mercredi 24 juin 2020

COVID-19 : La désinformation continue. Nouveau bilan

Après avoir répandu des flots de peur avec un tableau journalier des décès et une injonction à se confiner à résidence bloquant ainsi 80% de la vie économique du pays, après avoir exigé que le port du masque soit d’abord interdit puis imposé, après avoir agité la peur du rebond après le déconfinement, le pouvoir continue la désinformation. Il se saisit d’une communication allemande de son institut comparable à l’institut Pasteur sur un certain nombre de cas nouveaux pour aussitôt répondre une nouvelle peur dans la population qui ne sait plus si on peut se détendre un peu ou continuer à raser les murs. J’ai examiné la communication de cet institut et il en ressort que son sérieux n’est pas mis en cause. Il y a bien un rebond mais très localement et sur un nombre de cas tellement faible que cela ne peut en aucune façon servir à une prédiction sérieuse. Une vaguelette ne prédit pas la tempête ou le tsunami. De plus l’ensemble de la population allemande ayant été peu confrontée au virus, il est normal que certains foyers de contamination se constituent ici et là. Les pompiers le savent bien et parlent de résurgences du feu, lesquelles sont immédiatement prises en charge jusqu’à extinction définitive. L’Allemagne confine large avec deux cantons mais pas à résidence pour leurs habitants.

Cette comparaison avec les incendies nous amène à une deuxième information anxiogène, celle du rebond saisonnier soi-disant probable qui va justifier encore à la volonté du pouvoir des mesures contraignantes, retardatrices d’un retour complet à la normalité, mesures à faire accepter par la peur. Il faut maintenir le peuple dans celle-ci le plus longtemps possible, car le pouvoir a lui-même peur des mouvements sociaux qui vont prendre toute leur ampleur en octobre après la rentrée quand la population va vraiment mesurer l’ampleur de la catastrophe économique et sociale que le confinement, prolongé à résidence sur tout le territoire, a engendré. Il est peu probable que nous ayons l’attaque du même virus, mais il se peut que comme la grippe, il y ait une mutation de celui-ci. Si l’on en parle ainsi avec insistance, c’est que le vaccin va être proposé comme la solution annuelle contre ce nouveau danger en nous disant bien que ce danger nouveau n’empêche pas les vaccinations habituelles dont celle de la grippe. Les laboratoires se frottent les mains à l’avance et le pouvoir agit pour nous y amener par la peur. Dans le Colorado on parle déjà de le rendre obligatoire alors qu’il n’a reçu aucune validation. On nous annonce que la France va favoriser la production en masse d’un médicament très efficace pour les malades en réanimation. On ne parle pas là pour lui d’une étude sérieuse de validation avec groupe témoin comme on a reproché au Pr Raoult d’avoir utilisé l’hydrochoroquine sans cette validation. Quand il y a deux poids, deux mesures c’est qu’il y a un loup dont les intentions sont cachées. Tirer un trait sur l’hydroxychloroquine et faire place au vaccin.


Ce COVID-19 mérite-t-il une telle catastrophe économique par sa dangerosité ?


Les précautions prises ne se justifient à ce prix que si le virus est très dangereux et très contagieux. Prenons le cas de la Belgique qui a procédé aux mesures de gestion de l’épidémie parce que c’est la championne du monde du nombre de décès/million d’habitants avec 849 décès/million d’habitants le 19 juin 2020. Ceci aurait représenté 57 000 décès en France au lieu de 30 000. On pourrait donc d’une part se réjouir d’avoir échappé à un tel bilan, car ce taux belge de mortalité aurait déjà correspondu à 6,5 millions de décès dans le monde à cette date, ou à 3 millions de décès sur la population mondiale de 1968 où la grippe H3N2 dite de Hong-Kong n’avait fait que 1 million de morts. Cela voudrait donc dire que ce virus est particulièrement dangereux. Seulement voilà la situation mondiale du COVID-19 le 19 juin est de 461 000 décès, nombre comparable à la grippe H1N1 de 2009. De plus on n’a jamais autant testé pour une épidémie de type grippale, ni autant mis d’acharnement à compter le nombre de cas et de décès.


Certes la propagation de l’épidémie n’est pas terminée partout et certains pays sont encore en pleine évolution comme le Brésil. Comme on le constate néanmoins ce pays ne présente pas une évolution aussi importante que la France même si on ne sait pas encore quand va commencer à s‘infléchir la courbe des décès. Mais un pays comme la Hongrie est totalement débarrassé du virus qui n’a pas laissé plus de traces qu’une grippe saisonnière. Il a réagi très tôt et fermé ses frontières. Ce n’est pas le cas de la France et de la plupart de nos pays frontaliers. Les pays occidentaux y compris les Etats-Unis sont le siège d’un nombre de décès qui les placent de loin dans les pays les plus touchés hormis la Suisse et l’Allemagne, mais ils ont pratiqué la même politique de confinement généralisé et à résidence de façon tardive déclenchée seulement quand les hôpitaux des premiers foyers se sont avérés sous-équipés, d’où en France la panique des masques pour les soignants. Il faut dire un mot de la Suède qui n’a pratiquement pris aucune précaution particulière en dehors de gestes banals et qui va finir avec un nombre de décès/million situé entre la France et l’Italie, les deux pays ayant le plus détruit leur économie, alors que la Suède sort économiquement intacte. Une leçon à méditer. Le confinement tardif à résidence et généralisé à tout un pays est le meilleur moyen de tuer un pays économiquement. Seule une zone de confinement, rapidement délimitée autour des foyers de contamination avec le respect dans celles-ci de la distanciation physique et d’un dépistage-tri, sont les mesures de bon sens nécessaires. Le confinement à résidence n’a de sens que pour l’isolement des contaminés et les masques peu efficaces pour la population sont inutilement contraignants, paralysent le fonctionnement de l’économie et présentent en eux-mêmes leurs propres dangers (blocage des miasmes, baisse de l’oxygénation, incommodités de ventilation et de chaleur, et buée sur les lunettes).


Alors pourquoi ces pays occidentaux persistent-ils dans l’erreur ?


C'est la bonne question. En effet les disparités entre pays frontaliers ne sont pas dues à un racisme du virus qui préfèrerait un pays plus qu’un autre. Cela est dû à une intervention humaine. Sur le graphique les disparités dans les trois couples européens frontaliers Belgique-Pays-Bas, Espagne-Portugal et France-Allemagne n’ont pas d’autre explication. Deux de ces pays ont réussi un taux de mortalité de l’ordre de la grippe saisonnière au prix d’un sacrifice moindre de leur économie et le bon résultat du Portugal n’est sans doute pas étranger à l’officialisation de l’utilisation de l’hydrochloroquine dont on peut penser que le meilleur résultat final obtenu par la France par rapport à l’Italie pourrait bien avoir pour cause l’utilisation officieuse mais importante de ce médicament depuis début avril dans nombre d’hôpitaux vu le décrochage  brutal d’une croissance des décès moins rapide à la baisse à partir seulement du 10 avril. Alors pourquoi la politique des Pays-Bas basée sur le respect de la distanciation sociale a-t-elle beaucoup mieux réussi que celle de la Belgique voisine copiée sur la France ? Dans le cas néerlandais on a respecté la liberté des citoyens et on leur a fait confiance. Dans l’autre cas belge, comme en France, on a imposé le confinement à résidence sur tout un territoire par le maniement de la peur.

Or on savait depuis le traitement du virus en Chine, à Taïwan et en Corée du Sud que le confinement généralisé n’était pas la bonne solution. Seulement 3 à 5% de la population chinoise a été confinée à résidence et la Corée du Sud a montré que seuls les contaminants devaient être isolés et assignés à résidence. Ce dernier pays en intervenant immédiatement sur les premiers foyers et en y mettant tous les moyens disponibles pour un dépistage massif, avec tri et diagnostic ont montré la voie à suivre et obtenu des résultats spectaculaires. Pourtant fortement impactés après la Chine, les sud-coréens ont montré au monde entier que l’épidémie était maîtrisable. Alors pourquoi ne l’a-t-on pas maîtrisée en France et a-t-on détruit notre pays socialement et économiquement ? Pourtant dans les directives écrites depuis 2017 par l’OMS on lit ceci :


" Sur un territoire donné, la lutte contre une pandémie abordera trois aspects.

    En premier lieu, éviter d'importer des cas pathologiques nouveaux, ce qui implique de fermer et filtrer les transferts de cas potentiellement contaminent, en maîtrisant les frontières.

   Sur le plan médical, détecter et soigner au mieux les victimes de l'infection.

   Imposer en tant que de besoin des dispositions de distanciation à l'ensemble de la population, y compris d'isolement ou de quarantaine, aux cas suspects »


Apparemment tout était écrit et il n’y avait plus qu’à suivre. On ne l’a pas fait en France mais on a suivi les atermoiements dans les messages de l’OMS dont on a vite compris que son indépendance dépendait de la Chine et de Bill Gates qui y fournit près du tiers des ressources. Malgré les informations de première main dont disposait la France avec sa participation dans l’Institut de virologie de Wuhan depuis décembre, la France n’a aucunement anticipé au niveau des équipements sanitaires pour ses professions de santé, et a finalement décidé tardivement un confinement strict à résidence sur l’ensemble du territoire. Non seulement cela a eu pour effet de plomber l’économie mais a permis une contamination plus importante dans les zones très urbanisées dès l’apparition d’un cas de contamination. C’est une erreur criminelle qui n’a que comme seule raison celle de cacher une peur de voir le pays s’enflammer devant des mesures économiques à prendre relançant les Gilets Jaunes. En effet la situation économique générale mais particulièrement en France s’aggravait depuis le dernier trimestre 2019. Il fallait rendre le peuple docile d’autant plus qu’une prise en main des peuples était dans les vues des grandes puissances financières qui veulent créer un monde à la dimension de leur soif de pouvoir et d’argent. On ne peut pas occulter la déclaration de Bill Gates disant que l’on peut diminuer la population de 10% à 15% par la vaccination.


Deux axes du pouvoir : Désinformer et parquer !


Il faut donc maintenir la population en dépendance par la peur et cela continue avec les informations en boucle sur le rebond possible demain ou dans les mois qui viennent. Toute petite vaguelette de contamination en Allemagne, en Chine ou en Corée du Sud fait la une des médias. Mais par ailleurs on montre la force du pouvoir en s’affichant comme le maître du virus… à condition que la population suive sans broncher ses privations de liberté. C’est ainsi qu’on lâche tout pour la fête de la Musique, il faut une soupape vite refermée, et qu’on va faire un 14 juillet au rabais pour éviter tout rassemblement dont on craint que les spectateurs manifestent leur hostilité au pouvoir. Les rassemblements sont interdits sauf quand l’intervention policière pourrait embraser une révolte contre le pouvoir. On le laisse alors se dérouler, car il montre que le danger d’emballement existe et alimente la peur du plus grand nombre devant l’action des communautés de la diversité dont la lutte des noirs d’origine américaine et l’envahissement de l’Europe par les musulmans.


Ce qu’on nous cache


Cette désinformation permanente conduit notre pays vers une dépendance au pouvoir et une privation de liberté de plus en plus importante qui va être aggravée par la crise économique. Du coup le désastre social qui commence va pousser à la révolte donc à la réponse par l’intervention policière et la restriction des libertés, plus des ponctions sur le pouvoir d’achat se traduisant par une pauvreté croissante. C’est un peuple de mains tendues vers l’aumône du pouvoir que le pouvoir a voulu depuis le début de l’épidémie, épidémie que Bill Gates avait annoncée depuis 2017 et dont on a fait une répétition en octobre-novembre dernier… pour se tenir prêt au cas où disait-on. Tout montre que l’on est devant une mascarade macabre dans une désinformation programmée qui nous fait prendre des vessies pour des lanternes dans un climat d’inquiétude générale. L’Europe et particulièrement la France est l’objet d’une attaque frontale de la part d’un Etat profond américain sous influence des puissances financières. L’attaque virale, la gestion catastrophique de celle-ci, mais aussi les mouvements communautaires se servant d’un racisme instrumentalisé et d’une prédominance religieuse, n’ont pas une concomitance due au hasard. On y trouve des collusions entre le Nouveau Monde du pouvoir mondialisé et l’expansionnisme religieux avec l’exploitation des idéologies antiracistes mobilisant des populations en difficulté financière et d’intégration. Les financements de beaucoup des participants n’est pas exclu en particulier par le Qatar, l’Arabie Saoudite, et Israël en collusion avec l’Etat profond américain. L’action de victimisation des noirs, des musulmans, des juifs, et la stigmatisation de l’ordre policier leur servent à dégrader l’image d’une France qui ne serait pas sortie du colonialisme. 


Notre liberté et notre pays sont en danger


Devant cette désinformation programmée et l’entrée dans la phase 3 de l’action pour un nouveau monde concoctée aux Etats-Unis depuis longtemps, le peuple doit respirer sous anesthésie. A lui d’enlever le masque mis sur sa bouche et ses yeux, car ce masque est en effet un symbole d’aliénation. En vous empêchant de respirer normalement, il est le symbole du grignotage de nos libertés. Nous venons d’échapper récemment à une loi Avia, qui en était un nouveau pas, grâce au Conseil Institutionnel, mais cela n’est qu’un retard mis à la direction voulue par le pouvoir. Il est encore temps de réagir mais quand l’anesthésie aura fait son effet, le peuple sera endormi et Bill Gates pourra faire modifier notre ADN par le vaccin comme prévu.


Nous entrons dans la phase finale de décomposition 

Celle où le peuple se recroqueville sur la peur,

Peur pour sa santé et pour sa sécurité. 

Bientôt devant la catastrophe

La pauvreté s’installera 

Comme une lèpre

Et notre France 

Sera à vendre.

Dites NON ! 

Plus fort !
 
Claude Trouvé 
24/06/20

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