samedi 18 juillet 2020

Bas les masques


Une panique générale est en train de s'installer dans la population française avec la décision du port obligatoire des masques dans les endroits confinés, donc les commerces. Tout cela est assorti d'une menace de re-confinement à la rentrée voire avant "si la situation l'exige". Ceci aboutit à un clivage de plus en plus net de la population entre les "soumis" aux décrets gouvernementaux et les "rebelles" aux mêmes décrets.

Les premiers arguent d’un rebond dans certaines parties du territoire du nombre de cas de porteurs du virus, argument vérifiable, les seconds disent que les suédois, qui n'ont pas porté de masques et non pas confinés à résidence leurs habitants, n'auront guère plus de décès/million d'habitants que nous et une économie intacte. De plus les Pays-Bas, bien moins impactés que nous, ont privilégié la communication sur la distanciation physique en faisant appel à l'intelligence collective. 

Alors on peut dire ceci aux tenants de l'obéissance sous prétexte que la science a parlé. La science n'est d'abord pas infaillible, on en est loin, mais lorsqu'elle répond à des demandeurs qui la financent, elle devient suspecte. Or on a constaté avec la publication dans la revue "The Lancet" pour la chloroquine qu'elle devenait même malhonnête. Mais il y a aussi la déformation insidieuse des informations. C'est ainsi que du nombre de cas testés et entrés en hospitalisation, on a dérivé vers le nombre de cas testés porteurs du virus, nombre évidemment beaucoup plus grand. Par ailleurs lorsque l'on multiplie les tests on trouve de nombreux porteurs sains qui n'étaient pas entrés dans les statistiques.

A partir de chiffres qui amplifient le nombre de cas on pratique ainsi une désinformation anxiogène. C'est le premier point. Ensuite on constate que des régions comme le Finistère, indemnes de contamination, donc aucunement auto-immunisées, développent maintenant un nombre de cas avec l'instauration de la libre circulation. L'étonnant serait qu'il n'en soit pas ainsi mais il appartenait au gouvernement de prévoir cette arrivée dès le choix économique de libérer la circulation. Il lui appartenait de vérifier avant si les professionnels de santé avaient l'équipement et le personnel nécessaires pour tester, diagnostiquer, trier et traiter. Apparemment cela a été fait à la légère comme depuis le début des premières informations parvenues de Chine. 

Dans la mesure où le gouvernement a été obligé d'admettre que le peuple ne comprendrait plus que l'on ne traite pas immédiatement les foyers de contamination, il n'y a plus de danger de propagation comme en mars-avril. Nous sommes donc passés dans l'intox au sujet du port des masques sur l'ensemble du territoire au lieu du confinement. On réitère la même bêtise de généralisation dont on commence à mesurer le désastre économique engendré. C'est un handicap supplémentaire à l'économie du pays, compliquant la vie des entreprises et incitant les étrangers à éviter la France. Les annulations de voyage se multiplient et certains étrangers repartent avant la fin de leur séjour prévu.

Mais qu'en est-il de la soi-disant protection assurée par les masques ? Il faut tout d'abord comprendre que pour notre santé, microbe et virus ne présentent pas les mêmes dangers et ne se traitent pas de la même façon. Par exemple on ne traite pas une maladie virale par les antibiotiques mais seulement les complications microbiennes si besoin. Mais d'une façon plus imagée on n'a pas affaire à des organismes de même taille. Si je me fais photographier au pied de la tour Eiffel je suis le virus et elle est le microbe. L'efficacité du masque pour arrêter les virus est donc en cause. 

Si le virus est porté par des gouttelettes de salive expulsées hors du corps, l'efficacité est supérieure à 60% sur les masques homologués grand public et supérieure à 90% pour les masques chirurgicaux. Mais si le virus est porté par de fines particules en suspension dans l’air, les aérosols, on a affaire à des particules bien inférieures à la taille des gouttelettes les plus fines qui tombent au sol très rapidement et très inférieures aux grosses gouttelettes que l’on peut expulser à plusieurs mètres.

Le masque dans ce cas s’avère très efficace sur les grosses gouttelettes et si les autres sont moins bien filtrées, elles tombent rapidement sur le sol. Or dans le cas du portage des virus par les aérosols, les masques grand public n’arrêtent rien et les masques chirurgicaux pratiquement rien. Or de récentes études américaines alertent les spécialistes sur le mode de propagation privilégié du virus à savoir les gouttelettes de salive ou les aérosols. Il semblerait que cela soit finalement les aérosols. Je ne suis pas un spécialiste mais cela expliquerait pourquoi l’Ouest de la France, en bord de mer bien ventilé, et même les côtes méditerranéennes aient échappé à la propagation du virus.

Malheureusement si tel est le cas toute la politique de traitement de l’épidémie s’avère un véritable fiasco. Dans la période de confinement, le fait de mettre des familles isolées chez elles, dans une atmosphère confinée où les aérosols tourbillonnent en permanence et d’autant plus que le nombre de personnes dans le logement est important, est un vecteur idéal de propagation du virus. Le port du masque rendu obligatoire dans les milieux confinés dans la période de déconfinement est tout aussi nuisible. En effet le port du masque n’est pas anodin. Le taux de CO2 entre la peau et le masque est plus élevé qu’en air libre et diminue notre oxygénation naturelle du sang. De plus notre expiration projette des gouttelettes et humidifie la paroi du masque, créant ainsi un piège à microbes.

Cette information sur les aérosols commence à tourner sur les réseaux sociaux et même vient de transparaître dans les propos du Pr Juvin, principal adversaire du Pr Raoult. En effet tout en parlant de l’information anxiogène de la propagation du virus, il laisse passer une raison sur le portage du virus par de « fines particules en suspension dans l’air et agitées de mouvement browniens », d’où dit-il la nécessité de porter des masques. 

Alors là c’est le summum, il reconnaît le transport du virus par les aérosols, et s’en fait un argument pour faire porter le masque. Or s’il s’avère que le transport par aérosol est la principale voie de contamination, le port du masque a finalement plus d’inconvénients sur la santé que le non-port. Il faut au contraire dire que la présence en nombre dans un lieu confiné produit des aérosols potentiellement porteurs de virus, que la climatisation fait plus tourbillonner ceux-ci dans l’air, et que l’aération naturelle des pièces est d’autant plus nécessaire. Il faut vivre dehors le plus possible dans des endroits les plus calmes possibles. Par exemple la fermeture des plages bretonnes peu fréquentées devient une aberration.

Il est donc à craindre que le gouvernement ne cherche pas à se préoccuper de cette voie de contamination pour ne pas se déjuger. Il continuera ainsi une œuvre de destruction de la santé et de l’économie de notre pays par entêtement pour d’autres buts qui apparaissent déjà clairement à beaucoup d’entre nous. En résumé le rebond qui justifie le port du masque n’est qu’un phénomène de faible ampleur que l’on sait endiguer s’il est pris en charge immédiatement. Il ne justifie pas le port du masque sur tout le territoire en milieu confiné car celui-ci est défavorable à notre santé. Le nombre de céphalées dues au masque se multiplie.

Mais pire il n’est plus certain que le masque puisse nous protéger de ce qui pourrait être le vecteur de propagation principal du virus, les aérosols. En résumé le confinement en famille et généralisé à tout le territoire a été une énorme erreur. C’est la vie à l’air libre et la distanciation physique qui sont très probablement les meilleures réponses à la propagation du virus. Les rassemblements de personnes soulèvent des aérosols qui restent alors dans un nuage en suspension et peuvent contaminer un grand nombre de personnes. Le port du masque sur les plages est non seulement un non-sens mais une atteinte à la santé. L’exercice physique devrait être recommandé, et la vie à l’intérieur réduite au minimum avec aération naturelle le plus souvent possible. Pour les locaux commerciaux ce devrait être non pas le port du masque qui soit demandé mais une ventilation permanente renforcée des locaux. 

On voit combien il serait important de lever le doute de la voie de propagation car les mesures qui en découleraient sont diamétralement opposées. Comme on cache l’effet de la chloroquine parce que cela va contre la doxa de l’OMS, il est très probable que l’on fera tout pour que ce débat scientifique n’ait pas lieu. Si vous pensez que mes propos ne sont que des billevesées, je vous propose de lire un point de vue similaire publié sur ce sujet.

« Bas les masques

par olivier cabanel

lundi 13 juillet 2020 


La cruelle absence de masques a déjà fait couler beaucoup d’encre, et pourrait en faire couler encore plus, bientôt... 

En effet, une nouvelle polémique s’est invitée dans cette pandémie-tragédie, et au-delà de la valse-hésitation du gouvernement sur les masques qui ne servaient à rien, puis qu’il fallait mettre à tout prix, voilà que des scientifiques viennent semer le trouble affirmant que les masques n’empêchent pas la transmission du virus...et pire qu'ils pourraient être dangereux. 

En effet, s’il faut en croire le docteur Denis Rancourt : « les masques ne fonctionnent pas pour prévenir les maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol ». 

Il ajoute que les particules d’aérosol sont trop fines pour être bloquées, et la dose infectieuse minimale est inférieure à une particule d’aérosol.

Mais ce n’est pas tout. 

Nos voisins helvètes connaissent quelques déboires avec leurs masques...des analyses ont démontré qu’ils avaient été contaminés par un champignon (aspergillus fumigatus), ce qui a conduit les autorités helvètes à « rappeler » 13,5 millions de masques..., lesquels seront remplacés ultérieurement.

Ce champignon est responsable de maladies sévères chez les humains, comme l’aspergillose broncho-pulmonaire, pouvant provoquer des irritations, des allergies, de l’asthme, ou des pneumonies. 

Continuons...
On savait déjà qu’il y avait masque...et masque, et que certaines pratiques pouvaient rendre le port du masque plus dangereux que son absence. 

Notamment, de le descendre régulièrement en le prenant au niveau du nez, ou en le descendant sur la gorge...voire les deux à la fois.

Ce geste que l’on constate régulièrement est consécutif à la gêne occasionnée par le port du masque, mais hélas, se toucher fréquemment le visage avec des mains possiblement contaminées, accroit le risque d’attraper le virus. 

C’est exactement ce que dénonce le Professeur Didier Pittet, chef du service de prévention et contrôle de l’infection des Hôpitaux universitaires de Genève.
Et puis, il faut savoir que nous rejetons du gaz carbonique, et que lorsque nous portons un masque, nous ré-inhalons ce gaz carbonique, ce qui n’est pas très bon pour notre santé, comme on peut s’en douter. 

En effet, nos poumons ont besoin de s’oxygéner, et non pas de respirer le gaz carbonique que nous avons relâché.

Ce gaz que nous expulsons crée ce qu’on appelle des exosomes, qui sont toxiques pour notre corps à long terme, alors que l’oxygène provoque la création de microzymas, lesquels sont évidemment bénéfiques à notre santé. 

On se souvient aussi que l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) avait souligné qu’on ne doit utiliser un masque que si on s’occupe d’une personne présumée infectée par le coronavirus, ajoutant : « il n’existe aucune preuve que le port d’un masque par des personnes en bonne santé puisse empêcher d’être infecté par des virus respiratoires ».

Ce qui n’a pas empêché l’Académie de Médecine d’appeler tous les Français à porter un masque de protection grand public, même artisanal, dès qu’ils sortent de chez eux, insistant sur le fait que « veiller à ne pas contaminer les autres n’est pas facultatif, c’est une attitude citoyenne qui doit être rendue obligatoire dans l’espace public ». 

Pourtant, le 12 avril 2020, une étude sud-coréenne concluait à l’inefficacité des masques, y compris chirurgicaux, dans la limitation de la transmission, en raison notamment de la taille des particules virales, capables de traverser les masques.

Un autre scientifique a tenté d’expliquer toutes ces contradictions. 

Il s’agit du professeur Maël Lemoine, de la faculté de médecine de Bordeaux et lui aussi insiste sur un point crucial : « si le port du masque a un effet sur la propagation de la maladie, celui-ci est modeste. L’effet protecteur reste incertain pour 2 raisons : le virus est présent dans les fines gouttelettes de salive projetées quand on parle, mais cela ne fait pas consensus.Seules les gouttelettes les plus grosses porteraient incontestablement le virus d’un organisme à l’autre... 

La deuxième raison est qu’il est difficile de mettre en évidence un effet de réduction de la contagion en situation réelle.

D’abord les études randomisées menées sur l’efficacité du masque n’ont pas permis de mettre en évidence un effet significatif. 

Certains disent que dans le monde réel, en revanche, le port du masque entraîne des conséquences indirectes.

En effet, porter un masque, c’est aussi limiter le nombre de fois ou les individus mettent la main à la bouche, au nez, voire aux yeux... » 

Et le scientifique, s’interrogeant sur le revirement du gouvernement : constatant l’absence de stock suffisant, il a d’abord déclaré que c’était inutile d’en porter, mais, « c’est la perspective de la fin du confinement, et la montée en puissance de la production (de masques) qui conduisent à ce revirement. 

Qu’on ne s’y trompe pas, ce revirement est politique, pas scientifique » conclut-il.
Pour en finir, provisoirement, sur la question, donnons la parole à Antonio Lazzarino, du département d’épidémiologie et de santé publique de l’University Collège de Londres, qui a donné cet avertissement aux gouvernements : « avant de mettre en œuvres des interventions publiques impliquant des milliards de personnes, il nous faut des essais contrôlés randomisés au niveau de la population ou au moins des études de suivi par observation avec des groupes de comparaison ». 

Ce qui n’a pas empêché un groupe de médecins de publier, le 11 juillet dernier, une tribune, réclamant l’obligation de porter des masques dans les lieux publics clos, (lien) mais comme dit mon vieil ami africain : « une fois, c’est oublié, deux fois c’est méchanceté ».


« Science sans conscience n’est que ruine de l’âme » 

On voit aussi que le virus conduit à notre ruine

En nous faisant croire à un sophisme : 

« Si le savoir est bon pour l’homme,

S’il lui donne en plus le pouvoir, 

Alors le pouvoir est bon

Pour l’homme »


Claude Trouvé 
18/07/20

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