Une panique générale est en train de s'installer dans
la population française avec la décision du port obligatoire des masques dans
les endroits confinés, donc les commerces. Tout cela est assorti d'une menace
de re-confinement à la rentrée voire avant "si la situation l'exige".
Ceci aboutit à un clivage de plus en plus net de la population entre les
"soumis" aux décrets gouvernementaux et les "rebelles" aux
mêmes décrets.
Les premiers arguent d’un rebond dans
certaines parties du territoire du nombre de cas de porteurs du virus, argument
vérifiable, les seconds disent que les suédois, qui n'ont pas porté de masques
et non pas confinés à résidence leurs habitants, n'auront guère plus de décès/million
d'habitants que nous et une économie intacte. De plus les Pays-Bas, bien moins
impactés que nous, ont privilégié la communication sur la distanciation physique
en faisant appel à l'intelligence collective.
Alors on peut dire ceci aux tenants
de l'obéissance sous prétexte que la science a parlé. La science n'est d'abord
pas infaillible, on en est loin, mais lorsqu'elle répond à des demandeurs qui
la financent, elle devient suspecte. Or on a constaté avec la publication dans la
revue "The Lancet" pour la chloroquine qu'elle devenait même
malhonnête. Mais il y a aussi la déformation insidieuse des informations. C'est
ainsi que du nombre de cas testés et entrés en hospitalisation, on a dérivé
vers le nombre de cas testés porteurs du virus, nombre évidemment beaucoup plus
grand. Par ailleurs lorsque l'on multiplie les tests on trouve de nombreux
porteurs sains qui n'étaient pas entrés dans les statistiques.
A partir de chiffres qui amplifient
le nombre de cas on pratique ainsi une désinformation anxiogène. C'est le
premier point. Ensuite on constate que des régions comme le Finistère, indemnes
de contamination, donc aucunement auto-immunisées, développent maintenant un
nombre de cas avec l'instauration de la libre circulation. L'étonnant serait
qu'il n'en soit pas ainsi mais il appartenait au gouvernement de prévoir
cette arrivée dès le choix économique de libérer la circulation. Il lui
appartenait de vérifier avant si les professionnels de santé avaient
l'équipement et le personnel nécessaires pour tester, diagnostiquer, trier et
traiter. Apparemment cela a été fait à la légère comme depuis le début des
premières informations parvenues de Chine.
Dans la mesure où le gouvernement a
été obligé d'admettre que le peuple ne comprendrait plus que l'on ne traite pas
immédiatement les foyers de contamination, il n'y a plus de danger de
propagation comme en mars-avril. Nous sommes donc passés dans l'intox au sujet
du port des masques sur l'ensemble du territoire au lieu du confinement. On
réitère la même bêtise de généralisation dont on commence à mesurer le désastre
économique engendré. C'est un handicap supplémentaire à l'économie du pays,
compliquant la vie des entreprises et incitant les étrangers à éviter la
France. Les annulations de voyage se multiplient et certains étrangers
repartent avant la fin de leur séjour prévu.
Mais qu'en est-il de la soi-disant
protection assurée par les masques ? Il faut tout d'abord comprendre que pour
notre santé, microbe et virus ne présentent pas les mêmes dangers et ne se
traitent pas de la même façon. Par exemple on ne traite pas une maladie virale
par les antibiotiques mais seulement les complications microbiennes si besoin.
Mais d'une façon plus imagée on n'a pas affaire à des organismes de même
taille. Si je me fais photographier au pied de la tour Eiffel je suis le virus
et elle est le microbe. L'efficacité du masque pour arrêter les virus est donc
en cause.
Si le virus est porté par des
gouttelettes de salive expulsées hors du corps, l'efficacité est supérieure à
60% sur les masques homologués grand public et supérieure à 90% pour les
masques chirurgicaux. Mais si le virus est porté par de fines particules en
suspension dans l’air, les aérosols, on a affaire à des particules bien
inférieures à la taille des gouttelettes les plus fines qui tombent au sol très
rapidement et très inférieures aux grosses gouttelettes que l’on peut expulser
à plusieurs mètres.
Le masque dans ce cas s’avère très efficace
sur les grosses gouttelettes et si les autres sont moins bien filtrées, elles
tombent rapidement sur le sol. Or dans le cas du portage des virus par les aérosols,
les masques grand public n’arrêtent rien et les masques chirurgicaux
pratiquement rien. Or de récentes études américaines alertent les spécialistes sur
le mode de propagation privilégié du virus à savoir les gouttelettes de salive
ou les aérosols. Il semblerait que cela soit finalement les aérosols. Je ne
suis pas un spécialiste mais cela expliquerait pourquoi l’Ouest de la France, en
bord de mer bien ventilé, et même les côtes méditerranéennes aient échappé à la
propagation du virus.
Malheureusement si tel est le cas toute la
politique de traitement de l’épidémie s’avère un véritable fiasco. Dans la période
de confinement, le fait de mettre des familles isolées chez elles, dans une
atmosphère confinée où les aérosols tourbillonnent en permanence et d’autant plus
que le nombre de personnes dans le logement est important, est un vecteur idéal
de propagation du virus. Le port du masque rendu obligatoire dans les milieux
confinés dans la période de déconfinement est tout aussi nuisible. En effet le
port du masque n’est pas anodin. Le taux de CO2 entre la peau et le masque est
plus élevé qu’en air libre et diminue notre oxygénation naturelle du sang. De
plus notre expiration projette des gouttelettes et humidifie la paroi du
masque, créant ainsi un piège à microbes.
Cette information sur les aérosols
commence à tourner sur les réseaux sociaux et même vient de transparaître dans
les propos du Pr Juvin, principal adversaire du Pr Raoult. En effet tout en parlant
de l’information anxiogène de la propagation du virus, il laisse passer une
raison sur le portage du virus par de « fines particules en suspension
dans l’air et agitées de mouvement browniens », d’où dit-il la
nécessité de porter des masques.
Alors là c’est le summum, il reconnaît
le transport du virus par les aérosols, et s’en fait un argument pour faire
porter le masque. Or s’il s’avère que le transport par aérosol est la principale
voie de contamination, le port du masque a finalement plus d’inconvénients sur
la santé que le non-port. Il faut au contraire dire que la présence en nombre
dans un lieu confiné produit des aérosols potentiellement porteurs de virus,
que la climatisation fait plus tourbillonner ceux-ci dans l’air, et que l’aération
naturelle des pièces est d’autant plus nécessaire. Il faut vivre dehors le plus
possible dans des endroits les plus calmes possibles. Par exemple la fermeture
des plages bretonnes peu fréquentées devient une aberration.
Il est donc à craindre que le
gouvernement ne cherche pas à se préoccuper de cette voie de contamination pour
ne pas se déjuger. Il continuera ainsi une œuvre de destruction de la santé et
de l’économie de notre pays par entêtement pour d’autres buts qui apparaissent
déjà clairement à beaucoup d’entre nous. En résumé le rebond qui justifie le
port du masque n’est qu’un phénomène de faible ampleur que l’on sait endiguer s’il
est pris en charge immédiatement. Il ne justifie pas le port du masque sur tout
le territoire en milieu confiné car celui-ci est défavorable à notre santé. Le
nombre de céphalées dues au masque se multiplie.
Mais pire il n’est plus
certain que le masque puisse nous protéger de ce qui pourrait être le vecteur
de propagation principal du virus, les aérosols. En résumé le confinement en
famille et généralisé à tout le territoire a été une énorme erreur. C’est la
vie à l’air libre et la distanciation physique qui sont très probablement les
meilleures réponses à la propagation du virus. Les rassemblements de personnes
soulèvent des aérosols qui restent alors dans un nuage en suspension et peuvent
contaminer un grand nombre de personnes. Le port du masque sur les plages est
non seulement un non-sens mais une atteinte à la santé. L’exercice physique devrait
être recommandé, et la vie à l’intérieur réduite au minimum avec aération naturelle
le plus souvent possible. Pour les locaux commerciaux ce devrait être non pas
le port du masque qui soit demandé mais une ventilation permanente renforcée
des locaux.
On voit combien il serait important
de lever le doute de la voie de propagation car les mesures qui en découleraient
sont diamétralement opposées. Comme on cache l’effet de la chloroquine parce que cela va
contre la doxa de l’OMS, il est très probable que l’on fera tout pour que ce
débat scientifique n’ait pas lieu. Si vous pensez que mes propos ne sont que
des billevesées, je vous propose de lire un point de vue similaire publié sur
ce sujet.
« Bas les masques
par olivier cabanel
lundi 13 juillet 2020
La cruelle absence de masques a déjà
fait couler beaucoup d’encre, et pourrait en faire couler encore plus,
bientôt...
En effet, une nouvelle polémique
s’est invitée dans cette pandémie-tragédie, et au-delà de la valse-hésitation
du gouvernement sur les masques qui ne servaient à rien, puis qu’il fallait
mettre à tout prix, voilà que des scientifiques viennent semer le trouble
affirmant que les masques n’empêchent pas la transmission du virus...et pire
qu'ils pourraient être dangereux.
En effet, s’il faut en croire le
docteur Denis Rancourt : « les masques ne fonctionnent pas pour prévenir les
maladies respiratoires de type grippal, ou les maladies respiratoires que l’on
pense être transmises par des gouttelettes et des particules d’aérosol ».
Il ajoute que les particules
d’aérosol sont trop fines pour être bloquées, et la dose infectieuse minimale
est inférieure à une particule d’aérosol.
Mais ce n’est pas tout.
Nos voisins helvètes connaissent
quelques déboires avec leurs masques...des analyses ont démontré qu’ils avaient
été contaminés par un champignon (aspergillus fumigatus), ce qui a conduit les
autorités helvètes à « rappeler » 13,5 millions de masques..., lesquels seront
remplacés ultérieurement.
Ce champignon est responsable de
maladies sévères chez les humains, comme l’aspergillose broncho-pulmonaire,
pouvant provoquer des irritations, des allergies, de l’asthme, ou des
pneumonies.
Continuons...
On savait déjà qu’il y avait
masque...et masque, et que certaines pratiques pouvaient rendre le port du
masque plus dangereux que son absence.
Notamment, de le descendre
régulièrement en le prenant au niveau du nez, ou en le descendant sur la
gorge...voire les deux à la fois.
Ce geste que l’on constate
régulièrement est consécutif à la gêne occasionnée par le port du masque, mais
hélas, se toucher fréquemment le visage avec des mains possiblement
contaminées, accroit le risque d’attraper le virus.
C’est exactement ce que dénonce le
Professeur Didier Pittet, chef du service de prévention et contrôle de
l’infection des Hôpitaux universitaires de Genève.
Et puis, il faut savoir que nous
rejetons du gaz carbonique, et que lorsque nous portons un masque, nous
ré-inhalons ce gaz carbonique, ce qui n’est pas très bon pour notre santé,
comme on peut s’en douter.
En effet, nos poumons ont besoin de
s’oxygéner, et non pas de respirer le gaz carbonique que nous avons relâché.
Ce gaz que nous expulsons crée ce
qu’on appelle des exosomes, qui sont toxiques pour notre corps à long terme,
alors que l’oxygène provoque la création de microzymas, lesquels sont
évidemment bénéfiques à notre santé.
On se souvient aussi que l’OMS
(Organisation Mondiale de la Santé) avait souligné qu’on ne doit utiliser un
masque que si on s’occupe d’une personne présumée infectée par le coronavirus,
ajoutant : « il n’existe aucune preuve que le port d’un masque par des
personnes en bonne santé puisse empêcher d’être infecté par des virus
respiratoires ».
Ce qui n’a pas empêché l’Académie de
Médecine d’appeler tous les Français à porter un masque de protection grand
public, même artisanal, dès qu’ils sortent de chez eux, insistant sur le fait
que « veiller à ne pas contaminer les autres n’est pas facultatif, c’est une
attitude citoyenne qui doit être rendue obligatoire dans l’espace public ».
Pourtant, le 12 avril 2020, une étude
sud-coréenne concluait à l’inefficacité des masques, y compris chirurgicaux,
dans la limitation de la transmission, en raison notamment de la taille des
particules virales, capables de traverser les masques.
Un autre scientifique a tenté
d’expliquer toutes ces contradictions.
Il s’agit du professeur Maël Lemoine,
de la faculté de médecine de Bordeaux et lui aussi insiste sur un point crucial
: « si le port du masque a un effet sur la propagation de la maladie, celui-ci
est modeste. L’effet protecteur reste incertain pour 2 raisons : le virus est
présent dans les fines gouttelettes de salive projetées quand on parle, mais
cela ne fait pas consensus.Seules les gouttelettes les plus
grosses porteraient incontestablement le virus d’un organisme à l’autre...
La deuxième raison est qu’il est
difficile de mettre en évidence un effet de réduction de la contagion en
situation réelle.
D’abord les études randomisées menées
sur l’efficacité du masque n’ont pas permis de mettre en évidence un effet
significatif.
Certains disent que dans le monde
réel, en revanche, le port du masque entraîne des conséquences indirectes.
En effet, porter un masque, c’est
aussi limiter le nombre de fois ou les individus mettent la main à la bouche,
au nez, voire aux yeux... »
Et le scientifique, s’interrogeant
sur le revirement du gouvernement : constatant l’absence de stock suffisant, il
a d’abord déclaré que c’était inutile d’en porter, mais, « c’est la perspective
de la fin du confinement, et la montée en puissance de la production (de
masques) qui conduisent à ce revirement.
Qu’on ne s’y trompe pas, ce
revirement est politique, pas scientifique » conclut-il.
Pour en finir, provisoirement, sur la
question, donnons la parole à Antonio Lazzarino, du département d’épidémiologie
et de santé publique de l’University Collège de Londres, qui a donné cet
avertissement aux gouvernements : « avant de mettre en œuvres des interventions
publiques impliquant des milliards de personnes, il nous faut des essais
contrôlés randomisés au niveau de la population ou au moins des études de suivi
par observation avec des groupes de comparaison ».
Ce qui n’a pas empêché un groupe de
médecins de publier, le 11 juillet dernier, une tribune, réclamant l’obligation
de porter des masques dans les lieux publics clos, (lien) mais comme dit mon
vieil ami africain : « une fois, c’est oublié, deux fois c’est méchanceté ».
« Science sans conscience n’est
que ruine de l’âme »
On voit aussi que le virus conduit à notre
ruine
En nous faisant croire à un sophisme :
« Si le savoir est bon pour l’homme,
S’il lui donne en plus le pouvoir,
Alors le pouvoir est bon
Pour l’homme »
Claude Trouvé
18/07/20
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