vendredi 25 septembre 2020

Les danois vivent normalement eux ! Le Danemark reste le pays du monde où le peuple se sent le plus heureux COVID-19 ou pas. A Copenhague on ne se demande pas s’il faut ou non porter le masque selon ses activités et ses lieux de passage, on vit tout simplement comme avant. L’après ressemble étrangement à l’avant. Pour le français qui vit là-bas le contraste est saisissant. D’autant plus saisissant qu’en France on n’arrête pas de bousculer les repères de notre vie privée ou professionnelle. Les ordres, les contre-ordres, les ajustements, les délégations locales qui ne visent que la pêche aux renseignements, la concertation au niveau national si besoin est seulement, pour aboutir à une décision nationale qui doit s’imposer localement. C’est ce que notre Ministre de la Santé nomme la décentralisation, enfin sa conception de la décentralisation. C’est en fait la délégation aux Préfets d’appliquer localement les décisions nationales. Qui peut-encore penser que les Préfets décident de leur propre fait de déroger à des directives précises ne leur laissant que le choix de les faire appliquer ? Les nouvelles directives applicables à Marseille en particulier assorties d’une mention au crayon rouge, comme à l’école, sur une ville où gronde la polémique entre le Conseil Scientifique et le Pr Didier Raoult, icône marseillaise désormais, montre pour le moins une pusillanimité du Ministre. Cela ressemble à une vengeance de cours d’école car le taux de mortalité de cette ville n’a rien d’inquiétant d’autant plus que converge vers ses hôpitaux des malades venus de la périphérie ou de villes proches. C’est faire peser sur l’économie marseillaise un lourd tribut qui n’a pas de raison d’être pour l’instant. Si les hôpitaux de Marseille s’inquiètent c’est parce que depuis le début de la crise ils sont en sous-effectifs et sous-équipements, et que de plus de nombreuses opérations reportées ne peuvent plus attendre. Il est normal que les chefs des différents services hospitaliers en profitent pour tirer la sonnette d’alarme. On sait que sur Marseille, en particulier, les hôpitaux sont de plus en plus vétustes comme à Montpellier d’ailleurs où j’ai moi-même été hospitalisé. Mais d’une façon générale la France des grandes villes particulièrement est soumise à des contraintes économiques et sanitaires qui n’ont plus rien à voir avec la dangerosité actuelle du virus et qui, de l’aveu même du Ministre, est sous contrôle. L’application jusqu’à plus soif du principe de précaution en agitant en permanence la deuxième vague depuis deux mois et le chiffon rouge du confinement, prend le peuple pour une bande de gamins. On se croirait encore à l’école du bonnet d’âne. Mis à part une poussée des cas liée à l’envolée folle des tests jusqu’à saturation des labos d’analyse, il n’y a pas d’envolée des décès. Il faut arrêter, Monsieur le Ministre, cette danse macabre que vous faites subir au pays. D’ailleurs vous confondez deux notions très différentes le principe de précaution, et celui de prévention. Le principe de prévention était à appliquer bien avant la crise. Il consistait, comme en Allemagne, à prévoir les infrastructures des hôpitaux pour faire face à une épidémie exceptionnelle, bien avant même que Bill Gates l’ait annoncée depuis plus d’un an comme probable (bizarre non ?), mais dont l’arrivée était en cours depuis décembre dernier en Chine. Recenser les équipements personnels, les machines, les réactifs et les matériels de prélèvement, en vérifier leur validité d’emploi, définir les stocks nécessaires et commander à différents fournisseurs pour ne pas être dépendant, prévoir le lien entre les hôpitaux, les cliniques et laboratoires privés en cas de crise, etc… Ce sont toutes choses qui sont l’application du principe de prévention, bien réalisé par l’Allemagne, que vous et votre prédécesseur n’avaient pas faites. Ce principe veut que ce que l’on redoute n’arrive pas. Or vous avez livré le pays à un virus à une armée en guenilles et sans armes incapable de faire front comme en Allemagne et cachant votre impéritie derrière des directives de non-port de masque pour cacher le manque de prévention dont vous êtes coupable ! Oui notre système de santé a fait ce qu’il a pu, grâce au professionnalisme et au dévouement de nombreux personnels, mais ce n’est pas grâce à vous. Car maintenant vous continuez à faire pression alors que le danger est derrière nous en agitant un hypothétique rebond que vous alimentez par une folle campagne de tests dont une bonne partie ne correspondait plus aux besoins. Vous cultivez à l‘extrême le principe de précaution qui n’est déclenché que parce que le premier principe de prévention n’a pas été appliqué. Vous traumatisez la population, vous faites du confinement généralisé avec le masque, vous plombez un peu plus notre économie. Vous parlez de votre priorité de la santé de la population mais êtes-vous seulement conscient que vous continuez à tuer des gens par le stress que vous inculquez, par les maladies que le port prolongé du masque génère comme le constatent de nombreux généralistes, que des petits chefs de PME, de TPE vont se suicider devant la faillite de leur entreprise, car les reports d’impôts devront être payés alors que leur entreprise tourne au ralenti. Ne nous dites pas que la situation est grave en Espagne et en Italie et qu’ils sont obligés de reconfiner, donc que la nôtre peut l’être demain. Non ces douze graphiques avec à gauche 6 pays européens ne recommandant pas le maque et à droite 6 autres l’imposant plus ou moins strictement dans les activités professionnelles ou privées, montrent deux choses. La première c’est que 11 ne présentent aucun signe significatif de deuxième vague de décès dont la France, dont je vous rappelle que le 15 avril on déplorait 1438 décès en une seule journée soit un rapport de 21,5 décès/million d’habitants alors que nous en sommes à 0,64 décès/million le 23 septembre soit une situation actuelle 33 fois moins dangereuse que le 15 avril ! J’ajoute que le 14 août et 14 septembre, soit un mois plus tard nous étions à 0,52 décès/million ce qui signifie qu’il n’y a pas d’évolution. La surcharge des Hôpitaux n’est pas un critère de dangerosité de l’épidémie Monsieur le Ministre de la Santé, mais un marqueur de votre incapacité préventive à mener le combat contre le virus. La capacité d’accueil des cas COVID-19 dans les hôpitaux, est réduite, parce qu’ils ont dû repousser des opérations qui deviennent urgentes. La faute à qui ? A vous Monsieur le Ministre qui faites payer votre incapacité puisque vous étiez en charge depuis longtemps de la Santé derrière votre Ministre Madame Agnès Buzyn. Vous avez beaucoup de morts à votre actif. C’est 23 500 décès que vous auriez pu éviter si vous aviez appliqué la stratégie préventive de l’Allemagne et la décentralisation réelle des décisions d’action, car en rapport de décès/habitant l’Allemagne a tué 4,13 moins que la France que nous représentez ! Vous avez ainsi plombé notre économie bien plus que notre voisine avec une perte de croissance 2,5 fois plus élevée rien que dans le deuxième trimestre. Le pire c’est que vous faites tout pour que cela s’aggrave encore. Les danois vivent heureux eux et on ne leur masque pas le visage car ils ont un attachement viscéral à la liberté que vous nous enlevez. Arrêter Monsieur le Ministre avant que l’on vous arrête Pour crime contre le peuple français et la République. Vous n’avez aucune excuse car les chiffres sont là L’épidémie est en phase terminale en Europe. Les nations qui ne veulent pas en convenir Ont des raisons autres que la Santé Comme la Liberté des peuples Qu’ils mettent en veilleuse ! Claude Trouvé 24/09/20

 Les danois vivent normalement eux !

Le Danemark reste le pays du monde où le peuple se sent le plus heureux COVID-19 ou pas. A Copenhague on ne se demande pas s’il faut ou non porter le masque selon ses activités et ses lieux de passage, on vit tout simplement comme avant. L’après ressemble étrangement à l’avant. Pour le français qui vit là-bas le contraste est saisissant. D’autant plus saisissant qu’en France on n’arrête pas de bousculer les repères de notre vie privée ou professionnelle. Les ordres, les contre-ordres, les ajustements, les délégations locales qui ne visent que la pêche aux renseignements, la concertation au niveau national si besoin est seulement, pour aboutir à une décision nationale qui doit s’imposer localement. C’est ce que notre Ministre de la Santé nomme la décentralisation, enfin sa conception de la décentralisation. C’est en fait la délégation aux Préfets d’appliquer localement les décisions nationales. Qui peut-encore penser que les Préfets décident de leur propre fait de déroger à des directives précises ne leur laissant que le choix de les faire appliquer ?

Les nouvelles directives applicables à Marseille en particulier assorties d’une mention au crayon rouge, comme à l’école, sur une ville où gronde la polémique entre le Conseil Scientifique et le Pr Didier Raoult, icône marseillaise désormais, montre pour le moins une pusillanimité du Ministre. Cela ressemble à une vengeance de cours d’école car le taux de mortalité de cette ville n’a rien d’inquiétant d’autant plus que converge vers ses hôpitaux des malades venus de la périphérie ou de villes proches. C’est faire peser sur l’économie marseillaise un lourd tribut qui n’a pas de raison d’être pour l’instant. Si les hôpitaux de Marseille s’inquiètent c’est parce que depuis le début de la crise ils sont en sous-effectifs et sous-équipements, et que de plus de nombreuses opérations reportées ne peuvent plus attendre. Il est normal que les chefs des différents services hospitaliers en profitent pour tirer la sonnette d’alarme. On sait que sur Marseille, en particulier, les hôpitaux sont de plus en plus vétustes comme à Montpellier d’ailleurs où j’ai moi-même été hospitalisé.

Mais d’une façon générale la France des grandes villes particulièrement est soumise à des contraintes économiques et sanitaires qui n’ont plus rien à voir avec la dangerosité actuelle du virus et qui, de l’aveu même du Ministre, est sous contrôle. L’application jusqu’à plus soif du principe de précaution en agitant en permanence la deuxième vague depuis deux mois et le chiffon rouge du confinement, prend le peuple pour une bande de gamins. On se croirait encore à l’école du bonnet d’âne. Mis à part une poussée des cas liée à l’envolée folle des tests jusqu’à saturation des labos d’analyse, il n’y a pas d’envolée des décès. Il faut arrêter, Monsieur le Ministre, cette danse macabre que vous faites subir au pays. D’ailleurs vous confondez deux notions très différentes le principe de précaution, et celui de prévention. Le principe de prévention était à appliquer bien avant la crise. Il consistait, comme en Allemagne, à prévoir les infrastructures des hôpitaux pour faire face à une épidémie exceptionnelle, bien avant même que Bill Gates l’ait annoncée depuis plus d’un an comme probable (bizarre non ?), mais dont l’arrivée était en cours depuis décembre dernier en Chine.

Recenser les équipements personnels, les machines, les réactifs et les matériels de prélèvement, en vérifier leur validité d’emploi, définir les stocks nécessaires et commander à différents fournisseurs pour ne pas être dépendant, prévoir le lien entre les hôpitaux, les cliniques et laboratoires privés en cas de crise, etc… Ce sont toutes choses qui sont l’application du principe de prévention, bien réalisé par l’Allemagne, que vous et votre prédécesseur n’avaient pas faites. Ce principe veut que ce que l’on redoute n’arrive pas. Or vous avez livré le pays à un virus à une armée en guenilles et sans armes incapable de faire front comme en Allemagne et cachant votre impéritie derrière des directives de non-port de masque pour cacher le manque de prévention dont vous êtes coupable !


Oui notre système de santé a fait ce qu’il a pu, grâce au professionnalisme et au dévouement de nombreux personnels, mais ce n’est pas grâce à vous. Car maintenant vous continuez à faire pression alors que le danger est derrière nous en agitant un hypothétique rebond que vous alimentez par une folle campagne de tests dont une bonne partie ne correspondait plus aux besoins. Vous cultivez à l‘extrême le principe de précaution qui n’est déclenché que parce que le premier principe de prévention n’a pas été appliqué. Vous traumatisez la population, vous faites du confinement généralisé avec le masque, vous plombez un peu plus notre économie. Vous parlez de votre priorité de la santé de la population mais êtes-vous seulement conscient que vous continuez à tuer des gens par le stress que vous inculquez, par les maladies que le port prolongé du masque génère comme le constatent de nombreux généralistes, que des petits chefs de PME, de TPE vont se suicider devant la faillite de leur entreprise, car les reports d’impôts devront être payés alors que leur entreprise tourne au ralenti.

Ne nous dites pas que la situation est grave en Espagne et en Italie et qu’ils sont obligés de reconfiner, donc que la nôtre peut l’être demain. Non ces douze graphiques avec à gauche 6 pays européens ne recommandant pas le maque et à droite 6 autres l’imposant plus ou moins strictement dans les activités professionnelles ou privées, montrent deux choses. La première c’est que 11 ne présentent aucun signe significatif de deuxième vague de décès dont la France, dont je vous rappelle que le 15 avril on déplorait 1438 décès en une seule journée soit un rapport de 21,5 décès/million d’habitants alors que nous en sommes à 0,64 décès/million le 23 septembre soit une situation actuelle 33 fois moins dangereuse que le 15 avril !

J’ajoute que le 14 août et 14 septembre, soit un mois plus tard nous étions à 0,52 décès/million ce qui signifie qu’il n’y a pas d’évolution. La surcharge des Hôpitaux n’est pas un critère de dangerosité de l’épidémie Monsieur le Ministre de la Santé, mais un marqueur de votre incapacité préventive à mener le combat contre le virus. La capacité d’accueil des cas COVID-19 dans les hôpitaux, est réduite, parce qu’ils ont dû repousser des opérations qui deviennent urgentes. La faute à qui ? A vous Monsieur le Ministre qui faites payer votre incapacité puisque vous étiez en charge depuis longtemps de la Santé derrière votre Ministre Madame Agnès Buzyn. Vous avez beaucoup de morts à votre actif. C’est 23 500 décès que vous auriez pu éviter si vous aviez appliqué la stratégie préventive de l’Allemagne et la décentralisation réelle des décisions d’action, car en rapport de décès/habitant l’Allemagne a tué 4,13 moins que la France que nous représentez ! Vous avez ainsi plombé notre économie bien plus que notre voisine avec une perte de croissance 2,5 fois plus élevée rien que dans le deuxième trimestre.  Le pire c’est que vous faites tout pour que cela s’aggrave encore. Les danois vivent heureux eux et on ne leur masque pas le visage car ils ont un attachement viscéral à la liberté que vous nous enlevez.

Arrêter Monsieur le Ministre avant que l’on vous arrête

Pour crime contre le peuple français et la République.

Vous n’avez aucune excuse car les chiffres sont là

L’épidémie est en phase terminale en Europe.

Les nations qui ne veulent pas en convenir

Ont des raisons autres que la Santé

Comme la Liberté des peuples

Qu’ils mettent en veilleuse !

Claude Trouvé

24/09/20


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