Des messages de plus en plus nombreux, précis et étayés, font part de ce mouvement de concentration des pouvoirs de la planète dans des mains où la puissance et l’argent sont les seuls objectifs. Cette toile d’araignée s’abat lentement sur une partie de la planète. Elle cherche à paralyser ceux qui résistent, et à abuser les autres qui ne présentent aucun intérêt autre que celui de disparaître. Vous me direz que de nombreuses sociétés ont fait mourir les bouches inutiles, mais nous nous bercions de l’illusion que ces sociétés n’existaient plus. La civilisation des Mayas et tout son mystère nous a seulement fait percevoir ce que pouvait devenir un peuple aux mains de quelques élites.
Le nom de banquiers américains, parmi les plus puissants, se retrouve à la tête de cette gouvernance avec des noms de personnages aux manettes de rouages importants, présidents d’états ou de commissions dans les plus grands organismes mondiaux et européens. Il existe déjà, au sein de l’ONU, une « Commission on Global Gouvernance » qui a élaboré entre 1992 et 1995 un rapport intitulé « Our Global Neighbourhood » qui préconise de mettre l’ONU au centre d’un système de gouvernance assurant la sécurité du monde et la gestion des ressources communes de l’humanité.
L’un de ses auteurs est un certain Maurice Strong, émanation directe de ce groupe de puissants agissant sans contrôle. On voit qu’il s’agit d’un vaste programme, laissant peu de place à la liberté d’action des peuples. Ce rapport prévoit également de doter l’ONU d’une armée directement gérée par elle et capable de mettre fin à tous les conflits locaux… Cela ne vous fait penser à rien sur l’actualité ?
Mais tout est prévu, comme l’extension du pouvoir du Conseil Économique et Social devenant l’organe de contrôle de l’ONU sur les biens communs de l’humanité (l’atmosphère, les mers et les océans, la biodiversité). La Cour de Justice Criminelle Internationale était prévue et a d’ailleurs été mise en place. Les ONG deviendraient une espèce d’instance parlementaire, représentant plutôt la société civile que les peuples.
Évidemment cela ne peut fonctionner qu’avec des moyens financiers. C’est pourquoi l’on voit fleurir de nombreuses idées de financement. Citons la taxe Tobin sur les transactions financières internationales, taxe reprise par des politiques français qui ne sont finalement que les hochets de cette supernova de l’élite financière de la planète. Citons aussi la taxe sur les transports aériens, chère à Chirac. Le fin du fin est la taxe sur les émissions de carbone et les émissions de gaz à effet de serre. Elles sont si faciles à expliquer aux masses quand elles ont absorbé l’inexorabilité du réchauffement climatique et sa cause qui ne souffre aucune contradiction scientifique (dictat confirmé par notre Ushuaïa, expert scientifique des produits de décrassage), le carbone !
Voilà comment la pensée de Maurice Strong, alors président de la société d’investissement Strovest, membre du Conseil consultatif de Toyota, administrateur du groupe Consolidated Press Holding d’Hong-Kong entre autres (un malheureux quoi), s’exprimait : « il n’est simplement pas possible que la souveraineté puisse être exercée unilatéralement par des États-nations, si puissantes soient-elles. C’est là un principe qui n’aboutit qu’à se plier lentement et à contrecœur aux impératifs de la coopération globale en matière d’environnement ». Maurice Strong fut l’homme de la conférence de Rio après avoir pris l'avis de ces groupes de puissants tenants du "Nouvel Ordre Mondial".
Mais d’autres individus sont encore plus inquiétants comme Ted Turner, une grande fortune d’environ 15 milliards de dollars, qui offre un milliard à l’ONU contre une position clé en son sein. C’est celui qui annonce que la population mondiale est trop importante de 95% et que tout ceci aboutit au réchauffement climatique… Ne riez pas cette position eugénique est partagée par des grands noms des sociétés à fonctionnement confidentiel voire secret comme le Groupe Bilderberg et la Trilatérale (David Rockefeller, Henry Kissinger et Zbigniew Brezinski). Certains n'hésitent pas à parler confidentiellement de moyens d'élimination... triste souvenir.
Ceci nous ramène sur l’évolution des conflits du monde où le droit d’ingérence devient légal. L’ONU, dont le fonctionnement nous échappe de plus en plus, noyauté par un monde de puissances financières, est paré de missions fréquentes de guerres (par nations interposées pour l’instant), de pression sur les gouvernements (OMS et déclaration des pandémies, Giec et réchauffement climatique, etc.).
La gestion des ressources du globe comprend le pétrole dont chacun sait que le pic de production mondiale est dépassé, alors que les pays émergents, Chine comprise, voient leurs besoins s’accroître très rapidement. La construction d’un pipe-line en Afghanistan, la maîtrise des puits de pétrole en Libye sont les raisons géopolitiques qui intéressent ceux qui en tirent le plus grand profit. Les dirigeants des pays armés n'en sont que les exécuteurs. Le changement climatique, scientifiquement prouvé ou non, a déjà rapporté des sommes considérables à ses promoteurs comme le richissime Al Gore, qui est bien sûr coupable d’un délit d’initié.
La gouvernance européenne est un pas exemplaire vers cet objectif du « Nouvel Ordre Mondial », donc la dépossession du pouvoir des peuples sur leur destin. Un certain nombre de personnages, entraînant avec eux des acteurs importants, librement consentants ou mis sous pression, auxquels on promet une protection personnelle sans faille, s’arrogent ainsi le droit de gouverner la planète sans jamais apparaître clairement. L’individu pour eux ne compte pas. Celui-ci, lentement spolié de son droit de décision sera réduit à l’état de serf… cela a été dit explicitement si vous prenez la peine de vous informer sur la toile.
Ces forces sont si puissantes, détenant un pouvoir sur les principaux dirigeants de la planète et souvent propriétaires des principaux médias, que les chances de leur échapper sont minces. Les individus connus qui parlent trop fort disparaissent souvent dans des conditions suspectes. Il n’en reste pas moins vrai que Louis XVI a été décapité et que le peuple s’est fait entendre. Il importe que nous soyons tous conscients des dangers qui se profilent sous couvert d’initiative de globalisation dont on nous vante les mérites mais dont la motivation profonde est soigneusement cachée.
Le MPF et d’autres mouvements proches de ses idées
sont le dernier rempart contre la pensée unique,
le servage et l’eugénisme.