Les
ressources naturelles, eau, pétrole, gaz, charbon, bois, géothermie et toutes
les ressources minières en général sont les richesses intrinsèques des pays.
Aucun d’entre eux ne les possède toutes. En revanche d’autres énergies ne sont
pas extraites du sous-sol, l’énergie cinétique des cours d’eau et des marées, les
biocarburants, les énergies solaire et éolienne. Si l’énergie marémotrice est
très liée à la position géographique et côtière d’un pays, donnant à cette
énergie un faible pouvoir d’expansion, si les biocarburants viennent en
concurrence avec l’utilisation alimentaire et la protection de l’environnement,
le soleil et le vent sont disponibles partout même si leur puissance est
inégalement répartie en fonction des caractéristiques climatiques et
géographiques. Si l’ensemble de ces ressources naturelles a été plus ou moins
utilisé par les générations précédentes, il en reste sept qui sont le pur
produit de l’ingéniosité humaine et des avancées de la science, l’utilisation
de la force animale (dromadaire, cheval, éléphant, bœuf, lama, etc.), de la
roue, de la vapeur, du vélo, du moteur à explosion, de l’électricité, et du
nucléaire. Nos ancêtres se sont vite rendu compte que la puissance de 50 watts
de leurs bras et de 100 watts de leurs jambes était une limite à leur survie,
et toute l’humanité n’a jamais cessé d’augmenter sa puissance énergétique, et cela
reste sa préoccupation majeure.
La
peur de manquer et celle de l’énergie sale
Dans
cette préoccupation majeure, il faut inclure l’eau sans laquelle la puissance
énergétique de l’homme s’éteint avec sa mort. Il y a une grande inégalité entre
les pays sur l’accès à l’eau et dans les pays du Moyen-Orient c’est un enjeu géopolitique
essentiel qui peut en masquer bien d’autres. Dans ces pays l’enjeu se situe sur
le trio eau, gaz et pétrole. D’ailleurs on constate qu’ils n’hésitent pas à
utiliser l’énergie du pétrole pour dessaler l’eau de mer et verdir le désert.
En moins de deux siècles le potentiel énergétique de l’humanité a augmenté dans
des proportions énormes grâce à la machine à vapeur, le moteur à explosion, le
nucléaire et la fée électricité. Il n’est plus possible d’imaginer un monde sans
elles. Tout progrès serait bloqué et nous retournerions deux siècles en
arrière. En même temps que le progrès consume des matières premières selon les
besoins variables du moment, l’humanité se prend d’une peur panique de manquer.
C’est le réflexe du consommateur quand pèse une menace sur l’approvisionnement
de son supermarché. En 1958, les pétroliers parlaient d’un « peak oil »
possible en 1978, puis il y a peu comme très probable en 2020. Aujourd’hui
selon leurs estimations des réserves connues et probables, les pétroliers
parlent de 2035. C’est le moment où l’on estime que la consommation va devenir
supérieure à la production. En réalité les pétroliers ont quasiment arrêté la
prospection, donc les réserves connues et prouvées stagnent et personne n’avait
penser que les Etats-Unis deviendraient aussi rapidement auto-suffisants et
même exportateurs de gaz de schiste.
Les
contraintes environnementales pèsent sur les choix énergétiques
L’humanité
ajoute désormais à cette préoccupation sur l’énergie, celle d’une hantise de
dégradation de l’environnement et de sa santé. Par là-même il renforce sa
hantise de manquer puisqu’en plus il veut que toute énergie soit propre donc
verte. Comme si cela ne suffisait pas les prévisions alarmistes du
réchauffement climatique rajoutent l’urgence de la décarbonisation qui pèse sur
le choix du type d’énergie pour le transport et la production électrique. In
fine les citoyens sont confortés dans leur appréhension de l’avenir dont les
seules solutions proposées sont l’austérité énergétique, les énergies vertes,
et la décroissance démographique. Cette dernière solution, si l’on peut dire,
est d’ailleurs radicale et peut se poursuivre jusqu’à l’extinction complète de
l’humanité. C’est évidemment le meilleur moyen de réduire la production
anthropique de carbone comme l’avait montré Bill Gates dans l’une de ses conférences.
Mais elle s’applique aussi à l’épuisement des ressources naturelles. D’ailleurs
on ne peut épuiser les ressources naturelles qu’autant que l’on dispose
d’énergie pour les extraire. Si nous n’avions que celle de nos bras et de nos
jambes, il nous faudrait des dizaines de millénaires pour les épuiser.
L’énergie
n’est jamais gratuite mais indispensable à l’humanité
Le
principal besoin de l’humanité c’est donc l’énergie, car même l’assurance de
l’approvisionnement en eau pour sa survie tient à l’énergie disponible par
habitant de cette planète pour disposer d’eau douce. A ce stade de réflexion,
il faut accepter la réalité du coût de l’énergie. Aucune énergie n’est
gratuite, elle est plus ou moins chère et son prix varie dans le temps et peut
croître jusqu’à rendre inutilisables certaines énergies. C’est ce qui est en train
de se produire avec la décarbonisation que l’on veut accélérer par la taxe
carbone. Toute dépense énergétique produisant du carbone est pénalisée. En
conséquence l’utilisation du carbone est souhaitée disparaître. C’est un choix
dit environnemental mais si on supprime cette source énergétique on va
augmenter celle d’autres formes d’énergie. Les contraintes environnementales
pèsent doublement pour certains pays comme la France où l’arrêt du nucléaire
est programmé alors qu’il fournit plus de 75% de la production électrique. L’énergie
est donc le bien le plus précieux d’un pays. Celui-ci doit être l’objet des
décisions les plus pertinentes et les plus importantes de la gouvernance d’un
pays.
Les Etats-Unis
privilégient la souveraineté et la mainmise sur le pétrole mondial
Les
Etats-Unis ont privilégié la prospection, l’extraction, et l’utilisation des
énergies de leurs sols et sous-sols en recherchant l’autosuffisance pour le
moins. C’est le cas de l’uranium pour l’énergie nucléaire, et des gaz de
schiste avec un surplus permettant aux USA d’agir sur le marché mondial.
Apparemment les USA semblent se désintéresser de la carbonisation de la
planète, c’est pourtant un des seuls pays ayant fait baisser globalement les
émissions de carbone. Mais ce pays entend agir à sa guise, ne reconnaît pas
l’urgence climatique et se retire des accords de la COP21. Il ne néglige pas
pour autant les énergies vertes quand les conditions sont favorables dans les
grands espaces incultes, mais c’est surtout pour maintenir une activité qui
trouve des possibilités d’exportation à des pays dont on force à défaut la
main.
La Chine
pollue sans contrainte, et se sert de l’Occident et de l’Afrique
La politique
énergétique chinoise marie la mise en œuvre d’énergies peu coûteuses,
l’hydraulique et le nucléaire avec une part de plus en plus importante dans les
années à venir, l’utilisation du charbon surabondant dans les centrales
thermiques, et un développement rapide de l’industrie des éoliennes, et des
panneaux solaires. Ce développement vise deux objectifs complémentaires. La
Chine peut profiter de ses bas coûts de main-d’œuvre et de ses faibles
contraintes environnementales pour chercher une place de leader mondial dans ce
domaine des énergies vertes pour lesquelles l’Afrique est un continent de choix
dans ce type d’exportation. Mais le développement de ces énergies intéresse la
Chine pour une autre raison, celle de sa production de terres rares
indispensables à l’éolien et au solaire alors qu’elle détient 80% du marché
mondial actuel. La politique énergétique chinoise vise la souveraineté et
l’autosuffisance, mais c’est aussi un instrument géostratégique de premier
plan. Elle peut rendre le monde occidental d’autant plus dépendant de la Chine
que celle-ci développera les énergies vertes et favorisera un développement de
la voiture électrique qui demande également des terres rares pour ses
batteries. Premier pollueur en carbone de la planète, la Chine a signé le
traité de la COP21, a promis de faire des efforts substantiels mais sans
contrainte financière et pour des délais lointains. Ce qui lui permet de
continuer à augmenter ses émissions de carbone en toute tranquillité.
L’Allemagne
sait convertir une erreur en une force géopolitique
Les
cas de l’Allemagne et de la France sont particulièrement intéressants.
L’Allemagne se préoccupe essentiellement du remplacement du nucléaire dans la
production électrique mais émet deux fois plus de carbone que la France sans
véritable baisse sensible globale. Sa progression dans la substitution du
moteur à explosion par des moteurs électriques dans les véhicules progresse
moins vite que chez nous, car l’Allemagne préserve sa production automobile à
base de moteur thermique. Elle rouvre même des mines de lignite pour produire
de l’électricité et mène une politique d’énergies vertes plus importante que la
France qui lui assure de conforter une position de premier exportateur européen
de kWh. Les kWh excédentaires mis sur le marché européen sont toujours vendus à
des prix très en-dessous des cours moyens car ils arrivent la plupart du temps
devant une demande extérieure faible. Ces prix très attractifs incitent les
pays importateurs à baisser leur production à coût plus élevé, à ne pas créer
de nouveaux moyens de production, et à rester globalement pays importateurs.
Dans ce domaine comme dans d’autres l’Allemagne mène une politique hégémonique
de dépendance des pays européens. Que l’on soit pour ou contre les énergies
vertes, la politique allemande est d’une grande cohérence. Forte de ressources
minières pour son énergie thermique pilotable, la production électrique
allemande fait de l’augmentation continue des énergies vertes un atout de
puissance énergétique. Elle surfe sur un mouvement écologique qui est surtout
motivé par l’arrêt du nucléaire et pense que les énergies vertes vont permettre
de décarboniser la production électrique, même si cela ne peut pas être le cas.
La France
face au défi énergétique à l’aune écologique
On
ne peut pas en dire autant de la politique énergétique française. Si pour les
trois grands pays, Etats-Unis, Chine, Allemagne, on perçoit la volonté
d’indépendance énergétique et d’en faire un instrument géostratégique, ceci
n’apparaît pas dans le plan de transition énergétique français. On note la
volonté d’une politique énergétique vertueuse en phase avec la place de leader
de la décarbonisation que s’est octroyée la France, ce qui lui impose de
montrer l’exemple. Ceci implique donc d’une part l’arrêt de l’énergie nucléaire
à terme et celui rapide des centrales à charbon pour la production électrique,
et d’autre part la promotion coûteuse de la voiture électrique pour une
disparition de la propulsion à combustibles fossiles, diesel en particulier,
dès 2040. Il n’y a aucune recherche de baisse des coûts du kWh et du prix pour
le citoyen. Il s’agit même d’une acceptation programmée d’une taxe carbone et d’une
contribution aux énergies vertes. La France campe sur une position idéologique
devenue politique qui convient aux lobbies occidentaux et à la Chine. Elle
permet de donner à la France une image vertueuse qui lui va lui coûter une
centaine de milliards sur un plan jusqu’en 2035 sans compter les réseaux
électriques supplémentaires et la hausse du coût du kWh. Elle est exportatrice
pour environ 8% de sa production et ceci en exportation prioritaire des
énergies vertes la plupart du temps à perte. Ajoutons à cela que le plan
énergétique pour 2035 est physiquement irréalisable si l’on ne dispose pas
rapidement de moyens de stockage massif de l’électricité, ce qui est toujours
très loin d’être possible techniquement et financièrement. Il faut impérativement
que les moyens de pilotage croissent en même temps que l’implantation des
énergies renouvelables EnRia. On ne peut pas en même temps
développer les EnRia, stopper les centrales à charbon, effacer le nucléaire,
passer la traction des véhicules du moteur à explosion au moteur électrique,
c’est irréalisable !
La vérité
des chiffres sur le réchauffement climatique
Le moteur politique
de ce choix est basé sur la culture du catastrophisme. Le nucléaire génère des
catastrophes et pollue la terre pour des millions d’années, le réchauffement
climatique va rendre la terre invivable et les mers vont envahir les terres, et
tout cela est la faute de l’homme sommé de décarboniser l’air et de réduire sa
consommation de ressources naturelles. Le battage médiatique continu se heurte
pourtant à deux réalités. Les modèles mathématiques ne prennent pas en compte
la variabilité naturelle du carbone et sont donc incapables de retracer
l’histoire climatique des siècles ou millénaires précédents. Ils posent à
priori la seule action du carbone anthropique pour construire des modèles
mathématiques où en gros les paramètres sont ajustés pour refléter l’évolution
de la température globale entre 1978 et 1998, période de 20 ans où la
température globale a augmenté de 0,63°C. Malheureusement le bouquet d’une
centaine de modèles mathématiques prévisionnels ne représente pas l’évolution suivante
jusqu’en juin 2019.
Le graphique ci-dessus déjà publié a été réactualisé avec
la moyenne des températures des douze mois précédents juin 2019. Le constat,
que ce mois ait vu le plus grand écart positif de température jamais enregistré
depuis 1880 pour un mois de juin, n’en fait pas la température globale la plus
élevée relevée depuis 1880. Avec +0,95°C en juin 2019, elle se situe
derrière celle de mars 2016 avec +1,24°C. On constate graphiquement que
la prévision du GIEC de 2010 avec +2°C en 2025 est définitivement invalidée et
que la température moyenne de +0,87°C des douze mois écoulés précédant juin
2016 est identique à celle des douze mois précédant juin 2019 avec également
+0,869°C. Il n’y a eu aucune évolution notable de la température depuis deux
ans. Selon le rapport 2015 du GIEC, « Entre 2016 et 2035, il
est probable que les températures moyennes de l’air augmentent en moyenne de
0,5°C (de 0,3 à 0,7°C selon les scénarios) » soit entre 0,015°C et
0,035°C par an. Entre l’année glissante de juin 2016 et celle de juin 2019
cela donnerait une augmentation de température entre +0,045°C et +0,105°C.
La réalité mesurée c’est -0,01°C ! Il faudra donc au moins
attendre deux années supplémentaires pour juger de la validité des dernières
prévisions du GIEC et toute prévision faite aujourd’hui relève plus de Madame
Soleil que de résultats scientifiques validés. Ceci n’empêche pas les gourous
du réchauffement climatique, comme Al Gore et Jean Jouzel, de faire des
prévisions scientifiquement certaines. En 2007, 2008 et 2009, Al Gore prévenait
publiquement, très hystériquement, qu’ « il n’y aurait plus de glace » au
pôle Nord d’ici 2013 environ en raison du présumé « réchauffement climatique
d’origine humaine ».
L’urgence
climatique est-elle justifiée ?
On
peut donc se poser la question, non seulement sur le catastrophisme entretenu
actuellement et sur la pertinence de l’urgence qui conduit à une évolution
profonde des modes de transport et de production de l’électricité. Avant toute
réflexion sur le lien du réchauffement global dont la cause est affirmée comme
étant l’augmentation de l’émission de carbone anthropique, il faut néanmoins constater
que les modèles mathématiques ne peuvent pas expliquer la hausse de +0,6°C
observée entre 1910 et 1945, qui représente une bonne part de la variation de
+0 ,9°C observée en 2019 par rapport à 1880. Depuis cette date le taux de CO2
dans l’air est passé de 0,03 % à 0,04 % en un siècle, chiffres qu’il convient
constamment de rappeler car même des enseignants l’ignorent. Grâce à cette
augmentation, la biomasse végétale s’est accrue de l’ordre de 20 % entraînant
un verdissement de la Planète, observé en particulier par satellites,
l’équivalent d’un sixième continent vert de 18 millions de kilomètres carrés.
Ce qui est un excellent bénéfice dont on voit qu’une grande partie de
celle-ci est liée à la variabilité naturelle du CO2. Notre
combat contre la croissance des émissions de carbone est-il à la hauteur de
l’enjeu si le mal vient du carbone anthropique ? « La France n’est
responsable que de 0,9 % de ce 0,01 % supplémentaire. En reprenant la valeur
basse, 1°C, de la sensibilité climatique transitoire (échauffement au moment
d’un doublement du taux de CO2 dans l’air) fournie par le GIEC, réduire de 20 %
les émissions française comme c’était l’objectif initial du paquet climat
européen éviterait à la Planète de se réchauffer de l’ordre de 20 % x 0,01
%/0,04 % x 0,9 % x 1°C = 0,0004°C. » (Claude Gervais, professeur
émérite physicien agréé par le GIEC comme lecteur et commentateur de ses
rapports). La décarbonisation espérée par le plan énergétique français
n’aura donc qu’un impact infinitésimal sur le réchauffement climatique.
Un
plan de transition énergétique incohérent et inutilement coûteux.
Non
seulement la baisse du taux de carbone dans le plan énergétique électrique est
physiquement impossible, mais elle est inutile car ridicule devant l’impact de
la Chine et des Etats-Unis. Le passage à la propulsion électrique n’arrange
rien pour la décarbonisation puisqu’il faudra produire de l’électricité pour la
recharge des batteries. Par ailleurs de nombreux articles montrent que sur une
vie d’un tel véhicule, de la construction à la destruction pour recyclage, le
bilan carbone est loin d’être favorable. Enfin le taux de particules ultrafines
est au moins aussi important que pour les véhicules thermiques à cause de
celles émises au freinage. Néanmoins la France persiste dans une délirante
croissance des EnRia dont la dernière folie est la première centrale
photovoltaïque flottante de France et la plus puissante d’Europe. La centrale
de Piolenc, dans le Vaucluse, devrait être opérationnelle en août. Elle est
créée sur un lac artificiel de 50 hectares. J’aurai l’occasion de montrer que
c’est une folie, une danseuse écologique dont le coût du kWh ne peut qu’être un
gouffre financier. Les seuls satisfaits sont les habitants de Piolenc qui se
sont constitués une rente, les sociétés de construction et celle de fourniture
des panneaux solaires… probablement chinois.
La
danseuse écologique des français désinformés et intoxiqués
L’énergie
est une chose trop sérieuse, trop vitale, pour être confiée à des apprentis
sorciers dont les lobbies tirent les ficelles. L’énergie ne peut obéir aux
fantasmes et à une idéologie, mais à une pensée scientifique et économique dirigée
vers la baisse des coûts, la disponibilité immédiate, la couverture de nos
besoins avec une marge évitant le black-out, le souci de l’indépendance maximum
de notre pays. L’attrait politique d’apparaître comme le pays le plus vertueux
du monde ne doit pas conduire celui-ci vers un gouffre financier inutile quand
la science climatologique continue de balbutier et ne peut envisager l’avenir
avec certitude, et quand la politique d’austérité par ailleurs étrangle de plus
en plus les plus faibles, dépouille les classes moyennes et vend notre
patrimoine pour renflouer ses caisses.
Si
le catastrophisme du réchauffement climatique et de l’épuisement des ressources
naturelles conduit au tout électrique, dont le transport, la seule voie
raisonnable pour la France est les énergies nucléaire et hydraulique, fleurons
encore vivaces de son industrie, mais aussi non polluantes en carbone et
fournissant le meilleur coût du kWh. Mais c’est à chaque pays de choisir ses
productions d’énergie en fonction de ses infrastructures, de ses industries, de
ses besoins et de ses ressources naturelles en sachant qu’aucune énergie n’est
gratuite. Elle coûte seulement plus ou moins cher et, pour l’instant, les EnRia
sont les plus mal placées. La France n’a pas de pétrole mais elle peut en plus
avoir de mauvaises idées.
L’énergie
est une chose trop sérieuse
Pour
être laissée aux idéologues,
Et à
tous les apprentis sorciers
Utilisant
une pseudo-science
Pour
embrumer les esprits
Et installer
des certitudes
Impossibles
à avaliser
Par
la climatologie
En
son état actuel
De
connaissance !
Claude
Trouvé
20/07/19
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire