Après avoir répandu
des flots de peur avec un tableau journalier des décès et une injonction à se
confiner à résidence bloquant ainsi 80% de la vie économique du pays, après
avoir exigé que le port du masque soit d’abord interdit puis imposé, après
avoir agité la peur du rebond après le déconfinement, le pouvoir continue la
désinformation. Il se saisit d’une communication allemande de son institut
comparable à l’institut Pasteur sur un certain nombre de cas nouveaux pour aussitôt
répondre une nouvelle peur dans la population qui ne sait plus si on peut se
détendre un peu ou continuer à raser les murs. J’ai examiné la communication de
cet institut et il en ressort que son sérieux n’est pas mis en cause. Il y a
bien un rebond mais très localement et sur un nombre de cas tellement faible
que cela ne peut en aucune façon servir à une prédiction sérieuse. Une
vaguelette ne prédit pas la tempête ou le tsunami. De plus l’ensemble de la
population allemande ayant été peu confrontée au virus, il est normal que
certains foyers de contamination se constituent ici et là. Les pompiers le
savent bien et parlent de résurgences du feu, lesquelles sont immédiatement
prises en charge jusqu’à extinction définitive. L’Allemagne confine large avec deux
cantons mais pas à résidence pour leurs habitants.
Cette comparaison
avec les incendies nous amène à une deuxième information anxiogène, celle du
rebond saisonnier soi-disant probable qui va justifier encore à la volonté du
pouvoir des mesures contraignantes, retardatrices d’un retour complet à la
normalité, mesures à faire accepter par la peur. Il faut maintenir le peuple
dans celle-ci le plus longtemps possible, car le pouvoir a lui-même peur des
mouvements sociaux qui vont prendre toute leur ampleur en octobre après la
rentrée quand la population va vraiment mesurer l’ampleur de la catastrophe économique
et sociale que le confinement, prolongé à résidence sur tout le territoire, a
engendré. Il est peu probable que nous ayons l’attaque du même virus, mais il
se peut que comme la grippe, il y ait une mutation de celui-ci. Si l’on en
parle ainsi avec insistance, c’est que le vaccin va être proposé comme la
solution annuelle contre ce nouveau danger en nous disant bien que ce danger
nouveau n’empêche pas les vaccinations habituelles dont celle de la grippe. Les
laboratoires se frottent les mains à l’avance et le pouvoir agit pour nous y
amener par la peur. Dans le Colorado on parle déjà de le rendre obligatoire
alors qu’il n’a reçu aucune validation. On nous annonce que la France va favoriser
la production en masse d’un médicament très efficace pour les malades en
réanimation. On ne parle pas là pour lui d’une étude sérieuse de validation
avec groupe témoin comme on a reproché au Pr Raoult d’avoir utilisé l’hydrochoroquine
sans cette validation. Quand il y a deux poids, deux mesures c’est qu’il y a un
loup dont les intentions sont cachées. Tirer un trait sur l’hydroxychloroquine
et faire place au vaccin.
Ce COVID-19
mérite-t-il une telle catastrophe économique par sa dangerosité ?
Les précautions prises ne se
justifient à ce prix que si le virus est très dangereux et très contagieux.
Prenons le cas de la Belgique qui a procédé aux mesures de gestion de l’épidémie
parce que c’est la championne du monde du nombre de décès/million d’habitants
avec 849 décès/million d’habitants le 19 juin 2020. Ceci aurait représenté 57 000
décès en France au lieu de 30 000. On pourrait donc d’une part se réjouir
d’avoir échappé à un tel bilan, car ce taux belge de mortalité aurait déjà correspondu
à 6,5 millions de décès dans le monde à cette date, ou à 3 millions de décès
sur la population mondiale de 1968 où la grippe H3N2 dite de Hong-Kong n’avait
fait que 1 million de morts. Cela voudrait donc dire que ce virus est particulièrement
dangereux. Seulement voilà la situation mondiale du COVID-19 le 19 juin est de
461 000 décès, nombre comparable à la grippe H1N1 de 2009. De plus
on n’a jamais autant testé pour une épidémie de type grippale, ni autant mis d’acharnement
à compter le nombre de cas et de décès.
Certes la propagation de l’épidémie n’est
pas terminée partout et certains pays sont encore en pleine évolution comme le
Brésil. Comme on le constate néanmoins ce pays ne présente pas une évolution
aussi importante que la France même si on ne sait pas encore quand va commencer
à s‘infléchir la courbe des décès. Mais un pays comme la Hongrie est totalement
débarrassé du virus qui n’a pas laissé plus de traces qu’une grippe
saisonnière. Il a réagi très tôt et fermé ses frontières. Ce n’est pas le cas
de la France et de la plupart de nos pays frontaliers. Les pays occidentaux y
compris les Etats-Unis sont le siège d’un nombre de décès qui les placent de
loin dans les pays les plus touchés hormis la Suisse et l’Allemagne, mais ils
ont pratiqué la même politique de confinement généralisé et à résidence de
façon tardive déclenchée seulement quand les hôpitaux des premiers foyers se
sont avérés sous-équipés, d’où en France la panique des masques pour les
soignants. Il faut dire un mot de la Suède qui n’a pratiquement pris aucune
précaution particulière en dehors de gestes banals et qui va finir avec un
nombre de décès/million situé entre la France et l’Italie, les deux pays ayant
le plus détruit leur économie, alors que la Suède sort économiquement intacte.
Une leçon à méditer. Le confinement tardif à résidence et généralisé à tout
un pays est le meilleur moyen de tuer un pays économiquement. Seule une
zone de confinement, rapidement délimitée autour des foyers de contamination avec
le respect dans celles-ci de la distanciation physique et d’un dépistage-tri, sont
les mesures de bon sens nécessaires. Le confinement à résidence n’a de sens que
pour l’isolement des contaminés et les masques peu efficaces pour la population
sont inutilement contraignants, paralysent le fonctionnement de l’économie et présentent
en eux-mêmes leurs propres dangers (blocage des miasmes, baisse de l’oxygénation,
incommodités de ventilation et de chaleur, et buée sur les lunettes).
Alors pourquoi ces
pays occidentaux persistent-ils dans l’erreur ?
C'est la bonne
question. En effet les disparités entre pays frontaliers ne sont pas dues à un
racisme du virus qui préfèrerait un pays plus qu’un autre. Cela est dû à une
intervention humaine. Sur le graphique les disparités dans les trois couples européens
frontaliers Belgique-Pays-Bas, Espagne-Portugal et France-Allemagne n’ont pas d’autre
explication. Deux de ces pays ont réussi un taux de mortalité de l’ordre de la
grippe saisonnière au prix d’un sacrifice moindre de leur économie et le bon
résultat du Portugal n’est sans doute pas étranger à l’officialisation de l’utilisation
de l’hydrochloroquine dont on peut penser que le meilleur résultat final obtenu
par la France par rapport à l’Italie pourrait bien avoir pour cause l’utilisation
officieuse mais importante de ce médicament depuis début avril dans nombre d’hôpitaux
vu le décrochage brutal d’une croissance
des décès moins rapide à la baisse à partir seulement du 10 avril. Alors
pourquoi la politique des Pays-Bas basée sur le respect de la distanciation
sociale a-t-elle beaucoup mieux réussi que celle de la Belgique voisine copiée
sur la France ? Dans le cas néerlandais on a respecté la liberté des
citoyens et on leur a fait confiance. Dans l’autre cas belge, comme en France,
on a imposé le confinement à résidence sur tout un territoire par le maniement
de la peur.
Or on savait depuis
le traitement du virus en Chine, à Taïwan et en Corée du Sud que le confinement
généralisé n’était pas la bonne solution. Seulement 3 à 5% de la population
chinoise a été confinée à résidence et la Corée du Sud a montré que seuls
les contaminants devaient être isolés et assignés à résidence. Ce dernier
pays en intervenant immédiatement sur les premiers foyers et en y mettant tous
les moyens disponibles pour un dépistage massif, avec tri et diagnostic ont
montré la voie à suivre et obtenu des résultats spectaculaires. Pourtant
fortement impactés après la Chine, les sud-coréens ont montré au monde entier
que l’épidémie était maîtrisable. Alors pourquoi ne l’a-t-on pas maîtrisée en
France et a-t-on détruit notre pays socialement et économiquement ?
Pourtant dans les directives écrites depuis 2017 par l’OMS on lit ceci :
" Sur un
territoire donné, la lutte contre une pandémie abordera trois aspects.
En premier lieu, éviter d'importer des
cas pathologiques nouveaux, ce qui implique de fermer et filtrer les transferts
de cas potentiellement contaminent, en maîtrisant les frontières.
Sur le plan médical, détecter et soigner
au mieux les victimes de l'infection.
Imposer en tant que de besoin des
dispositions de distanciation à l'ensemble de la population, y compris d'isolement
ou de quarantaine, aux cas suspects »
Apparemment tout
était écrit et il n’y avait plus qu’à suivre. On ne l’a pas fait en France mais
on a suivi les atermoiements dans les messages de l’OMS dont on a vite compris
que son indépendance dépendait de la Chine et de Bill Gates qui y fournit près
du tiers des ressources. Malgré les informations de première main dont
disposait la France avec sa participation dans l’Institut de virologie de Wuhan
depuis décembre, la France n’a aucunement anticipé au niveau des équipements
sanitaires pour ses professions de santé, et a finalement décidé tardivement un
confinement strict à résidence sur l’ensemble du territoire. Non seulement cela
a eu pour effet de plomber l’économie mais a permis une contamination plus
importante dans les zones très urbanisées dès l’apparition d’un cas de
contamination. C’est une erreur criminelle qui n’a que comme seule raison celle
de cacher une peur de voir le pays s’enflammer devant des mesures économiques à
prendre relançant les Gilets Jaunes. En effet la situation économique générale
mais particulièrement en France s’aggravait depuis le dernier trimestre 2019. Il
fallait rendre le peuple docile d’autant plus qu’une prise en main des peuples
était dans les vues des grandes puissances financières qui veulent créer un
monde à la dimension de leur soif de pouvoir et d’argent. On ne peut pas
occulter la déclaration de Bill Gates disant que l’on peut diminuer la
population de 10% à 15% par la vaccination.
Deux axes du pouvoir :
Désinformer et parquer !
Il faut donc
maintenir la population en dépendance par la peur et cela continue avec les
informations en boucle sur le rebond possible demain ou dans les mois qui
viennent. Toute petite vaguelette de contamination en Allemagne, en Chine ou en
Corée du Sud fait la une des médias. Mais par ailleurs on montre la force du
pouvoir en s’affichant comme le maître du virus… à condition que la population
suive sans broncher ses privations de liberté. C’est ainsi qu’on lâche tout
pour la fête de la Musique, il faut une soupape vite refermée, et qu’on va
faire un 14 juillet au rabais pour éviter tout rassemblement dont on craint que
les spectateurs manifestent leur hostilité au pouvoir. Les rassemblements sont
interdits sauf quand l’intervention policière pourrait embraser une révolte
contre le pouvoir. On le laisse alors se dérouler, car il montre que le danger
d’emballement existe et alimente la peur du plus grand nombre devant l’action
des communautés de la diversité dont la lutte des noirs d’origine américaine et
l’envahissement de l’Europe par les musulmans.
Ce qu’on nous cache
Cette désinformation
permanente conduit notre pays vers une dépendance au pouvoir et une privation
de liberté de plus en plus importante qui va être aggravée par la crise économique.
Du coup le désastre social qui commence va pousser à la révolte donc à la réponse
par l’intervention policière et la restriction des libertés, plus des ponctions
sur le pouvoir d’achat se traduisant par une pauvreté croissante. C’est un
peuple de mains tendues vers l’aumône du pouvoir que le pouvoir a voulu depuis
le début de l’épidémie, épidémie que Bill Gates avait annoncée depuis 2017 et dont
on a fait une répétition en octobre-novembre dernier… pour se tenir prêt au cas
où disait-on. Tout montre que l’on est devant une mascarade macabre dans une désinformation
programmée qui nous fait prendre des vessies pour des lanternes dans un climat
d’inquiétude générale. L’Europe et particulièrement la France est l’objet d’une
attaque frontale de la part d’un Etat profond américain sous influence des
puissances financières. L’attaque virale, la gestion catastrophique de celle-ci,
mais aussi les mouvements communautaires se servant d’un racisme instrumentalisé
et d’une prédominance religieuse, n’ont pas une concomitance due au hasard. On
y trouve des collusions entre le Nouveau Monde du pouvoir mondialisé et l’expansionnisme
religieux avec l’exploitation des idéologies antiracistes mobilisant des
populations en difficulté financière et d’intégration. Les financements de beaucoup
des participants n’est pas exclu en particulier par le Qatar, l’Arabie
Saoudite, et Israël en collusion avec l’Etat profond américain. L’action de
victimisation des noirs, des musulmans, des juifs, et la stigmatisation de l’ordre
policier leur servent à dégrader l’image d’une France qui ne serait pas sortie
du colonialisme.
Notre liberté et notre
pays sont en danger
Devant cette
désinformation programmée et l’entrée dans la phase 3 de l’action pour un
nouveau monde concoctée aux Etats-Unis depuis longtemps, le peuple doit
respirer sous anesthésie. A lui d’enlever le masque mis sur sa bouche et ses
yeux, car ce masque est en effet un symbole d’aliénation. En vous empêchant de
respirer normalement, il est le symbole du grignotage de nos libertés. Nous
venons d’échapper récemment à une loi Avia, qui en était un nouveau pas, grâce
au Conseil Institutionnel, mais cela n’est qu’un retard mis à la direction
voulue par le pouvoir. Il est encore temps de réagir mais quand l’anesthésie aura
fait son effet, le peuple sera endormi et Bill Gates pourra faire modifier notre
ADN par le vaccin comme prévu.
Nous entrons dans la
phase finale de décomposition
Celle où le peuple se
recroqueville sur la peur,
Peur pour sa santé et
pour sa sécurité.
Bientôt devant la
catastrophe
La pauvreté s’installera
Comme une lèpre
Et notre France
Sera à vendre.
Dites NON !
Plus fort !
Claude Trouvé
24/06/20
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