lundi 23 mars 2020

Coronavirus : Dictature en marche et crime contre l’humanité


Les mesures dites sanitaires de confinement total, pour lesquelles, on laisse s’agglutiner des milliers d’algériens sur le port de Marseille dans l’attente d’un bateau pour Alger, on lance des drones pour piéger les quelques récidivistes au confinement, on verbalise à Paris, à Lyon, à Bayonne des SDF sans toit qui s’allongent sur les trottoirs, sont priées de laisser la place aux mesures économiques quand on demande aux entreprises de BTP de se remettre au travail. De qui se moque-t-on ? De qui se moque-t-on quand sans débat on en profite pour faire passer des mesures qui détricotent profondément les avancées sociales du Code du Travail avec la promesse du provisoire sans donner de date limite ? De qui se moque-t-on quand on prétend que le médicament-miracle du Pr Raoult doit suivre la longue procédure de validation alors que l’on est dans la « guerre » contre le virus et qu’il nous tue plus de 100 personnes par jour dans nos hôpitaux ? Cet odieux attentisme d’au moins 15 jours se solde déjà par 650 morts qui auraient pu être évités ! De qui se moque-t-on quand on loue le dévouement de nos professionnels de santé et qu’on les laisse sans masque dans les pires probabilités de contagion ? Pourquoi ne pas avoir fait appel à la Russie et à la Chine pour se faire livrer des masques en urgence. Ce sont ces deux pays qui viennent finalement aux secours de la France et de l’Italie ? Ils fournissent masques, équipements, personnels de santé, experts. La Russe envoie 3 avions cargos en Italie. Pourquoi ne pas avoir fait cet appel ? Pourquoi ne pas demander l’utilisation immédiate de la chloroquine associée à un antibiotique du Pr Raoult, médicament bon marché, bien connu et largement utilisé contre le paludisme ? Pourquoi n’a-t-on pas tiré immédiatement les leçons données par la Corée du Sud, où la population de 52 millions la plus contaminée après la Chine, s’est débarrassée du virus avec un minimum de morts (75 morts non pas par jour mais au total le 18 mars) ?

Pourquoi ce confinement global et passoire en même temps dont les effets économiques, sociaux et psychiques sur la population, vont générer des morts par la pauvreté, le chômage, la faillite, les traumatismes psychiques engendrés (explosion des divorces dans les zones confinées de Chine), et probablement plus que les décès en moins espérés, est-il si autoritairement imposé ? Pourquoi le Pr Raoult a-t-il été obligé de faire des vidéos et de rameuter la communauté scientifique et internationale de la santé, chinoise et américaine en particulier, pour se faire entendre, alors qu’il prônait le dépistage, le tri des contaminés et son traitement de 6-10 jours en hôpital en ciblant le confinement total comme inutile dès le début de l’épidémie ? C’est sans doute ce point qui va finir par jeter le trouble sur les véritables intentions de Macron, de l’UE et des grands lobbies qui l’utilisent. Car enfin à quels conseils Macron a-t-il donné crédit si je puis dire ? Aux chercheurs les plus affutés et expérimentés dans ce domaine de la virologie, et en particulier à un expert reconnu mondialement, ou à des laboratoires qui se pourlèchent en pensant que la sortie d’un vaccin après une pandémie dévastatrice serait une bonne affaire ? En mettant le pays en quarantaine, en autorisant les élections municipales pour finalement en bloquer le déroulement final, en reportant une réforme des retraites que le vote au forceps allait dresser contre lui, en profitant de l’occasion pour détricoter le code du travail, en ouvrant tout grand la vanne du déficit public avec son « quoiqu’il en coûte », à quoi pensait Macron ? A une aubaine à ne pas rater pour redonner à son peuple la nécessité d’avoir un chef aux commandes, à une reprise en main de son autorité sur le peuple et à une remontée dans les sondages, à l’occasion de masquer l’arrivée en récession réelle de notre économie et cela depuis des mois, à l’occasion de continuer ainsi les pires mesures d’austérité sur le peuple mais la nécessité de soutenir encore plus les entreprises, les grosses surtout, tout ceci lui permettant de reprendre la réformes des retraites dans un contexte de nécessité d’économie de 5 milliards comme le lui a demandé l’UE ? Sûrement tout cela « en même temps » mais sûrement pas dans l’optique de choisir les meilleures solutions pour réduire le nombre de morts. Une fois les peurs apaisées avec une décroissance du nombre de morts par jour, le peuple va demander des comptes et ce qui en sortira sera un quadruple constat : les nécessités de l’autosuffisance combattues par le mondialisme, l’incapacité de l’UE à faire jouer la solidarité européenne, la montée d’un autoritarisme d’Etat qui piétine les libertés individuelles et la démocratie, et enfin une politique présidentielle qui peut être accusée de crime contre l’humanité. 

Macron est non seulement passible de la procédure de destitution mais il va apparaître comme aussi passible de crime contre l’humanité.

Les évolutions du nombre de décès dans les différents pays du monde vont d’ailleurs donner une très bonne mesure de la qualité des services de santé et leur capacité à réagir à des épidémies. On peut déjà tirer les conclusions sur les pays qui sont sortis ou en passe de le faire. La référence à la Chine pour justifier l’utilité du confinement mérite d’être très particulièrement nuancée. D’abord la Chine n’a confiné totalement que 70 millions de personnes soit 5% de sa population. Ensuite elle a recensé 3255 morts. Si l’on rapporte cela aux 67 millions de français, cela donne une prévision de 3116 morts, chiffre que l’on est bien loin d’avoir atteint aujourd’hui. Le confinement chinois n’a pas prouvé son efficacité dans les zones contaminées, mis à part qu’il a empêché la propagation généralisée à tout le pays avec une politique de dépistage. C’est la sortie des personnes des zones contaminées pour se projeter loin sur le territoire qui favorise la propagation. Les personnes rentrant du travail en zones contaminées (personnels de santé sans masque par exemple)  chez elles contaminent leur entourage, comme celles qui partent d’une zone contaminée pour aller loin dans une résidence secondaire en zone non contaminée. Ils ouvrent une zone de contamination qui n’aurait sans doute pas pu être atteinte par le virus avant sa disparition. Ces remarques montrent que le confinement global est peu efficace si l’on respecte des règles de bon sens dans un confinement ciblé. Enfin le non-confinement global réussi de la Corée du Sud, preuve irréfutable de son inutilité est superbement ignoré par la France pour se contenter d’encenser le dépistage, que nous n’avons pas les moyens de réaliser, et on le remplace par un confinement global inefficace mais mortifère pour l’économie. L’aggravation du confinement, alors que l’on atermoie pour mettre en place l’utilisation de la chloroquine dans tous les hôpitaux, est une ineptie criminelle. 

Je vais terminer par un dernier constat. De toute évidence la réussite de la lutte passe essentiellement par les services de santé, même si les mesures en amont sont nécessaires pour diminuer, surtout par le tri, le nombre de personnes hospitalisées, mais leur probabilité de morts tient à la capacité hospitalière de les soigner. C’est pour quoi les résultats apparaissant meilleurs pour l’instant au Royaume-Uni que ceux de la France, eux-mêmes bien meilleurs que ceux de l’Italie, ce qui permet de donner une note d’efficacité pour chaque pays. La note de la Chine sur la population confinée reste basse par rapport à celle de la Corée du Sud et sera même probablement à celle de la France à la fin de l’épidémie. Une bonne partie de la réussite des services de santé passe par l’argent que l’on y investit. Or quand on sait que la mise en œuvre des énergies renouvelables et des réseaux les reliant au réseau principal nous coûte 10 milliards par an pour une électricité plus chère et pour une surcapacité supplémentaire par rapport à la demande, on est en droit de remettre en cause les orientations de la transition énergétique et sa priorité vers lesquelles nous poussent les mouvements écologiques et l’urgence décidée par l’UE. Ces dix milliards nous auraient donné un bien meilleur système de santé et des centaines, voire de milliers de vie épargnées.

Macron est-il un incapable ou un charlatan manipulateur ? 

J’hésite à trancher mais ce qui est absolument certain,

C’est qu’il n’est en rien le chef de guerre au virus ! 

Un tel chef dans un vrai conflit avec les armes

Finirait par faire s’entretuer ses troupes 

Tant les directions de tir sont floues,

Les gilets pare-balles inexistants ! 

Un tel chef mérite l’exécution

En temps de vraie guerre 

Claude Trouvé 
23/03/20
 
L’exaspération monte en France depuis que les français découvrent que le Pr Raoult a un médicament efficace, testé sur des humains et pas cher.
Lu sur un blog bloqué par facebook

Pourquoi tardent ils? 

Si l’efficacité de la combinaison chloroquine/azythromycine se confirme, on pourra guérir tout le monde mais cela ne rapportera d’argent à personne et çà les emmerde Nous sommes en guerre, la médecine de guerre aurait le droit d’éliminer les vieux mais elle devrait attendre des semaines pour respecter les protocoles académiques ?

Notre message est clair, si vous ne nous écoutez pas vous aurez des comptes à rendre : tous les patients qui le demandent doivent bénéficier du protocole. Demain vous aurez à répondre de non-assistance à personne en danger de mort. 

https://www.mesopinions.com/petition/sante/faut-ecouter-professeur-raoult/82737

Interview du Pr Raoult 

Le Parisien – Aujourd’hui en France a joint le Pr Raoult, qui juge « immoral » de ne pas administrer la chloroquine aux malades du Covid-19 dès maintenant. Le gouvernement a autorisé un essai clinique de grande ampleur pour tester l’effet de la chloroquine sur le coronavirus.

C’est important pour vous d’avoir obtenu cela ?
DIDIER RAOULT. Non, je m’en fiche. Je pense qu’il y a des gens qui vivent sur la Lune et qui comparent les essais thérapeutiques du sida avec une maladie infectieuse émergente. Moi, comme n’importe quel docteur, à partir du moment où l’on a montré qu’un traitement était efficace, je trouve immoral de ne pas l’administrer. C’est aussi simple que ça.
Que répondez-vous aux médecins qui appellent à la prudence et sont réservés sur vos essais et l’effet de la chloroquine, notamment en l’absence d’études plus poussées ?
Comprenez-moi bien : je suis un scientifique et je réfléchis comme un scientifique avec des éléments vérifiables. J’ai produit plus de données en maladies infectieuses que n’importe qui au monde. Je suis un docteur, je vois des malades. J’ai 75 patients hospitalisés, 600 consultations par jour. Donc, les opinions des uns et des autres, si vous saviez comme ça m’est égal. Dans mon équipe, nous sommes des gens pragmatiques, pas des oiseaux de plateau télé. 

Comment en êtes-vous arrivé à travailler sur la chloroquine en vous disant que cela pouvait être efficace pour traiter le coronavirus ?
Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d’une ignorance crasse. J’ai faiune étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a treize ans qui a été publiée. Depuis, quatre autres études d’autres auteurs ont montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n’est pas une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l’état de la science, c’est suffocant. L’efficacité potentielle de la chloroquine sur les modèles de culture virale, on la connaissait. On savait que c’était un antiviral efficace. On a décidé dans nos expérimentations d’ajouter un traitement d’azithromicyne (un antibiotique contre la pneumonie bactérienne, NDLR) pour éviter les surinfections bactériennes. Les résultats se sont révélés spectaculaires sur les patients atteints du Covid-19 lorsqu’on a ajouté l’azithromycine à l’hydroxychloroquine. 

Qu’attendez-vous des essais menés à plus grande échelle autour de la chloroquine ?
Rien du tout. Avec mon équipe, nous estimons avoir trouvé un traitement. Et sur le plan de l’éthique médicale, j’estime ne pas avoir le droit en tant que médecin de ne pas utiliser le seul traitement qui ait jusqu’ici fait ses preuves. Je suis convaincu qu’à la fin tout le monde utilisera ce traitement. C’est juste une question de temps avant que les gens acceptent de manger leur chapeau et de dire, c’est ça qu’il faut faire. 

Sous quelle forme et pendant combien de temps administrez-vous la chloroquine à vos patients ?
On donne de l’hydroxychloroquine à raison de 600 mg par jour pendant dix jours (sous forme de Plaquenil, le nom du médicament, NDLR) sous la forme de comprimés administrés trois fois par jour. Et de l’azithromycine à 250 mg à raison de deux fois le premier jour puis une fois par jour pendant cinq jours. 

Est-ce un traitement qui peut être pris en prévention de la maladie ?
Nous ne le savons pas. 

Lorsque vous l’administrez, au bout de combien de temps un patient atteint du Covid-19 peut-il guérir ?
Ce qu’on sait pour l’instant, c’est que le virus disparaît au bout de six jours. 

Comprenez-vous néanmoins que certains de vos confrères appellent à la prudence sur ce traitement ?
Les gens donnent leur opinion sur tout, mais, moi, je ne parle que de ce que je connais : je ne donne pas mon opinion sur la composition de l’équipe de France enfin ! Chacun son métier. La communication scientifique de ce pays s’apparente aujourd’hui à de la conversation de bistrot. 

Mais n’y a-t-il pas des règles de prudence à respecter avant l’administration d’un nouveau traitement ?
A ceux qui disent qu’il faut trente études multicentriques et mille patients inclus, je réponds que si l’on devait appliquer les règles des méthodologistes actuels, il faudrait refaire une étude sur l’intérêt du parachute. Prendre 100 personnes, la moitié avec des parachutes et l’autre sans et compter les morts à la fin pour voir ce qui est plus efficace. Quand vous avez un traitement qui marche contre zéro autre traitement disponible, c’est ce traitement qui devrait devenir la référence. Et c’est ma liberté de prescription en tant que médecin. On n’a pas à obéir aux injonctions de l’Etat pour traiter les malades. Les recommandations de la Haute autorité de santé sont une indication, mais ça ne vous oblige pas. Depuis Hippocrate, le médecin fait pour le mieux, dans l’état de ses connaissances et dans l’état de la science. 

Quid des risques d’effets indésirables graves liés à la prise de chloroquine, notamment à haute dose ?
Contrairement à ce que disent certains à la télévision, la Nivaquine (le nom d’un des médicaments conçus à base de chloroquine, NDLR) est plutôt moins toxique que le Doliprane ou l’aspirine prise à forte dose. En tout état de cause, un médicament ne doit pas être pris à la légère et toujours prescrit par un médecin généraliste. 

Avez-vous conscience de susciter un immense espoir de guérison pour les patients atteints ?
Je vois surtout qu’il y a des médecins qui m’écrivent du monde entier tous les jours pour savoir comment on traite des maladies avec l’hydroxychloroquine. J’ai reçu des appels du Massachusetts General Hospital et de la Mayo Clinic de Londres. Les deux plus grands spécialistes mondiaux, l’un des maladies infectieuses, l’autre des traitements antibiotiques, m’ont contacté pour me demander des détails sur la manière de mettre en place ce traitement. Et même Donald Trump a twitté sur les résultats de nos essais. Il n’y a que dans ce pays qu’on ne sait pas très bien qui je suis ! Ce n’est pas parce que l’on n’habite pas à l’intérieur du périphérique parisien qu’on ne fait pas de science. Ce pays est devenu Versailles au XVIIIe siècle ! 

Qu’entendez-vous par là ?
On se pose des questions franco-françaises et même parisiano-parisiennes. Mais Paris est complètement décalé du reste du monde. Prenez l’exemple de la Corée du Sud et la Chine, où il n’y a plus de cas. Dans ces deux pays, ils ont décidé depuis longtemps de faire des tests à grande échelle pour pouvoir diagnostiquer plus tôt les patients infectés. C’est le principe de base de la gestion des maladies infectieuses. Mais on est arrivé à un degré de folie tel que des médecins sur les plateaux télé ne conseillent plus de faire le diagnostic de la maladie, mais disent aux gens de rester confinés chez eux. Ce n’est pas de la médecine ça. 

Vous pensez que le confinement de la population ne sera pas efficace ?
Jamais on n’a pratiqué ainsi à l’époque moderne. On faisait ça au XIXe siècle pour le choléra à Marseille. L’idée du cantonnement des gens pour bloquer les maladies infectieuses n’a jamais fait ses preuves. On ne sait même pas si ça fonctionne. C’est de l’improvisation sociale et on n’en mesure pas du tout les effets collatéraux. Que se passera-t-il quand les gens vont rester enfermés chez eux, à huis clos, pendant 30 ou 40 jours ? En Chine, on a rapporté des cas de suicides par peur du coronavirus. Certains vont se battre entre eux. 

Faut-il, comme le réclame l’Organisation mondiale de la Santé, généraliser les tests en France ?
Ayons le courage de le dire : la tambouille à la française, ça ne marche pas. La France n’en est qu’à 5000 tests par jour quand l’Allemagne en effectue 160 000 par semaine ! Il y a une espèce de discordance. Dans les maladies infectieuses, on effectue le diagnostic des gens et, une fois qu’on a obtenu le résultat, on les traite. D’autant que l’on commence à voir des personnes porteuses du virus, apparemment sans signes cliniques, mais qui, dans un nombre non négligeable de cas, ont des lésions pulmonaires visibles au scanner montrant qu’ils sont malades. Si ces gens ne sont pas traités à temps, il y a un risque raisonnable qu’on les retrouve en réanimation où on ne les rattrapera pas. Ne tester les gens que lorsqu’ils sont déjà gravement malades est donc une manière extrêmement artificielle d’augmenter la mortalité. 

Et faut-il généraliser le port des masques ?
C’est difficile à évaluer. On sait qu’ils sont importants pour les personnels de soin, car ce sont les rares personnes qui ont vraiment des rapports très, très proches avec les malades lorsqu’ils les auscultent, parfois à 20 cm de leur visage. On ne sait pas très bien jusqu’où volent les virus. Mais certainement pas à plus d’un mètre. Donc, au-delà de cette distance, ça n’a peut-être pas beaucoup de sens de porter un masque. En tout cas, c’est vers les hôpitaux qu’il faut envoyer en priorité ces masques pour mettre les soignants à l’abri. En Italie et en Chine, une partie extrêmement importante de malades s’est révélée au final être des personnels de soins. 

Didier Raoult : « Pour traiter le Covid-19, tout le monde utilisera la chloroquine »

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