Les
mesures dites sanitaires de confinement total, pour lesquelles, on laisse s’agglutiner
des milliers d’algériens sur le port de Marseille dans l’attente d’un bateau
pour Alger, on lance des drones pour piéger les quelques récidivistes au
confinement, on verbalise à Paris, à Lyon, à Bayonne des SDF sans toit qui s’allongent
sur les trottoirs, sont priées de laisser la place aux mesures économiques
quand on demande aux entreprises de BTP de se remettre au travail. De qui se
moque-t-on ? De qui se moque-t-on quand sans débat on en profite pour
faire passer des mesures qui détricotent profondément les avancées sociales du
Code du Travail avec la promesse du provisoire sans donner de date limite ?
De qui se moque-t-on quand on prétend que le médicament-miracle du Pr Raoult
doit suivre la longue procédure de validation alors que l’on est dans la « guerre »
contre le virus et qu’il nous tue plus de 100 personnes par jour dans nos
hôpitaux ? Cet odieux attentisme d’au moins 15 jours se solde déjà par 650
morts qui auraient pu être évités ! De qui se moque-t-on quand on loue le
dévouement de nos professionnels de santé et qu’on les laisse sans masque dans
les pires probabilités de contagion ? Pourquoi ne pas avoir fait appel à
la Russie et à la Chine pour se faire livrer des masques en urgence. Ce sont
ces deux pays qui viennent finalement aux secours de la France et de l’Italie ?
Ils fournissent masques, équipements, personnels de santé, experts. La Russe
envoie 3 avions cargos en Italie. Pourquoi ne pas avoir fait cet appel ?
Pourquoi ne pas demander l’utilisation immédiate de la chloroquine associée à
un antibiotique du Pr Raoult, médicament bon marché, bien connu et largement
utilisé contre le paludisme ? Pourquoi n’a-t-on pas tiré immédiatement les
leçons données par la Corée du Sud, où la population de 52 millions la plus
contaminée après la Chine, s’est débarrassée du virus avec un minimum de morts
(75 morts non pas par jour mais au total le 18 mars) ?
Pourquoi
ce confinement global et passoire en même temps dont les effets économiques, sociaux
et psychiques sur la population, vont générer des morts par la pauvreté, le chômage,
la faillite, les traumatismes psychiques engendrés (explosion des divorces dans
les zones confinées de Chine), et probablement plus que les décès en moins espérés,
est-il si autoritairement imposé ? Pourquoi le Pr Raoult a-t-il été obligé
de faire des vidéos et de rameuter la communauté scientifique et internationale
de la santé, chinoise et américaine en particulier, pour se faire entendre,
alors qu’il prônait le dépistage, le tri des contaminés et son traitement de 6-10
jours en hôpital en ciblant le confinement total comme inutile dès le début
de l’épidémie ? C’est sans doute ce point qui va finir par jeter le
trouble sur les véritables intentions de Macron, de l’UE et des grands lobbies
qui l’utilisent. Car enfin à quels conseils Macron a-t-il donné crédit si je
puis dire ? Aux chercheurs les plus affutés et expérimentés dans ce domaine
de la virologie, et en particulier à un expert reconnu mondialement, ou à des
laboratoires qui se pourlèchent en pensant que la sortie d’un vaccin après une
pandémie dévastatrice serait une bonne affaire ? En mettant le pays en
quarantaine, en autorisant les élections municipales pour finalement en bloquer
le déroulement final, en reportant une réforme des retraites que le vote au
forceps allait dresser contre lui, en profitant de l’occasion pour détricoter
le code du travail, en ouvrant tout grand la vanne du déficit public avec son « quoiqu’il
en coûte », à quoi pensait Macron ? A une aubaine à ne pas rater
pour redonner à son peuple la nécessité d’avoir un chef aux commandes, à une
reprise en main de son autorité sur le peuple et à une remontée dans les sondages,
à l’occasion de masquer l’arrivée en récession réelle de notre économie et cela
depuis des mois, à l’occasion de continuer ainsi les pires mesures d’austérité
sur le peuple mais la nécessité de soutenir encore plus les entreprises, les
grosses surtout, tout ceci lui permettant de reprendre la réformes des
retraites dans un contexte de nécessité d’économie de 5 milliards comme le lui
a demandé l’UE ? Sûrement tout cela « en même temps »
mais sûrement pas dans l’optique de choisir les meilleures solutions pour
réduire le nombre de morts. Une fois les peurs apaisées avec une décroissance
du nombre de morts par jour, le peuple va demander des comptes et ce qui en
sortira sera un quadruple constat : les nécessités de l’autosuffisance combattues
par le mondialisme, l’incapacité de l’UE à faire jouer la solidarité européenne,
la montée d’un autoritarisme d’Etat qui piétine les libertés individuelles et la
démocratie, et enfin une politique présidentielle qui peut être accusée de
crime contre l’humanité.
Macron
est non seulement passible de la procédure de destitution mais il va apparaître
comme aussi passible de crime contre l’humanité.
Les
évolutions du nombre de décès dans les différents pays du monde vont d’ailleurs
donner une très bonne mesure de la qualité des services de santé et leur
capacité à réagir à des épidémies. On peut déjà tirer les conclusions sur les
pays qui sont sortis ou en passe de le faire. La référence à la Chine pour justifier
l’utilité du confinement mérite d’être très particulièrement nuancée. D’abord
la Chine n’a confiné totalement que 70 millions de personnes soit 5% de sa population.
Ensuite elle a recensé 3255 morts. Si l’on rapporte cela aux 67 millions de
français, cela donne une prévision de 3116 morts, chiffre que l’on est bien
loin d’avoir atteint aujourd’hui. Le confinement chinois n’a pas prouvé son
efficacité dans les zones contaminées, mis à part qu’il a empêché la propagation
généralisée à tout le pays avec une politique de dépistage. C’est la sortie des
personnes des zones contaminées pour se projeter loin sur le territoire qui
favorise la propagation. Les personnes rentrant du travail en zones contaminées
(personnels de santé sans masque par exemple) chez elles contaminent leur entourage, comme
celles qui partent d’une zone contaminée pour aller loin dans une résidence secondaire
en zone non contaminée. Ils ouvrent une zone de contamination qui n’aurait sans
doute pas pu être atteinte par le virus avant sa disparition. Ces remarques
montrent que le confinement global est peu efficace si l’on respecte des règles
de bon sens dans un confinement ciblé. Enfin le non-confinement global réussi
de la Corée du Sud, preuve irréfutable de son inutilité est superbement ignoré par
la France pour se contenter d’encenser le dépistage, que nous n’avons pas les moyens
de réaliser, et on le remplace par un confinement global inefficace mais mortifère
pour l’économie. L’aggravation du confinement, alors que l’on atermoie pour
mettre en place l’utilisation de la chloroquine dans tous les hôpitaux, est une
ineptie criminelle.
Je vais
terminer par un dernier constat. De toute évidence la réussite de la lutte
passe essentiellement par les services de santé, même si les mesures en amont
sont nécessaires pour diminuer, surtout par le tri, le nombre de personnes
hospitalisées, mais leur probabilité de morts tient à la capacité hospitalière
de les soigner. C’est pour quoi les résultats apparaissant meilleurs pour l’instant
au Royaume-Uni que ceux de la France, eux-mêmes bien meilleurs que ceux de l’Italie,
ce qui permet de donner une note d’efficacité pour chaque pays. La note de la Chine
sur la population confinée reste basse par rapport à celle de la Corée du Sud
et sera même probablement à celle de la France à la fin de l’épidémie. Une
bonne partie de la réussite des services de santé passe par l’argent que l’on y
investit. Or quand on sait que la mise en œuvre des énergies renouvelables et
des réseaux les reliant au réseau principal nous coûte 10 milliards par an pour
une électricité plus chère et pour une surcapacité supplémentaire par rapport à
la demande, on est en droit de remettre en cause les orientations de la
transition énergétique et sa priorité vers lesquelles nous poussent les
mouvements écologiques et l’urgence décidée par l’UE. Ces dix milliards nous
auraient donné un bien meilleur système de santé et des centaines, voire de milliers
de vie épargnées.
Macron
est-il un incapable ou un charlatan manipulateur ?
J’hésite
à trancher mais ce qui est absolument certain,
C’est qu’il
n’est en rien le chef de guerre au virus !
Un tel
chef dans un vrai conflit avec les armes
Finirait
par faire s’entretuer ses troupes
Tant les
directions de tir sont floues,
Les
gilets pare-balles inexistants !
Un tel
chef mérite l’exécution
En temps
de vraie guerre
Claude
Trouvé
23/03/20
L’exaspération
monte en France depuis que les français découvrent que le Pr Raoult a un
médicament efficace, testé sur des humains et pas cher.
Lu sur un
blog bloqué par facebook
Pourquoi tardent ils?
Si l’efficacité de la combinaison chloroquine/azythromycine se confirme, on
pourra guérir tout le monde mais cela ne rapportera d’argent à personne et çà
les emmerde Nous sommes en guerre, la médecine de guerre aurait le droit
d’éliminer les vieux mais elle devrait attendre des semaines pour respecter les
protocoles académiques ?
Notre message est clair, si vous ne nous écoutez pas vous aurez des comptes
à rendre : tous les patients qui le demandent doivent bénéficier du protocole. Demain
vous aurez à répondre de non-assistance à personne en danger de mort.
https://www.mesopinions.com/petition/sante/faut-ecouter-professeur-raoult/82737
Interview du Pr Raoult
Le Parisien – Aujourd’hui en France a joint le Pr Raoult, qui juge «
immoral » de ne pas administrer la chloroquine aux malades du Covid-19 dès
maintenant. Le gouvernement a autorisé un essai clinique de grande ampleur pour tester
l’effet de la chloroquine sur le coronavirus.
C’est important pour vous d’avoir
obtenu cela ?
DIDIER RAOULT. Non, je m’en fiche. Je pense qu’il y a des gens qui vivent
sur la Lune et qui comparent les essais thérapeutiques du sida avec une maladie
infectieuse émergente. Moi, comme n’importe quel docteur, à partir du moment où
l’on a montré qu’un traitement était efficace, je trouve immoral de ne pas
l’administrer. C’est aussi simple que ça.
Que répondez-vous aux médecins qui appellent à la prudence et sont réservés
sur vos essais et l’effet de la chloroquine, notamment en l’absence d’études
plus poussées ?
Comprenez-moi bien : je suis un scientifique et je réfléchis comme un
scientifique avec des éléments vérifiables. J’ai produit plus de données en
maladies infectieuses que n’importe qui au monde. Je suis un docteur, je vois
des malades. J’ai 75 patients hospitalisés, 600 consultations par jour. Donc,
les opinions des uns et des autres, si vous saviez comme ça m’est égal. Dans
mon équipe, nous sommes des gens pragmatiques, pas des oiseaux de plateau télé.
Comment en êtes-vous arrivé à travailler sur la chloroquine en vous disant
que cela pouvait être efficace pour traiter le coronavirus ?
Le problème dans ce pays est que les gens qui parlent sont d’une ignorance
crasse. J’ai faiune étude scientifique sur la chloroquine et les virus il y a
treize ans qui a été publiée. Depuis, quatre autres études d’autres auteurs ont
montré que le coronavirus était sensible à la chloroquine. Tout cela n’est pas
une nouveauté. Que le cercle des décideurs ne soit même pas informé de l’état
de la science, c’est suffocant. L’efficacité potentielle de la chloroquine sur
les modèles de culture virale, on la connaissait. On savait que c’était un
antiviral efficace. On a décidé dans nos expérimentations d’ajouter un
traitement d’azithromicyne (un antibiotique contre la pneumonie bactérienne,
NDLR) pour éviter les surinfections bactériennes. Les résultats se sont révélés
spectaculaires sur les patients atteints du Covid-19 lorsqu’on a ajouté
l’azithromycine à l’hydroxychloroquine.
Qu’attendez-vous des essais menés à plus grande échelle autour de la
chloroquine ?
Rien du tout. Avec mon équipe, nous estimons avoir trouvé un traitement. Et
sur le plan de l’éthique médicale, j’estime ne pas avoir le droit en tant que
médecin de ne pas utiliser le seul traitement qui ait jusqu’ici fait ses
preuves. Je suis convaincu qu’à la fin tout le monde utilisera ce traitement.
C’est juste une question de temps avant que les gens acceptent de manger leur
chapeau et de dire, c’est ça qu’il faut faire.
Sous quelle forme et pendant combien de temps administrez-vous la
chloroquine à vos patients ?
On donne de l’hydroxychloroquine à raison de 600 mg par jour pendant dix
jours (sous forme de Plaquenil, le nom du médicament, NDLR) sous la forme de
comprimés administrés trois fois par jour. Et de l’azithromycine à 250 mg à
raison de deux fois le premier jour puis une fois par jour pendant cinq jours.
Est-ce un traitement qui peut être pris en prévention de la maladie ?
Nous ne le savons pas.
Lorsque vous l’administrez, au bout de combien de temps un patient atteint
du Covid-19 peut-il guérir ?
Ce qu’on sait pour l’instant, c’est que le virus disparaît au bout de six
jours.
Comprenez-vous néanmoins que certains de vos confrères appellent à la
prudence sur ce traitement ?
Les gens donnent leur opinion sur tout, mais, moi, je ne parle que de ce
que je connais : je ne donne pas mon opinion sur la composition de l’équipe de
France enfin ! Chacun son métier. La communication scientifique de ce pays
s’apparente aujourd’hui à de la conversation de bistrot.
Mais n’y a-t-il pas des règles de prudence à respecter avant
l’administration d’un nouveau traitement ?
A ceux qui disent qu’il faut trente études multicentriques et mille
patients inclus, je réponds que si l’on devait appliquer les règles des
méthodologistes actuels, il faudrait refaire une étude sur l’intérêt du
parachute. Prendre 100 personnes, la moitié avec des parachutes et l’autre sans
et compter les morts à la fin pour voir ce qui est plus efficace. Quand vous
avez un traitement qui marche contre zéro autre traitement disponible, c’est ce
traitement qui devrait devenir la référence. Et c’est ma liberté de
prescription en tant que médecin. On n’a pas à obéir aux injonctions de l’Etat
pour traiter les malades. Les recommandations de la Haute autorité de santé
sont une indication, mais ça ne vous oblige pas. Depuis Hippocrate, le médecin
fait pour le mieux, dans l’état de ses connaissances et dans l’état de la
science.
Quid des risques d’effets indésirables graves liés à la prise de
chloroquine, notamment à haute dose ?
Contrairement à ce que disent certains à la télévision, la Nivaquine (le
nom d’un des médicaments conçus à base de chloroquine, NDLR) est plutôt moins
toxique que le Doliprane ou l’aspirine prise à forte dose. En tout état de
cause, un médicament ne doit pas être pris à la légère et toujours prescrit par
un médecin généraliste.
Avez-vous conscience de susciter un immense espoir de guérison pour les
patients atteints ?
Je vois surtout qu’il y a des médecins qui m’écrivent du monde entier tous
les jours pour savoir comment on traite des maladies avec l’hydroxychloroquine.
J’ai reçu des appels du Massachusetts General Hospital et de la Mayo Clinic de
Londres. Les deux plus grands spécialistes mondiaux, l’un des maladies
infectieuses, l’autre des traitements antibiotiques, m’ont contacté pour me
demander des détails sur la manière de mettre en place ce traitement. Et même
Donald Trump a twitté sur les résultats de nos essais. Il n’y a que dans ce
pays qu’on ne sait pas très bien qui je suis ! Ce n’est pas parce que l’on
n’habite pas à l’intérieur du périphérique parisien qu’on ne fait pas de
science. Ce pays est devenu Versailles au XVIIIe siècle !
Qu’entendez-vous par là ?
On se pose des questions franco-françaises et même parisiano-parisiennes.
Mais Paris est complètement décalé du reste du monde. Prenez l’exemple de la
Corée du Sud et la Chine, où il n’y a plus de cas. Dans ces deux pays, ils ont
décidé depuis longtemps de faire des tests à grande échelle pour pouvoir
diagnostiquer plus tôt les patients infectés. C’est le principe de base de la
gestion des maladies infectieuses. Mais on est arrivé à un degré de folie tel
que des médecins sur les plateaux télé ne conseillent plus de faire le
diagnostic de la maladie, mais disent aux gens de rester confinés chez eux. Ce
n’est pas de la médecine ça.
Vous pensez que le confinement de la population ne sera pas efficace ?
Jamais on n’a pratiqué ainsi à l’époque moderne. On faisait ça au XIXe
siècle pour le choléra à Marseille. L’idée du cantonnement des gens pour
bloquer les maladies infectieuses n’a jamais fait ses preuves. On ne sait même
pas si ça fonctionne. C’est de l’improvisation sociale et on n’en mesure pas du
tout les effets collatéraux. Que se passera-t-il quand les gens vont rester
enfermés chez eux, à huis clos, pendant 30 ou 40 jours ? En Chine, on a
rapporté des cas de suicides par peur du coronavirus. Certains vont se battre
entre eux.
Faut-il, comme le réclame l’Organisation mondiale de la Santé, généraliser
les tests en France ?
Ayons le courage de le dire : la tambouille à la française, ça ne marche
pas. La France n’en est qu’à 5000 tests par jour quand l’Allemagne en effectue
160 000 par semaine ! Il y a une espèce de discordance. Dans les maladies infectieuses,
on effectue le diagnostic des gens et, une fois qu’on a obtenu le résultat, on
les traite. D’autant que l’on commence à voir des personnes porteuses du virus,
apparemment sans signes cliniques, mais qui, dans un nombre non négligeable de
cas, ont des lésions pulmonaires visibles au scanner montrant qu’ils sont
malades. Si ces gens ne sont pas traités à temps, il y a un risque raisonnable
qu’on les retrouve en réanimation où on ne les rattrapera pas. Ne tester les
gens que lorsqu’ils sont déjà gravement malades est donc une manière
extrêmement artificielle d’augmenter la mortalité.
Et faut-il généraliser le port des masques ?
C’est difficile à évaluer. On sait qu’ils sont importants pour les
personnels de soin, car ce sont les rares personnes qui ont vraiment des
rapports très, très proches avec les malades lorsqu’ils les auscultent, parfois
à 20 cm de leur visage. On ne sait pas très bien jusqu’où volent les virus.
Mais certainement pas à plus d’un mètre. Donc, au-delà de cette distance, ça
n’a peut-être pas beaucoup de sens de porter un masque. En tout cas, c’est vers
les hôpitaux qu’il faut envoyer en priorité ces masques pour mettre les
soignants à l’abri. En Italie et en Chine, une partie extrêmement importante de
malades s’est révélée au final être des personnels de soins.
Didier Raoult : « Pour traiter le Covid-19, tout le monde utilisera la
chloroquine »
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