macron une marionnette
aux mains d'une nébuleuse qui régit le Nouvel Ordre Mondial dont Sarkozy et
Hollande nous ont avertis que nous n'y échapperons pas. Dans cette nébuleuse
émergent trois entités, la Franc-Maçonnerie, le Pape, la représentation
musulmane et quelques grands banquiers comme Rothschild, Rockefeller, Soros et
Cie qui forment le top de la Franc-Maçonnerie juive. Le Pape me direz-vous ?
Oui quand un Pape baise les mains des deux plus grands banquiers du monde, il
fait allégeance, car c'est le monde à l'envers. Ces gens ne veulent que
dépouiller les peuples, les asservir et en régir le nombre sur la planète aux
moyens de la guerre et de la propagation des maladies. Les Gilets jaunes sont
en fait la prise de conscience, ou l'instinct de survie, d'une grande partie du
peuple qui s'identifie à ce mouvement. Le peuple endormi se réveille, ouvre les
yeux, et voit ou pressent l'abîme vers lequel on le pousse. Quand le peuple
français se réveille il devient révolutionnaire et sera peut-être le sauveur
des peuples d'Europe ou il succombera sous la répression dans un bain de sang.
Quand Macron fait avertir les Français que le déficit public à 2,8%/PIB sera tenu, de qui se préoccupe-t-il de l’UE ou des Français en colère ? Ceux-ci savent bien alors que ce qu’on leur donnera d’une main sera repris de l’autre. Les retraités l’ont compris avant les autres. Les Grecs ont essayé mais le poids dans une UE dominée par l’Allemagne les a contraints à la mise sous tutelle. Les anglais ont compris les premiers, ils ne sont pas révolutionnaires mais pragmatiques avec le Brexit. Les italiens procèdent par la bande, jouent avec un Parlement s’appuyant sur un peuple eurosceptique, et font valoir leur souveraineté budgétaire, violant les traités avec une certaine satisfaction de rébellion. La France n’a plus une classe politique capable de jouer l’opposition qui se fait le défenseur du Système dont ils profitent en protégeant le Président, pourtant nommément mis en cause par les citoyens qu’ils sont sensés défendre. Cela est si vrai que la procédure de destitution, parfaitement argumentée par l’UPR de François Asselineau, ne retient pas leur attention. Les cris et slogans « Macron démission » ne sont donc pas relayés par les représentants du peuple qui savent pertinemment que cette démission est totalement de la décision du Président de la République. Celui-ci vient de réaffirmer qu’il ne veut rien lâcher sur le passé des taxes, à fortiori son mandat !
Quand la digue cède on arrête plus le flot. C’est sans doute ce que viennent de susurrer à Macron ses mentors. Mais il est déjà trop tard. Comme Napoléon à Waterloo, Macron va faire donner la garde et donner la charge sur les manifestants envahissant les pavés parisiens et toutes les infrastructures du pays. Les revendications des uns et des autres s’unissent dans un flot qui rend toute extinction de la colère impossible. Le mouvement s’organise et va être plus habile pour contraindre le gouvernement et son chef. En fait les forces en présence sont face à face. L’énorme nébuleuse de la globalisation, nommée le Nouvel Ordre Mondial, joue désormais une guerre d’étouffement de tout esprit de révolte. Tout cela sent la poudre car le peuple a senti le danger qui pèse sur son avenir. Il ne veut plus lâcher la lutte car ce serait finalement capituler. De son côté la nébuleuse des forces de l’argent ne peut lâcher son grand projet d’accumulation des profits concocté aux Etats-Unis. Notons d’ailleurs que la menace sur lui vient aussi du multilatéralisme prôné par les BRICS avec le duo Chine-Russie en tête dans leur conflit avec le globalisme du NOM.
Paradoxalement Macron porte un mauvais coup à l’écologie raisonnable, celle de la lutte contre le gaspillage de l’énergie, des ressources terrestres, de la pollution vraiment nocive à l’homme et à la vie en général. Le CO2 n’en fait pas partie et le monde végétal s’en régale, or on veut nous rendre végétariens. Que l’on croit ou non au réchauffement climatique et au rôle prépondérant joué par l’homme, les énergies renouvelables accroissent indirectement la teneur de ce gaz car elles sont intermittentes et aléatoires (EnRia) et demandent un pilotage par les énergies fossiles pour répondre à l’adéquation production-consommation. De plus la production électrique française est globalement exportatrice et la mise en service du réacteur EPR de Flamanville fin 2019 nous rendra complètement autonomes et encore plus exportateurs. Les 10 milliards/an du coût des EnRia sont disponibles pour le SMIC, les allocations chômage et les retraites. Il n’y a aucune urgence à payer pour une énergie plus coûteuse que les autres et qui pollue indirectement, et pas seulement en CO2. Les français payent en fait pour les lobbies et les pays étrangers (Chine, Danemark, Allemagne) qui fabriquent les éoliennes et les panneaux solaires.
Les français ont compris que l’on sacrifiait le court terme qui les préoccupe, à un long terme au résultat hypothétique. Ils sentent plus ou moins consciemment qu’il y a anguille sous roche. La précarité du lendemain les a obligés à réfléchir sur la politique, réflexion qu’ils avaient abandonnée en se détournant des urnes dans un réflexe de dégout pour les politiciens. Mais leur réflexion est en marche, et ils comprennent que leur avenir est menacé et que même la France est en danger. Parmi les gilets jaunes certains rejoignent des citoyens des classes moyennes dans une analyse qui dépasse le personnage falot de notre Président qui se laisse traîner par Trump comme un enfant gâté. Ils sentent comme une main mise sur le peuple de France et son identité nationale. Beaucoup n’identifient pas qui est l’auteur de la chape de plomb qu’ils voient s’abattre lentement mais sûrement sur eux. Mais certains ont identifié la menace.
Quand Macron fait avertir les Français que le déficit public à 2,8%/PIB sera tenu, de qui se préoccupe-t-il de l’UE ou des Français en colère ? Ceux-ci savent bien alors que ce qu’on leur donnera d’une main sera repris de l’autre. Les retraités l’ont compris avant les autres. Les Grecs ont essayé mais le poids dans une UE dominée par l’Allemagne les a contraints à la mise sous tutelle. Les anglais ont compris les premiers, ils ne sont pas révolutionnaires mais pragmatiques avec le Brexit. Les italiens procèdent par la bande, jouent avec un Parlement s’appuyant sur un peuple eurosceptique, et font valoir leur souveraineté budgétaire, violant les traités avec une certaine satisfaction de rébellion. La France n’a plus une classe politique capable de jouer l’opposition qui se fait le défenseur du Système dont ils profitent en protégeant le Président, pourtant nommément mis en cause par les citoyens qu’ils sont sensés défendre. Cela est si vrai que la procédure de destitution, parfaitement argumentée par l’UPR de François Asselineau, ne retient pas leur attention. Les cris et slogans « Macron démission » ne sont donc pas relayés par les représentants du peuple qui savent pertinemment que cette démission est totalement de la décision du Président de la République. Celui-ci vient de réaffirmer qu’il ne veut rien lâcher sur le passé des taxes, à fortiori son mandat !
Quand la digue cède on arrête plus le flot. C’est sans doute ce que viennent de susurrer à Macron ses mentors. Mais il est déjà trop tard. Comme Napoléon à Waterloo, Macron va faire donner la garde et donner la charge sur les manifestants envahissant les pavés parisiens et toutes les infrastructures du pays. Les revendications des uns et des autres s’unissent dans un flot qui rend toute extinction de la colère impossible. Le mouvement s’organise et va être plus habile pour contraindre le gouvernement et son chef. En fait les forces en présence sont face à face. L’énorme nébuleuse de la globalisation, nommée le Nouvel Ordre Mondial, joue désormais une guerre d’étouffement de tout esprit de révolte. Tout cela sent la poudre car le peuple a senti le danger qui pèse sur son avenir. Il ne veut plus lâcher la lutte car ce serait finalement capituler. De son côté la nébuleuse des forces de l’argent ne peut lâcher son grand projet d’accumulation des profits concocté aux Etats-Unis. Notons d’ailleurs que la menace sur lui vient aussi du multilatéralisme prôné par les BRICS avec le duo Chine-Russie en tête dans leur conflit avec le globalisme du NOM.
L’heure de vérité est arrivée et concerne l’UE.
La France, à sa manière, refuse le servage.
Elle est prête à faire couler le sang.
Le NOM sera sans merci.
Une nouvelle France
Se met en place !
La France, à sa manière, refuse le servage.
Elle est prête à faire couler le sang.
Le NOM sera sans merci.
Une nouvelle France
Se met en place !
Claude Trouvé
05/12/18
05/12/18
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